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Chamboulement et café…

Il y a quelques matins, je prévoyais ma journée en me disant que ma matinée serait bien productive. Évidemment, les choses ne se sont pas passé comme prévues. Un petit incident est venu chambouler mes projets et j’ai poursuivi ma matinée dans la même veine. J’ai rencontré une personne qui m’a dit qu’il faudrait qu’on se retrouve pour prendre un café. Un peu plus tard, alors que je suis sérieusement en retard sur mon programme, je croise une autre personne qui me dit que nous devrions nous voir pour un café. Et bien, même si ce n’était pas ce que j’avais prévu, je n’aurais certainement pas eu ces discutions et ces rencontres si ma journée avait commencé comme anticipé. Comme quoi, les chamboulements invitent au café!

Aujourd’hui, je vous propose la recette dont j’ai eu le plus de retour dans mes paniers gourmands : des pavés à la noix de coco. J’ai pris cette recette dans le livre La pâtisserie chez soi 8 d’Oetker.

Pavés à la noix de coco
Pavés à la noix de coco
Pour 24 carrés*

Pâte
½ tasse ou 30 g de flocons de maïs nature (Corn Flakes)
3 cuillères à soupe ou 20 g de noix de coco râpée
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 180 g de beurre non salé,
  tempéré
5½ cuillères à soupe ou 70 g de sucre
1 cuillère à soupe de sucre vanillé
1 pincée de sel
¾ de tasse moins ½ cuillère à soupe ou 100 g de farine
⅔ de tasse moins 1 cuillère à soupe ou 90 g de fécule de
  froment ou de maïs
1 cuillère à soupe de cacao

Garniture
½ tasse et 2 cuillères à thé ou 180 g de miel
4½ cuillères à soupe ou 60 g de beurre non salé
1½ tasse ou 180 g de noix de coco râpée

Glaçage
2 cuillères à soupe ou 30 g de beurre non salé, tempéré**
200 g (7 onces) de chocolat blanc

Pâte
Tapisser de papier parchemin une plaque de cuisson ou un moule rectangulaire d’environ 20 cm par 30 cm (8 pouces par 12 pouces).

Chauffer une poêle en fonte ou en acier à blanc. Ajouter les flocons de maïs et les faire griller pendant 3 minutes en brassant continuellement. Retirer les flocons de la poêle et griller la noix de coco jusqu’à ce qu’elle commence à dorer. Retirer de la poêle et laisser refroidir. Verser dans un sac en plastique et à l’aide d’un rouleau à pâtisserie émietter finement.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un bol, fouetter le beurre avec le sucre, le sucre vanillé et le sel. Incorporer la farine, la fécule de froment et le cacao. Ajouter les flocons de maïs et la noix de coco. Étaler la préparation sur la plaque de cuisson ou dans le moule. Enfourner et cuire pendant 20 minutes.


Garniture
Pendant que la pâte cuit, préparer la garniture. Dans une casserole, mélanger le miel et le beurre. Chauffer le mélange à feu doux en brassant régulièrement pour faire fondre le beurre. Incorporer la noix de coco et poursuivre la cuisson pendant 3 minutes en remuant continuellement. Réserver au chaud.

Verser ce mélange sur la pâte cuite et enfourner. Cuire pendant 10 minutes ou jusqu’à ce que la surface soit dorée. Laisser refroidir à température ambiante.

Glaçage
Hacher le chocolat blanc et le déposer dans le bol d’un bain-marie. Faire fondre le chocolat au bain-marie. Retirer le chocolat quand il est totalement fondu. Incorporer graduellement le beurre.

Verser le glaçage sur le pavé et étaler en une couche régulière. Laisser sécher le glaçage et découper en carré. Conserver dans un contenant qui ferme hermétiquement. Déguster avec plaisir dans les deux semaines qui suivent.

*Le nombre de portion dépendra de leur taille.
**La recette originale utilisait 6 cuillères à soupe ou 90 g de beurre. Mon glaçage a tranché et je l’ai refait en réduisant la quantité de beurre.

Et vous, est-ce qu’on vous propose souvent des cafés?

Les rues étroites…

Récemment, je me suis rendu compte qu’un des villages voisins était composé de nombreuses rues étroites. Quand je dis étroites, je parle des rues qui sont à double sens, mais où les voitures ne peuvent pas se croiser la moitié du temps. Reculer dans ce genre d’endroit pour laisser la voiture qui arrive en face n’est pas toujours des plus plaisants… surtout que la ligne droite n’existe pas vraiment. En réfléchissant pour aborder un lieu dans ce village, je me suis rendu compte qu’il était impossible de ne pas parcourir au moins une rue étroite. Ça m’a fait réaliser que je ne connais qu’un croisement où il y a ce problème dans le village où je vis. Je ne vais pas m’en plaindre. Par contre, les rues étroites du village voisin, je risque encore de les parcourir quelques fois… L’un des rares affûteurs de la région habite dans ce village! Cette fois, j’ai eu de la chance et je n’ai pas trop rencontré de voitures dans ces passages.

