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Des brioches de Pâques… enfin!

J’ai un lointain souvenir de brioches de Pâques : une mie moelleuse et légère ainsi qu’un goût différent. Je ne m’étais jamais penchée sur la question avant cette année. J’ai repéré 3 recettes et j’ai essayé celle qui proposait une plus petite quantité. Je l’ai regretté : pour 300 g de farine, la recette ajoutait 10 g de sel. Sur le coup, je n’ai pas réagi, mais c’est beaucoup trop : la moitié suffit amplement! Bref, le goût était décevant et il y avait trop d’épices dans la pâte à mon goût. Le projet est resté de côté jusqu’en fin de semaine où j’ai vu une recette à l’émission James Martin’s Saturday Morning.

Évidemment, je vous propose la recette de James Martin et encore une fois, je n’ai pas été déçue. Le goût qui caractérise la brioche de Pâques pour moi est le zeste de citron : ça apporte un petit quelque chose sans être la saveur dominante.

Brioches de Pâques (Hot Cross Buns)
Brioches de Pâques (Hot Cross Buns)
Pour 6 personnes

Pâte
2¼ tasses ou 312 g de farine
½ cuillère à thé de sel
¼ cuillère à thé de cannelle moulue*
¼ cuillère à thé de gingembre moulu*
5 cuillères à thé ou 23 g de beurre non salé, tempéré
3½ cuillères à soupe ou 43 g de sucre
2¼ cuillères à thé ou 7 g de levure sèche**
¾ de tasse ou 187 g de lait tiède
Zeste de ½ citron
⅓ de tasse ou 65 g de fruits séchés ou confits***

Croix****
1 cuillère à soupe de farine
2 cuillères à thé d’eau

Pâte
Dans un bol, mélanger la farine, le sel, la cannelle, le gingembre, le beurre, le sucre et la levure. Ajouter le lait et mélanger. Sur un plan de travail légèrement enfariné, pétrir la pâte pendant 5 à 8 minutes. Incorporer le zeste de citron et les fruits séchés. Déposer dans un bol, couvrir et laisser lever jusqu’à ce que la pâte ait doublé de volume, entre 1h00 et 2h00.

Enfariner légèrement le plan de travail, déposer la pâte et la diviser en 6 portions***** de même taille. Façonner en boule et les déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin.

Croix
Dans un petit bol, mélanger la farine et l’eau. Verser le mélange dans une poche à pâtisserie munie d’une petite douille lisse. Avec de mélange, dessiner les croix sur les brioches. Laisser les brioches lever jusqu’à ce qu’elles de volume, soit de 1h00 à 1h30.

Préchauffer le four à 200°C (400°).

Enfourner les brioches et cuire pendant 20 à 25 minutes. Laisser tiédir. Si désirer, badigeonner les brioches avec un sirop simple pour les faire briller. Déguster avec gourmandise.

*Vous pouvez utiliser d’autres épices ou même un mélange à pain d’épices. Vous pouvez également doubler la quantité d’épices, moins je préfère un goût plus discret.
**La quantité correspond à un sachet entier de levure sèche.
***Ici, j’ai mis du citron confit et de l’orange confite. J’ai royalement oublié les raisins secs. Choisissez les fruits secs ou confits qui vous plaisent.
****Vous pouvez réaliser les croix après la cuisson en mélangeant du sucre glace et de l’eau ou du jus de citron.
*****Il est possible de diviser la pâte en 12 pour réaliser de plus petites brioches.

Allez, vous avez encore le temps de tester cette recette avant Pâque!

Nez pas là…

Depuis le début de la semaine, je suis enrhumée. En général, je guéris assez rapidement, mais pas cette fois. C’est la première fois depuis longtemps que mon sens du goût est affecté par mon nez congestionné. Bref, mon nez n’est pas là, il est hors service… J’ai hâte que ça se rétablisse, car la nourriture se résume en peu de saveur actuellement.

