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À nouveau de la soupe

J’ai recommencé à préparer de la soupe, mais il y a seulement Petit-coeur et moi qui en profitons. Une fois par semaine sur l’heure du souper, mon chéri et Mini-nous font du sport, je suis seule donc avec Petit-coeur pour ce repas. Un jour, j’ai servi de la soupe et je me suis rendu compte que c’était un repas qui me facilitait la vie. Généralement, Petit-coeur mange volontiers ce genre de repas, alors si je n’ai pas à me battre pour que sa portion disparaisse autant en profiter. Je me sers aussi de cette occasion pour écouler les légumes qui sont oubliés. Pour le moment, je ne me suis pas encore lassée, mais avec les beaux jours, il est possible que cette habitude retombe.

En attendant, je vous propose un de mes derniers coups de coeur : une crème de céleri. J’ai pris cette recette sur le site de Trois fois par jour.

Crème de céleri
Crème de céleri
Pour 2 ou 3 personnes

2 cuillères à soupe ou 28 g de beurre
1 oignon
1 gousse d’ail
2 tasses ou 300 g de céleri branches
⅓ de tasse ou 46 g de farine
1½ tasse ou 375 g de bouillon de poulet
1 tasse ou 250 g de lait
¾ de tasse ou 187 g de crème à cuisson ou demi-crème
½ cuillère à thé de sucre
Sel et poivre
Feuilles de céleri pour servir (facultatif)

Hacher l’oignon et l’ail. Couper en petits dés céleri.

Dans une casserole, faire fondre le beurre. Ajouter l’oignon, l’ail et le céleri, puis cuire pendant 8 minutes. Saler et poivrer.

Ajouter la farine et poursuivre la cuisson d’une minutes. Verser le bouillon, le lait et la crème. Porter à frémissement.

Réduire le feu et laisser mijoter pendant 5 minutes. Saler et poivrer au goût. Ajouter des feuilles de céleri, si désiré, et servir. Déguster avec plaisir.

Et vous, est-ce que la soupe passe bien auprès de votre famille?

Intriguée, mais non

Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime bien regarder des gens préparer une chakchouka (oeufs pochés en sauce tomate). L’idée de ce plat cuit dans une poêle me plait bien. Pourtant, ce n’est pas un plat que je risque de préparer un jour : ils y a des tomates en dés et des poivrons. Des aliments que je n’apprécie pas plus que tant quand ils sont aussi texturisés. J’ai eu une lubie et j’ai cherché s’il y avait une variation de chakchouka qui pourrait me plaire.

Ma quête n’a pas vraiment abouti, mais je suis tombée sur une recette d’oeufs pochés servi avec du yogourt à la turque. Je vous propose donc ce plat. J’ai pris cette recette sur le site de Elle à table.

Oeufs pochés, yogourt à la turque
Oeufs pochés, yogourt à la turque
Pour 2 personnes

2 oeufs, tempérés
¾ de tasse et 1½ cuillère à soupe ou 200 g de yogourt
  grec nature
½ cuillère à thé d’oignon en poudre
2 cuillères à soupe de ciboulette fraîche ciselée*
2½ cuillères à thé ou 10 g de beurre
1 petite gousse d’ail
½ cuillère à thé de paprika
½ cuillère à thé de piment d’Alep ou d’Espelette
1 cuillère à soupe d’huile d’olive
½ cuillère à thé ou moins de sel, au goût
3 cuillères à soupe de vinaigre blanc
Poivre, au goût

Dans un bol, mélanger le yogourt avec la ciboulette et la poudre d’oignon. Réserver une pincée de sel et ajouter le reste au yogourt. Poivrer et mélanger à nouveau. Répartir le yogourt au centre de deux assiettes et réserver.

Hacher finement l’ail.

Dans une petite poêle, faire fondre le beurre à feu doux. Ajouter l’ail et faire revenir pendant 5 minutes. Ajouter le paprika, le piment d’Alep et la pincée de sel. Retirer du feu et ajouter l’huile d’olive. Réserver.

Remplir une casserole d’eau et porter à frémissement. Ajouter le vinaigre. Ajouter les oeufs un à la fois et cuire pendant 3 minutes. Égoutter les oeufs et les déposer sur le yogourt dans les assiettes. Répartir le beurre assaisonné sur les oeufs et servir sans attendre avec du pain grillé ou non. Déguster avec plaisir.

*Vous pouvez remplacer la ciboulette par d’autres herbes fraîches : menthe, aneth, etc.

Bon dimanche!