Dans un autre registre, je vous propose une recette de meringuettes. C’est la première fois que j’obtenais une texture qui me plait dans mes meringues maisons. J’ai pris cette recette dans le livre Noël et ses Friandises de Betty Bossi.

Meringuettes
Meringuettes
Pour 35 meringuettes*

2 blancs d’oeufs
1 pincée de sel
½ tasse ou 100 g de sucre

Meringuettes à la vanille
1 cuillère à thé d’extrait de vanille

Meringuettes aux noisettes
3 cuillères à soupe de noisettes moulues
1 cuillères à soupe de fécule de maïs ou de maïzena

Préchauffer le four à 100°C (215°F).

Dans un bol, fouetter les blancs d’oeufs avec le sel jusqu’à la formation de pics mous. Ajouter la moitié du sucre et fouetter jusqu’à ce que le mélange brille. Incorporer le sucre restant. Ajouter à ce moment l’extrait de vanille pour des meringuettes à la vanille. Fouetter de nouveau pendant quelques minutes.

Pour des meringuettes aux noisettes, omettre l’extrait de vanille. Mélanger les noisettes moulues et la fécule de maïs. À l’aide d’une spatule, incorporer délicatement ce mélange à la meringue.

Verser la meringue dans une poche à pâtisserie munie d’une douille lisse ou cannelée d’environ 8 mm (⅜ de pouce) de diamètre. Dresser selon l’envie sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin.

Enfourner et cuire pendant 2 heures dans la partie inférieure du four en entrouvrant la porte à l’aide du manche d’une spatule en bois. À la sortie du four, glisser les meringuettes avec le papier parchemin sur une grille pour les laisser refroidir totalement. Conserver dans une boîte qui ferme hermétiquement et déguster avec gourmandise dans les 3 semaines.

Et vous, êtes-vous un habitué des rues étroites?

On débute avec…

Lorsque j’ai eu fini de réaliser mes gourmandises pour mes paniers gourmands, j’étais plutôt déçue du résultat. J’avais l’impression que plusieurs recettes étaient bonnes mais sans plus. Quelques jours plus tard en dégustant ce que j’avais mis de côté pour nous, je me suis rendu compte que l’assortiment était plutôt agréable et intéressant.

Pour commencer, je vous propose une recette de biscottis où j’ai marié les pépites de caramel et les noisettes. J’ai eu l’idée en voyant une recette de bâtonnets au caramel et aux noisettes (à essayer une autre fois)… qui a sans doute été assez populaire, car il y avait une pénurie de pépites au caramel dans plusieurs épiceries de la région! La base de la recette des biscottis est celle d’Isabelle, Les gourmandises d’Isa, tirée de son dernier livre Citron.

Biscottis au caramel et aux noisettes
Biscottis au caramel et aux noisettes
Pour 100 biscottis

2¾ tasses ou 360 g de farine
1½ cuillère à thé ou 7 g de poudre à pâte
  ou de levure chimique
¼ cuillère à thé de sel
½ tasse ou 110 g de beurre non salé, fondu
1 tasse ou 200 g de sucre
3 oeufs
1 cuillère à thé d’extrait de vanille
⅔ de tasse ou 110 g de pépites ou cubes de caramel
⅔ de tasse ou 105 g de noiettes entières

Préchauffer le four à 160°C (325°F). Chemiser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un bol, mélanger la farine, la levure chimique et le sel.

Dans un second bol, fouetter le beurre avec le sucre jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Ajouter les oeufs un à la fois, en les incorporant bien entre chaque addition. Incorporer la vanille. Ajouter petit à petit le mélange de farine, une pâte molle va se former. Incorporer les pépites de caramel et les noisettes.

Diviser la pâte en trois parts égales. Enfariner légèrement vos mains pour façonner chaque part de pâte en un rouleau de 30 cm (12 pouces) de long et 5 cm (2 pouces) de large. Déposer les rouleaux de pâte sur la plaque de cuisson en les espaçant de 10 cm (4 pouces). Enfourner et cuire pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que la pâte soit ferme et commence à dorer.

Retirer du four et laisser tiédir sur une grille pendant 10 minutes. Déposer un des rouleaux de pâte sur une planche à découper. À l’aide d’un couteau dentelé, couper la pâte légèrement en biais pour réaliser de fines tranches. Les biscuits ne doivent pas faire plus de 5 mm (¼ de pouce) d’épaisseur. Déposer les biscottis sur des plaques de cuisson.