Aujourd’hui, je vous propose une autre recette avec des noix assaisonnées. J’ai hésité à mettre cette version dans mes paniers gourmands. Le résultat est assez original, mais le côté sucré-salé ne plait pas nécessairement à tout le monde. J’ai pris cette recette sur le site de Michèle Rousseau Dt. P.

Noix sucré-salé au ras el hanout
Noix sucré-salé au ras el hanout
Pour 2 pots de 500 ml

1 blanc d’oeuf
3 cuillères à soupe de cassonade ou de sucre roux
2 cuillères à soupe de miel
2 cuillères à soupe de ras el hanout*
1½ cuillère à thé de cannelle moulue
1½ cuillère à thé de gingembre moulu
1 cuillère à thé de sel
1 tasse ou 200 g d’amandes**
2 tasses ou 400 g de noix de cajou

Préchauffer le four à 140°C (285°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un bol, fouetter le blanc d’oeuf jusqu’à la formation de piques fermes. Ajouter la cassonade, le miel, le ras el hanout, la cannelle, le gingembre et le sel. Mélanger pour bien répartir les ingrédients dans le blanc d’oeuf. Ajouter les noix de cajou et les amandes. Mélanger délicatement pour bien enrober toutes les noix du mélange assaisonné.

Verser les noix sur une plaque de cuisson et les étaler sur une seule couche. Enfourner et cuire pendant 40 minutes. À mi-cuisson, remuer les noix. Laisser totalement refroidir. Conserver les noix dans un pot muni d’un couvercle. Déguster avec plaisir.

*Le ras el hanout est un mélange d’épices originaire du Maroc. Vous pouvez le remplacer par un autre mélange d’épices comme le garam masala, le goût sera cependant différent.
**J’aime bien le mélange d’amandes et de noix de cajou, mais libre à vous d’utiliser d’autres noix de votre choix. Il faut seulement vous assurez que vous utilisez 3 tasses ou 600 g de noix.

Et vous, êtes-vous souvent victime d’un nez absent?

L’esprit ceignez en deux

Une partie de ma tête a bien compris que les fêtes approchent et l’autre s’y refuse totalement. J’ai beau avoir fait des merveilles (beignets plats suisses) avec ma belle-famille, commencer à planifier mes paniers gourmands, me prendre la tête sur le dessert du 24 décembre, cogiter sur les cadeaux qu’il manque (et me reprocher de m’y prendre si tard) et me demander quand je vais trouver un moment pour tout emballer, pourtant je ne suis pas dans cet esprit des fêtes qui m’habitent habituellement à cette période de l’année. L’an dernier, j’avais déjà remarqué ce phénomène. Je me demande si ce n’est pas lié au fait que je n’ai pas passé Noël dans ma famille depuis plusieurs années. L’ambiance dans ma famille et dans celle de ma belle-famille sont bien différentes. Il y a plus de traditions dans ma famille où du moins, certains éléments qui reviennent chaque année et j’adore ça.

En attendant qu’il neige dans ma tête, je vous propose une recette de cobbler aux pacanes. J’ai pris cette recette sur le site Well plated.

Cobbler aux pacanes
Cobbler aux pacanes
Pour 8 à 10 personnes

Cobbler
¼ de tasse ou 55 g de beurre non salé
½ tasse ou 70 g de farine
½ tasse ou 70 g de farine de blé entier*
¾ de tasse ou 150 g de cassonade ou de sucre roux
1½ cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
½ cuillère à thé de sel
½ cuillère à thé de cannelle moulue
½ tasse ou 125 g de lait
2 cuillères à soupe de rhum brun**
1 cuillère à thé d’extrait de vanille

Garniture
⅔ de tasse ou 133 g de cassonade ou de sucre roux
1 tasse ou 130 g de pacanes ou noix de pécan hachées
1½ tasse ou 375 g d’eau très chaude


Cobbler
Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Déposer le beurre dans un moule en céramique ou en pyrex rond ou carré d’environ 20 cm (8 pouces) de diamètre ou de côté. Placer le moule dans le four pendant qu’il préchauffe pour le faire fondre, soit environ 5 minutes. Retirer le moule du four et le déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin. Réserver.