Belles idées, l’exécution à revoir…

Cette année pour Pâques, j’ai proposé de recevoir. Évidemment, j’ai choisi de réaliser des recettes que je n’avais jamais exécutées. Mon plus gros problème a été de coordonner ces recettes : j’avais besoins d’un four pour garder au chaud, un autre pour cuire la viande et un troisième aurait été agréable pour griller mes légumes. Au final, c’est ces derniers qui ont finis dans l’eau plutôt qu’au four. D’un autre côté, j’aurais eu de la peine avec toutes les plaques de cuisson pour servir. Au final, mon problème a été le service. Je n’ai pas été assez rapide, donc certains éléments n’étaient pas assez chaud à mon goût. Heureusement, c’était bon et j’ai fait de belles découvertes.

Pour une recette qui reste chaude, je vous propose une épaule de porc effilochée aux épices à la mijoteuse. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 23, numéro 1.

Épaule de porc effilochée aux épices à la mijoteuse
Épaule de porc effilochée aux épices à la mijoteuse
Pour 8 personnes

1 kg d’épaule de porc désossée
1 cuillère à soupe de beurre
1 oignon
2 gousses d’ail
¼ de tasse ou 62 g de vin blanc
½ tasse ou 125 g de bouillon de boeuf
1 cuillère à soupe de farine grillée
1 cuillère à soupe de ketchup
¼ de cuillère à thé de cannelle moulue
2 pincées de muscade moulue
2 pincées de clou de girofle moulu
Sel et poivre

Émincer l’oignon et hacher l’ail.

Dans une poêle, chauffer le beurre. Quand le corps gras est bien chaud, déposer la viande et la dorer sur tous les côtés. Saler et poivrer. Placer la viande dans la mijoteuse.

Dans la même poêle, ajouter l’oignon et l’ail. Cuire jusqu’à ce qu’ils commencent à dorer. Déglacer avec le vin blanc et laisser réduire de moitié. Ajouter le bouillon de boeuf, la farine grillée, le ketchup, la cannelle, la muscade et le clou de girofle. Saler et poivrer. Porter à ébullition. Retirer du feu et verser sur la viande dans la mijoteuse.

Couvrir la mijoteuse et cuire à haute température (high) pendant 6 heures.

Si désiré, dégraisser le bouillon. Effilocher la viande et la mélanger au bouillon. Saler et poivrer au besoin. Servir et déguster avec plaisir.

*Pour réaliser de la farine grillée, il suffit de la faire revenir dans une poêle jusqu’à ce qu’elle commence à dorer.

Et vous, comment s’est déroulé votre repas de Pâques?

Une impression de déjà lu…

J’ai quelques livres qui attendent d’être lu. Certains ont atterris un peu par hasard et ne correspondent pas à mon genre préféré. Cependant, je suis curieuse et je lis un peu de tout, il faut juste que j’ai un état d’esprit qui corresponde. Récemment, j’ai pris un livre dans cette pile. Je n’ai aucun souvenir de l’histoire, mais il y a des éléments sur le personnage qui me laisse une impression de déjà vu. Plus j’avance dans l’histoire, plus cette impression et forte. Ça m’a troublée un bon moment, car habituellement, j’ai un peu plus de réminiscence quand je relis un livre. À la fin de livre, je peux vous affirmer que je l’avais déjà lu. Il me reste à comprendre pourquoi il était avec mes livres à lire…

Dans un contexte qui n’a rien à voir, je vous propose une recette de feuilletés à la saucisse et à la moutarde. Cette recette est tirée du magazine Ricardo volume 23, numéro 2.

Feuilletés à la saucisse et à la moutarde
Feuilletés à la saucisse et à la moutarde
Pour 36 bouchées

Feuilletés
1 oignon
2 cuillères à soupe de beurre
¼ de tasse ou 62 g de vin blanc
450 g de chair à saucisse de porc (nature, de Toulouse, etc.)
2 cuillères à soupe de moutarde à l’ancienne
1 cuillère à soupe de feuilles de sauge fraîche ciselées
1 cuillère à thé de feuilles de romarin ciselées
1 cuillère à thé de graines de fenouil ou de coriandre moulues
½ cuillère à thé de sel
Poivre
2 abaisses de pâte feuilletée de 200 g
1 oeuf

Sauce (facultatif)
3 cuillères à soupe de moutarde de Dijon
3 cuillères à soupe de miel
2 cuillères à thé de moutarde jaune ou douce

Feuilletés
Hacher finement l’oignon.

Dans une poêle, faire fondre le beurre et ajouter l’oignon. Cuire l’oignon pendant 8 minutes ou jusqu’à ce qu’il soit légèrement doré. Déglacer avec le vin blanc et laisser réduire totalement. Transvider l’oignon dans un grand bol et réfrigérer pendant 10 minutes.

