Catégorie : Suisse

Très valaisan, mais…

Il y a peut-être un peu plus d’un an, j’ai demandé à ma belle-mère la recette de pateron. C’est la recette de sa mère, soit celle de la grand-mère de mon chéri. La grand-mère de mon chéri était réputée pour ces paterons : c’est un des plats favoris de ses enfants et petits-enfants! Ces paterons disparaissaient en un clin d’oeil! N’en ayant pas mangé depuis longtemps, j’ai voulu essayer et par la même occasion, faire plaisir à mon chéri. Nous nous sommes régalés et je suis très heureuse d’arriver à faire cette recette des plus emblématiques de la famille.

Un jour avec des amies, nous échangions sur des idées de repas. J’ai mentionné les paterons : on a facilement tous les ingrédients à la maison pour en préparer. L’une ne connaissait pas : elle n’a pas grandit en Valais. Une autre m’a dit que ce n’était pas évident à faire et que la fois qu’elle avait goûté, elle n’avait pas aimé. J’étais un peu surprise, car elle n’est pas très difficile. En parlant, j’ai compris pourquoi : la recette qu’elle connaissait contient du sang de porc! Je peux comprendre que ça change l’aspect et le goût. En discutant, j’ai compris que le pateron pouvait bien varier d’une vallée valaisanne à l’autre.

Je vous propose donc la recette de pateron de Marthe. La recette est simple, mais la cuisson demande un peu de temps. Je réalise toujours les quatre sortes de paterons : nature, au sucre, aux pommes et au fromage. Cependant, libre à vous de réaliser ceux que vous préférez en majorité ou en totalité.

Pateron de Marthe
Pateron de Marthe
Pour 2 à 3 personnes*

3 oeufs
⅔ de tasse moins 1 cuillère à soupe ou 150 g d’eau
1 tasse et 1 cuillère à soupe ou 150 g de farine
½ cuillère à thé de sel
2 pommes Canada, Boskoop ou Cortland**
Sucre en quantité suffisante
Fromage râpé au goût***
Huile végétale en quantité suffisante

Verser la farine et le sel dans un bol. Former un puit au milieu des ingrédients secs et ajouter les oeufs ainsi que la moitié de l’eau. À l’aide d’un fouet, mélanger les oeufs en incorporant graduellement la farine. Lorsque la pâte est trop épaisse, ajouter le restant d’eau. Cette méthode permet d’éviter les grumeaux dans la pâte. La pâte devrait ressembler à une pâte à crêpe épaisse. Couvrir d’un linge propre et laisser reposer pendant 1 heure.

Préchauffer le four à 70°C (160°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier absorbant.

Éplucher les pommes et retirer le coeur. Couper en rondelles d’environ 7 mm (¼ de pouce). Réserver.

Dans une poêle, verser de l’huile pour couvrir le fond. Chauffer et quand le corps gras est chaud, tremper les tranches de pommes dans la pâte et les déposer dans l’huile chaude. Cuire jusqu’à ce que la pâte soit dorée, tourner et poursuivre la cuisson. Quand les rondelles sont cuites des deux côtés, les retirer de la poêle et les déposer sur la plaque de cuisson préparée. Réserver dans le four chaud. Répéter l’opération avec l’ensemble des rondelles de pommes.

Au besoin, ajouter de l’huile dans la poêle. Former des ronds en versant environ 2 cuillères à soupes de pâte dans l’huile. Cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés et les bords doivent « friser ». Ajuster le feu au besoin. Retourner les paterons pour finir la cuisson. Déposer les paterons sur la plaque de cuisson avec les paterons aux pommes. Laisser certains natures et saupoudrer d’autre de sucre. Réserver dans le four.

Lorsqu’il reste environ ½ tasse ou 1 dl de pâte, ajouter du fromage râpé et mélanger. Il doit y avoir environ autant de fromage que de pâte.

Au besoin, ajouter de l’huile dans la poêle. Avec la pâte contenant du fromage, former des ronds en versant environ 2 cuillères à soupes de pâte dans l’huile. Cuire jusqu’à ce qu’il soit doré et les bords doivent « friser ». Placer sur la plaque et réserver au chaud jusqu’à ce que tous les paterons soient cuits.