Dans un bol, mélanger la farine, la farine de blé entier, la cassonade, la poudre à pâte, le sel et la cannelle. Ajouter le lait, le rhum et l’extrait de vanille. Brasser jusqu’à ce que la farine soit totalement humectée.


Garniture
Dans un autre bol, mélanger la cassonade et les pacanes. Réserver.

Avec une cuillère, verser la pâte sur le beurre fondu. Étaler doucement la pâte en une couche uniforme. Il ne faut pas brasser. Saupoudrer le mélange de cassonade et de pacanes. Verser lentement l’eau chaude. Cela ressemble à un désordre humide, c’est normal, ne brasser pas. Enfourner le moule sur la plaque et cuire pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que le dessus soit doré et semble sec. Laisser tiédir pendant 25 minutes. Servir et déguster avec plaisir.

*Vous pouvez remplacer la farine de blé entier par la même quantité de farine régulière.
**Il est possible d’omettre le rhum, dans ce cas, remplacez-le par 2 cuillères à thé d’extrait de vanille supplémentaire et 1 cuillère à soupe de lait.

Et vous, êtes-vous déjà dans l’esprit des fêtes ou ça commence seulement le 24 décembre?

Une histoire de monture…

Il y a quelques temps, j’ai remarqué que la couleur sur ma monture de lunettes s’était écalée. Comme je les ai depuis moins d’un an, j’ai été voir mon optométriste qui a confirmé un problème de fabrication et m’a fait venir une nouvelle monture d’une autre succursale. On m’informe que la nouvelle monture est arrivée et une fois au magasin, il y a un problème : la monture est la bonne, mais pas la couleur et celle-ci ne me plait pas absolument pas. Après recherche, la monture que j’ai ne se fait plus, par contre, il y a un modèle très similaire avec les verres un peu plus étroit. Comme j’adore la couleur de ma monture actuelle, j’opte pour cette option qui implique de retailler les verres. Quelques semaines plus tard, je me présente encore une fois au magasin à l’heure prévue et cette fois, la monture est impossible à trouver… au moins pendant 10 minutes. J’ai récupéré mes lunettes et encore une fois, je vais devoir repasser au magasin pour refaire ajuster la monture, en espérant que ce soit la dernière fois pour un petit bout!

Aujourd’hui, je vous propose une recette de macarons au thé chaï. J’ai fait les coques à macarons à la meringue italienne puisqu’il y avait longtemps que je n’avais pas utilisé cette méthode. Pour la ganache, je me suis basée sur une recette issue du livre Macaron de Gaëlle et Johan Crop.

Macaron au thé chaï
Macarons au thé chaï
Pour 50 macarons

Ganache au thé chaï
1 tasse ou 250 g de crème 35% ou entière
3 sachet ou 6 g de thé chaï*
170 g (6 onces) de chocolat noir
30 g (1 once) de chocolat au lait ou de chocolat blond
2 cuillères à soupe ou 30 g de beurre non salé, froid
2 pincées de cannelle moulue (facultatif)

Coques des macarons
1¼ tasse ou 150 g de poudre d’amandes
1 tasse moins 1 cuillère à soupe ou 150 g de sucre glace
¼ de tasse ou 60 g de blancs d’oeufs tempérés**
¾ de tasse ou 150 g de sucre
2½ cuillères à soupe ou 37 g d’eau
¼ de tasse ou 60 g de blancs d’oeufs tempérés
1 pincée de sel
2 gouttes de jus de citron
Colorant alimentaire en poudre ou en gel

Ganache au thé chaï
Hacher finement le chocolat noir et le chocolat au lait. Réserver dans un bol.