Dans le bol contenant l’oignon, ajouter la chair à saucisse, la moutarde à l’ancienne, la sauge, le romarin, les graines de fenouil et le sel. Poivrer et bien mélanger.

Sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser les pâtes en deux carrés de 25 (10 pouces) de côté. Couper chaque carré en 3 bandes.

Dans un petit bol, fouetter l’oeuf et réserver.

Sur chaque bande de pâte, répartir un sixième de la chair à saucisse sur un des longs côtés. À l’aide d’un pinceau, badigeonner la seconde moitié de pâte avec l’oeuf. Rouler la pâte pour emprisonner la garniture. Déposer les boudins de pâte sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin. Badigeonner les rouleaux d’oeuf. Réfrigérer pendant 1 heure.

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Sur un plan de travail, couper chaque rouleau en 6 morceaux. Déposer les morceaux sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin. Enfourner et cuire pendant 20 minutes ou jusqu’à ce que les feuilletés soient dorés. Laisser tiédir 5 minutes.

Sauce (facultatif)
Si désiré, réaliser la sauce en mélangeant les moutardes et le miel. Servir avec les feuilletés et déguster avec plaisir.

Et vous, avez-vous déjà relu un livre en croyant ne l’avoir jamais lu?

Il manque le texte…

Depuis plusieurs années, je réalise la majorité des cartes que je donne ou que j’envoie. Cependant, j’en ai rarement à l’avance, mais ce n’est pas le plus problématique. Mon principal problème est le texte : à mon avis, c’est l’avantage d’acheter des cartes! Je sais rarement quoi écrire et je passe beaucoup trop heures à chercher une idée sur Internet. Je n’aime pas certains type de texte et je n’écris jamais quelque chose que je ne pense pas. Bref, je dois cogiter sur un texte pour une carte et je n’ai vraiment pas d’inspiration pour le moment.

Dans un tout autre registre, je vous propose une recette de boulettes de porc aigres-douces au jus d’orange. Cette recette est tirée du magazine 3 fois par jour numéro 31, hiver 2023-2024.

Boulettes de porc aigres-douces au jus d'orange
Boulettes de porc aigres-douces au jus d’orange
Pour 4 à 6 personnes

Boulettes
450 g de porc haché*
1 oeuf
½ tasse ou 40 g de chapelure panko
1 cuillère à thé de poudre d’oignon
1 cuillère à thé de poudre d’ail
1 cuillère à thé de sauce hoisin
Sel et poivre
1 cuillère à soupe d’huile d’olive

Sauce
¼ de tasse ou 50 g de cassonade ou de sucre roux
½ tasse ou 125 g d’eau
½ tasse ou 125 g de jus d’orange
1½ cuillère à soupe de vinaigre de riz
1½ cuillère à soupe de sauce tamari ou de sauce soja
¼ de tasse ou 62 g de ketchup
1 cuillère à thé de graines de sésame grillées (facultatif)
1½ cuillère à soupe de fécule de maïs ou de maïzena**

Boulettes
Préchauffer le four à 200°C (400°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un grand bol, mélanger le porc haché, l’oeuf, la chapelure panko, la poudre d’oignon, la poudre d’ail, la sauce hoisin, le sel et le poivre. Façonner des boulettes d’environ 2,5 cm (1 pouce) de diamètre.

Verser l’huile d’olive dans une grande poêle. Quand le corps gras est chaud, déposer les boulettes et les faire dorés sur toutes les faces***. Déposer les boulettes sur une plaque de cuisson et enfourner pendant 10 à 15 minutes ou jusqu’à ce que les boulettes soient bien cuite à l’intérieure.

Dans une casserole, mélanger la cassonade, l’eau, le jus d’orange, le vinaigre de riz, la sauce tamari, le ketchup et les graines de sésame. Porter à ébullition. Dans un petit bol, délayer la fécule de maïs dans un peu d’eau (environ 1 cuillère à soupe). Ajouter le mélange à la sauce. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la sauce épaississe. Réduire le feu et ajouter les boulettes. Poursuivre la cuisson pendant 5 minutes. Servir et déguster avec plaisir.

*Vous pourriez remplacer le porc haché par du poulet haché.
**Pour une sauce un peu moins épaisse, il est possible d’employer que 1 cuillère à soupe de fécule de maïs.
***Il est possible de cuire uniquement les boulettes au four sans les faire griller dans la poêle. Dans ce cas, comptez environ 20 à 30 minutes de cuisson au four.

Et vous, écrivez-vous facilement les textes dans les cartes?