Baisser la température du four à 150°C (300°F)*. Enfourner une plaque recouverte de biscuits à la fois et cuire pendant 15 minutes. À mi-cuisson, retourner la plaque de cuisson. Idéalement les biscottis doivent devenir secs sans brunir. Laisser les biscottis refroidir sur les plaques de cuisson. Ces biscottis se conservent au moins deux semaines dans une boîte en métal.

*Si la première fournée de vos biscottis a un peu trop bruni, réduisez la température du four à 140°C (285°F).

Et vous, cuisinez-vous souvent avec des pépites au caramel?

Entre tout ce qu’il reste…

Ici, il y a de nombreux délicieux restes des fêtes autant de le réfrigérateur que dans les boîtes à biscuits. Le seul truc que je peux cuisiner pour le moment pour ne pas encombrer davantage nos estomacs, c’est du pain ou de la brioche. Alors aujourd’hui, je vous propose des brioches chrik constantinois issues du livre La brioches de nos rêves.

Brioches chrik constantinois
Brioches chrik constantinois
Pour 12 personnes

1 cuillère à soupe de levure sèche
¼ de tasse ou 50 g de sucre
3½ tasses ou 500 g de farine
3½ cuillères à soupe ou 20 g de lait en poudre
1 cuillère à thé de sel*
1 poignée de graines de sésame grillées (facultatif)
½ cuillère à thé de vanille en poudre
1 cuillère à thé de zeste de citron
⅓ de tasse ou 70 g de beurre non salé, fondu
1 oeuf
½ tasse ou 125 g de lait tiède
2 cuillères à soupe d’eau de rose, de fleur d’oranger ou d’eau
¼ de tasse ou 62 g d’eau tiède
Huile végétale en quantité suffisante
1 jaune d’oeuf pour la dorure

Dans un petit bol, verser 2 cuillères à soupe d’eau tiède, ajouter ½ cuillère à thé de sucre et la levure. Laisser reposer pendant 15 minutes.

Dans un grand bol, mélanger, la farine, le restant de sucre, le lait en poudre, le sel, les graines de sésame, la vanille et le zeste de citron. Incorporer le beurre fondu et mélanger pour obtenir une préparation sableuse. Ajouter la préparation de levure, l’oeuf, le lait et l’eau de rose. Incorporer ensuite graduellement le restant d’eau pour jusqu’à l’obtention d’une pâte molle et presque collante.

Huiler les mains et pétrir la pâte en la frappant contre le plan de travail jusqu’à ce qu’elle se décolle facilement et qu’elle soit plus souple. Former une boule et la déposer dans un bol légèrement huilé. Couvrir et laisser lever dans un endroit à l’abri des courants d’air pendant 1 à 2 heures ou jusqu’à ce que la pâte ait doublé de volume.

Huiler de nouveau les mains et diviser la pâte en 12 portions. Façonner chaque portion en boule**. Déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin et les collants légèrement. Badigeonner les brioches avec le jaune d’oeuf. Laisser lever pendant 20 à 30 minutes.

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Enfourner les brioches et cuire pendant 15 à 20 minutes ou jusqu’à ce que les brioches soient bien dorés. Laisser tiédir et déguster avec gourmandise.

*J’ai augmenté la quantité de sel, car avec 1 pincée de sel, la pâte n’avait pas beaucoup de goût.
**À cette étape si vous le désirez, vous pouvez ajouter des garnitures dans vos brioches : pépites de chocolat, raisins secs, etc.

La prochaine fois, je vous reviens avec des recettes de mes paniers gourmands de 2023.

Juste la dernière semaine…

Une amie m’a parlé d’un café dans le village où il servait un chocolat chaud au pain d’épices avec des guimauves pendant le temps des fêtes, du moins dans son souvenir. Nous nous sommes donc retrouvées pour aller boire un de ces chocolats chauds. Arrivé au café, il n’y a pas d’information sur le sujet et mon amie interroge la propriétaire pour savoir s’ils vont refaire ce chocolat chaud. La réponse a été « oui » mais seulement à partir de la semaine prochaine! Intérieurement, j’étais morte de rire : beaucoup de commerces mettent de l’avant leur proposition de Noël dès la fin novembre quand ce n’est pas plus tôt. J’ai trouvé ce contraste amusant et il faudra que j’attende une autre semaine pour découvrir ce chocolat chaud.

Pour rester dans l’esprit du temps des fêtes, je vous propose une recette de bûche roulé à la verticale aux canneberges et au chocolat. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 20, numéro 1. Ne regardez pas trop la texture de ma chantilly, je me suis rendu compte au moment de la fouetter que j’avais mis trop de crème, donc elle était moins ferme que ce qu’elle aurait dû être.