Verser la crème dans une casserole et chauffer sans porter à ébullition. Retirer du feu et ajouter les sachets de thé. Laisser infuser pendant 15 minutes. Retirer le thé de la crème et la porter à ébullition. Quand la crème bout, la verser sur le chocolat, puis laisser reposer pendant 2 minutes. Après ce temps de repos, brasser jusqu’à ce que la ganache soit homogène. Incorporer petit à petit le beurre. Couvrir et réfrigérer pendant au moins 2 heures.

Coques des macarons
Verser la poudre d’amandes et le sucre glace dans le bol d’un robot culinaire muni d’une lame en « s ». Mixer quelques secondes pour affiner la préparation. Incorporer la première partie des blanc d’oeufs (¼ de tasse ou 60 g de blancs d’oeufs) et réserver.

Dans un chaudron, verser l’eau et le sucre. Si désiré, ajouter le colorant alimentaire. Faire bouillir jusqu’à 118°C (244°F). Quand le thermomètre indique 110°C (230°F), commencer à fouetter doucement la deuxième partie des blanc d’oeufs (¼ de tasse ou 60 g de blancs d’oeufs) avec le sel et le jus de citron à l’aide d’un robot sur socle. Augmenter progressivement la vitesse. Quand le sucre cuit a atteint 118°C (244°F), le verser en filet sur les blancs d’oeufs alors que le robot les fouette à pleine vitesse. Continuer à fouetter jusqu’à ce que la préparation soit à 40-50°C (104-122°F). La meringue doit être ferme et la consistance rappelle la guimauve (ou les marshmallow).

Verser la préparation de sucre glace et d’amandes sur la meringue. Mélanger à l’aide d’une spatule en soulevant la masse des côtés vers le centre. Arrêter de mélanger dès que la préparation forme un ruban : quand on soulève la pâte à l’aide d’une spatule, elle coule tranquillement en un flot continu et quand on arrête de brasser, les sillons laissés dans la pâte disparaissent.

Remplir une poche à pâtisserie munie d’une douille lisse de 8 mm à 10 mm (⅜ de pouce) de diamètre et dresser les coques des macarons sur des plaques de cuisson recouvertes de papier parchemin. Laisser croûter les coques à température ambiante, jusqu’à ce que la surface ne colle plus au doigt.

Préchauffer le four à 150°C (300°F).

Enfourner une plaque de cuisson et cuire pendant 12 minutes. Après 8 minutes de cuisson, ouvrir la porte du four pour laisser la vapeur s’échapper et refermer aussitôt. Répéter l’opération après 11 minutes de cuisson. Après ce temps de cuisson, regarder si les coques se décollent facilement du papier parchemin, si ce n’est pas le cas prolonger la cuisson de quelques minutes. Au besoin, ajuster la température du four pour les fournées suivantes. Retirer les coques de la plaque de cuisson et les laisser tiédir avant de les décoller du papier parchemin.

Montage des macarons
Au moment de dresser les macarons, fouetter la ganache pour l’assouplir et la déposer dans une poche à pâtisserie. Garnir la moitié des coques de ganache et couvrir d’une seconde coque.

Réfrigérer les macarons de 12 à 24 heures avant de déguster.

*Vous pouvez remplacer le thé chaï par un autre thé de votre choix.
**Cette quantité correspond à environ 2 blancs d’oeufs.

Et vous, quel est le magasin que vous fréquentez régulièrement ces derniers temps?

Bouquet de basilic…

Avec les températures qui rafraichissent, je me suis dit que c’était le bon moment pour aller cueillir mon basilic avant de le perdre. Contrairement à d’habitude, j’en avais à plusieurs endroits : le basilic éloignerait les pucerons… Évidemment, j’ai échappé le sachet de graines au printemps, donc il y a eu un peu plus de plan que prévu. Devant cette abondance, je me voyais mal le laisser se perdre. Je suis donc rentrée dans la maison avec un bouquet de basilic. J’ai détaché les jolies feuilles pour les hacher et les congeler. J’ai découvert que l’odeur du basilic peut être un peu entêtante!

