Course à obstacles
Depuis quelques temps, j’ai repris la course et j’aimais bien mon itinéraire. Cependant, j’ai dû le modifier légèrement. Un fois en empruntant mon parcours habituel, j’ai rencontré un enclos de moutons. Sans trop de soucis, je l’ai contourné et j’ai poursuivi mon chemin avant d’être freiné par un pâturage d’ânes! Leurs présences m’ont contrainte à faire demi-tour et aller saluer de nouveau les moutons. Plutôt que de suivre le bon sens et de rejoindre le chemin de campagne, j’ai décidé de suivre les traces laisser par un tracteur et de courir en longeant les abricotiers… La belle erreur! En arrivant au bout des arbres, je me suis rendu compte que le lieu était clôturé et qu’il n’y avait pas d’ouverture à proximité. Rendu à ce troisième obstacle, j’ai choisi la solution de la facilité et je l’ai enjambé. Heureusement, la clôture fut mon dernier obstacle et depuis, j’ai un autre trajet… Juste qu’à présent, je n’ai pas rencontré de nouveau obstacle, mais j’ai récemment fait la rencontre de bêtes à corne qui étaient en cavale…
Après cette petite histoire, je vous propose une recette de poulet sucré-pimenté. J’ai déniché cette recette sur le site de Caroline, Shrinking Single.
Pour 3 personnes
1 petit brocoli
300 g de poitrines de poulet
¼ de tasse ou 50 g de cassonade ou de sucre roux
3 cuillères à soupe et 1 cuillère à thé ou 50 g de vinaigre de riz
1 cuillère à soupe de sambal oelek*
1½ cuillère à soupe de sauce de poisson
1½ cuillère à soupe de sauce sriracha
1 cuillère à thé de gingembre frais, émincé finement
2 cuillères à soupe d’huile végétale
Sel et poivre
Remplir un chaudron d’eau et porter à ébullition pour blanchir le brocoli. Pendant ce temps, détailler le brocoli en petits bouquets de même taille, éplucher le tronc du brocoli et le couper en rondelles de même épaisseur. Quand l’eau bout, saler l’eau. Ajouter les rondelles et les fleurons de brocoli dans l’eau bouillante et cuire pendant 4 minutes. Égoutter le brocoli et rincer à l’eau froide pour arrêter la cuisson. Réserver.
Couper les poitrines de poulet en cubes de la taille d’une bouchée.
Dans une poêle, verser la moitié de l’huile végétale. Quand le corps gras est bien chaud, ajouter les cubes de poulet et les faire cuire. Saler et poivrer. Quand le poulet est cuit, le retirer de la poêle et le réserver dans une assiette.
Dans un bol, préparer la sauce : mélanger la cassonade (ou le sucre roux), le vinaigre de riz, le sambal oelek, la sauce de poisson, la sauce sriracha et le gingembre.
Verser le restant d’huile dans la poêle et faire revenir le brocoli pendant 3 à 5 minutes. Ajouter la sauce et laisser réduire de moitié. Ajouter le poulet et poursuivre la cuisson pendant 2 minutes. Servir sans attendre avec un riz.
*Selon vos goûts, réduisez la quantité de sambal oelek et de sauce sriracha. Il est toujours possible d’en rajouter pendant la cuisson de la sauce.
Et vous, quels obstacles avez-vous rencontrés en faisant du sport?
Hi Karine. I hope you enjoyed the recipe. I think Google has translated it for me fairly accurately – if only I could speak French! Thanks very much for the mention.
Thanks for the recipe! For the reference, this is the least I can do. 🙂
Hihihi, au moins les obstacles rendent les entraînements plus palpitants! Tu me fais penser que quand je suis allée enseigner 4 mois à Paris dans le cadre de mes études, un beau matin (je vivais en résidence universitaire), un enclos de chèvres, de moutons et d’ânes est apparu sous ma fenêtre… Certains animaux étaient même en liberté! Je suis vite descendue de ma chambre pour aller me prendre en photo avec eux hihihi!
Sinon, près de chez moi, j’ai une bonne fois rencontré une moufette sur mon trajet d’aller et mon trajet de retour alors que je m’entraînais à la course à pied. J’ai eu un petit peu peur qu’elle m’arrose!
Ce doit être assez commun comme pratique en Europe. N’empêche, je trouve toujours cela étrange de voir un enclos apparaître ici et là, et parfois dans des lieux étonnants.
J’avoue que rencontré une moufette sur sont chemin n’est pas nécessairement une rencontre de rêve. Difficile de savoir ce qui est le pire entre se faire arroser par une moufette ou de se faire charger par une vache d’Hérens. 🙂