Bûche roulée à la verticale aux canneberges et au chocolat
Bûche roulée à la verticale aux canneberges et au chocolat
Pour 12 personnes

Chantilly au chocolat blanc et à la vanille
300 g (11 onces) de chocolat blanc
2½ tasses ou 625 g de crème à 35 % ou entière
2 cuillères à thé d’extrait de vanille

Garniture aux canneberges*
½ cuillère à thé de gélatine en poudre ou ½ feuille
  de gélatine (1 g)
1 cuillère à soupe d’eau
2 tasses ou 210 g de canneberges fraîches ou surgelées
¾ de tasse ou 150 g de sucre
1 cuillère à soupe de jus de citron

Génoise au chocolat
1 tasse ou 140 g de farine
⅓ de tasse ou 35 g de cacao
2 cuillères à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
1 pincée de sel
5 oeufs
¾ de tasse ou 150 g de sucre
¼ de tasse ou 53 g d’huile végétale

Chantilly au chocolat blanc et à la vanille
Hacher le chocolat et le déposer dans un bol.

Verser la crème et l’extrait de vanille dans une casserole et porter à ébullition. Quand la crème bout, la retirer du feu et la verser sur le chocolat blanc. Laisser reposer pendant 2 minutes.À l’aide d’un fouet mélanger jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Couvrir et réfrigérer au moins 8 heures.

Garniture aux canneberges*
Dans un bol, faire gonfler la gélatine en poudre dans 1 cuillère à soupe d’eau froide ou faire tremper les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide pendant 5 minutes.

À l’aide d’un robot culinaire muni d’une lame en « s », hacher finement les canneberges. Verser les canneberges dans une casserole avec le sucre et le jus de citron. Porter à ébullition et laisser mijoter doucement pendant 10 minutes en brassant fréquemment ou jusuq’à ce que le liquide soit évaporé. Retirer du feu et ajouter la gélatine, bien l’essorer si elle est en feuille. Verser dans un bol et laisser tiédir. Ensuite, réfrigérer jusqu’à ce que la garniture soit totalement refroidi.

Génoise au chocolat
Préchauffer le four à 180°C (350°F). Tapisser de papier parchemin une plaque de cuisson d’environ 46 cm par 33 cm (18 pouces par 13 pouces).

Dans un bol, mélanger la farine, le cacao, la poudre à pâte et le sel.

Dans un autre bol, fouetter les oeufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange triple de volume, soit pendant 10 minutes. Tamiser la moitié de la préparation de farine au dessus du mélange d’oeufs. Incorporer délicatement en pliant. Incorporer l’huile puis tamiser le restant de préparation de farine. Répartir uniformément la pâte sur la plaque de cuisson. Enfourner et cuire pendant 12 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre. Laisser refroidir le gâteau totalement.

Montage

Retirer le gâteau de la plaque de cuisson en le laissant sur le papier parchemin. Au besoin, égaliser les bordures du gâteau. Couper le gâteau en 3 bandes d’environ 40 cm par 10 cm (16 pouces par 4 pouces). Décoller les bandes de gâteau du papier parchemin.

Couper à 45° l’extrémité d’une des bandes de gâteau : ce sera la dernière bande à être enroulée. Réserver.

Fouetter la chantilly au chocolat blanc jusqu’à ce qu’elle forme des pics fermes. Étaler environ ¾ de tasse ou 180 ml de crème chantilly sur chaque bande de gâteau. Répartir la garniture aux canneberges sur chaque bande de gâteau en laissant une bordure libre d’environ 1 cm (½ pouce) tout le tour des bandes de gâteau.

Enrouler sur elle-même la première bande de gâteau. Enrouler la deuxième bande de gâteau autour de la première. Déposer la bûche à la verticale sur un plat de service. Poursuivre avec la dernière bande en terminant par le bout aminci pour fermer la bûche. Il est possible que le gâteau craque ou ne ferme pas totalement. Couvrir la bûche avec ¾ de tasse ou 180 ml de crème chantilly pour emprisonner les miettes de gâteau. Réfrigérer pendant 1 heure. Couvrir la bûche avec le restant de chnailly. Décorer selon l’envie : avec des éclats de chocolat, des canneberges fraîches, des branches de romarin, etc. Réserver au réfrigérateur jusqu’au moment de servir. Si possible, laisser tempérer pendant 30 minutes avant de servir. Déguster avec gourmandise.

*Si vous n’avez pas de canneberges pour réaliser la garniture, remplacer la garniture par une marmelade d’orange ou pourquoi pas une confiture de cerises.

Et vous, avez-vous déjà dégusté un boisson chaude au saveur des fêtes?