Pour rester dans l’idée des récoltes, je vous propose une recette de chaussons aux pommes que j’ai réalisé avec des pommes de mon jardin. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 20, numéro 7. J’ai adoré cette garniture : même si mes chaussons étaient un peu trop garni, la garniture ne s’est presque pas échappée!

Chaussons aux pommes au four
Chaussons aux pommes au four
Pour 12 chaussons

Garniture aux pommes
¼ de tasse ou 50 g de sucre
½ cuillère à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
¼ de cuillère à thé de cannelle moulue
1 pomme Cortland ou Gala*
1 pomme McIntosch ou Boskoop*
2 cuillères à soupe ou 30 g de jus de citron

Pâte
1½ tasse ou 225 g de farine
2 cuillères à soupe ou 25 g de sucre
½ cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
¼ de cuillère à thé de sel
½ tasse ou 110 g de beurre non salé, froid
3 cuillères à soupe ou 45 g de lait froid
2 oeufs

Glaçage
½ tasse ou 65 g de sucre glace
2 cuillères à thé ou 10 g d’eau
½ cuillère à thé d’extrait de vanille

Garniture aux pommes
Peler, épépiner et couper en petits dés les pommes.

Dans une petite casserole, mélanger le sucre, la fécule de maïs et la cannelle. Ajouter les pommes et le jus de citron. Porter à ébullition à feu moyen. Couvrir et cuire à feu doux pendant 10 minutes ou jusqu’à ce que les pommes soient tendres. Verser la préparation dans un bol et laisser tiédir. Couvrir et réfrigérer jusqu’à ce que la préparation soit froide, soit au minimum 1 heure.

Pâte
Dans un grand bol, mélanger la farine, le sucre, la poudre à pâte et le sel. Ajouter le beurre bien froid coupé en cubes et l’incorporer à l’aide d’un coupe-pâte ou des mains afin d’obtenir une texture granuleuse. Il doit rester des petits morceaux de beurres visibles. Ajouter le lait et un oeuf. Mélanger brièvement pour bien répartir les liquides dans les ingrédients secs. À l’aide des mains, rassembler la pâte et façonner un carré. Envelopper de pellicule plastique et réfrigérer pendant au moins 1 heure.

Préchauffer le four à 200°C (400°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un bol, fouetter l’oeuf restant pour la dorure. Réserver.

Sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser la pâte en un rectangle d’environ 45 cm par 30 cm (18 pouces par 12 pouces). À l’aide d’un couteau, tailler 6 carrés de 15 cm de côté (6 pouces). Couper chaque carré dans la diagonale pour obtenir 2 triangles.

Répartir la garniture aux pommes au centre de chaque pâte. Badigeonner tous les côtés de chaque triangle avec un peu de dorure. Replier une des pointes sur l’autre en l’étirant légèrement. À l’aide d’une fourchette, presser le pourtour pour sceller la garniture dans la pâte. Déposer les chaussons sur la plaque de cuisson. Badigeonner de dorure.

Enfourner et cuire pendant 22 à 24 minutes ou jusqu’à ce que les chaussons soient dorés. Laisser tiédir, si possible, sur une grille.

Glaçage
Dans un bol, mélanger le sucre glace, l’eau et l’extrait de vanille. La glaçage doit être tout juste coulant : au besoin, ajouter un peu d’eau ou de sucre glace. Verser le glaçage dans une poche à pâtisserie munie d’une petite douille unie. Décorer les chaussons en faisant des zigzags avec ke glaçage. Servir et déguster avec plaisir.

*Vous pouvez utiliser qu’une seule variété de pommes. J’ai utilisé 2 pommes Golden de mon jardin.

Et vous, avez-vous beaucoup de basilic dans votre jardin?