Servir avec une salade verte et des pommes de terre cuites à l’eau. Déguster avec plaisir. Conserver le surplus de paterons à température ambiante et déguster froid le lendemain.

*Vous pouvez doubler ou tripler la recette.
**Choisissez une pomme qui garde sa forme à la cuisson.
***Personnellement, j’utilise du cheddar râpé, mais ce n’est pas vraiment typique. Utilisez un fromage que vous aimez qui fond à la cuisson : fromage à raclette, mélange de fromage, gruyère, etc.

Et vous, connaissez-vous les paterons?

Du sucré et du salé pour un mercredi!

Il est rare que je vous propose une recette salé le mercredi. Fondamentalement, il n’y a pas de raison pour que je présente le sucré le mercredi et le salé le dimanche : c’est devenu une habitude.

Quelques semaines avant le 1er août, j’ai vu une émission qui présentait le gâteau du Vully. La recette m’a fortement interpellée et j’ai décidé à ce moment de la proposer pour mon buffet. Au départ, je pensais réaliser que la version salée, mais comme les deux recettes se préparent très bien ensemble et demandent peu d’ingrédients, j’ai également fait la version sucrée. Honnêtement, j’ai été séduite par le résultat : c’est gourmand, simple et différent. La pâte est bien moelleuse et le goût change sans être inhabituel. Bref, je compte bien refaire des gâteau du Vully.

J’ai pris la recette du gâteau du Vully sur le site de Pique-assiette.

Gâteau du Vully
Gâteau du Vully
Pour 2 gâteaux, un sucré, un salé

Pâte
3½ tasses et 1 cuillère à soupe ou 500 g de farine
⅓ de tasse ou 75 g de beurre non salé
2 cuillères à soupe ou 25 g de saindoux*
1 cuillère à soupe ou 8 g de levure sèche ou 20 g de levure fraîche émiettée
2 cuillère à soupe d’eau tiède
1 cuillère à thé de sucre
½ cuillère à thé de sel
1¼ tasse moins 1 cuillère à soupe ou 300 g de lait

Guélon
1 jaune d’oeuf
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de crème 35 % ou entière

Garniture sucré
¼ de tasse ou 50 g de sucre ou 15 cubes de sucre concassés
2 cuillères à soupe ou 30 g de beurre non salé


Garniture salé
60 g de gros lardons**
1 cuillère à soupe ou 15 g de beurre non salé
Graines de cumin au goût (facultatif)
Fleur de sel

Pâte
Déposer la levure dans un petit bol avec le sucre et l’eau. Laisser reposer pendant 15 à 20 minutes.

Dans une casserole, faire fondre à feu doux le beurre et le saindoux. Quand le tout est fondu, ajouter le lait et retirer du feu. Réserver.

Dans un grand bol, verser la farine et le sel. Former un puit et verser la préparation de levure, puis le mélange de lait, beurre et saindoux. Sur un plan de travail légèrement enfariné, pétrir la pâte pendant 5 à 10 minutes ou jusqu’à ce qu’elle soit souple et peu collante***. Diviser en deux la pâte.

Tapisser deux moules à tarte de 23 cm (9 pouces) ou plus de diamètre de papier parchemin en le laissant bien dépasser. Placer un morceau de pâte dans chaque moule. Avec les mains, abaisser les pâtes pour qu’elles couvrent le fond de leur moule. Couvrir d’une pellicule plastique et laisser lever pendant 1h30 dans un endroit à l’abri des courants d’air.

Si désiré, pincer les bords des gâteaux avec le pouce et l’index, puis tourner légèrement avant de lâcher la pâte pour dessiner la bordure. Avec les doigts, créer des trous sur l’ensemble de la pâte.

Guélon
Dans un bol, fouetter le jaune d’oeuf et la crème. Le guélon sert autant dans le gâteau sucré que salé.

Préchauffer le four à 230°C (450°F) en chaleur conventionnelle (les éléments du haut et du bas du four sont allumés et il n’y a pas de ventilateur qui tourne).

Garniture sucré
Sur le premier gâteau, répartir généreusement le guélon. Selon la taille des moules employés, il y aura peut-être un peu trop de guélon. Répartir le sucre sur l’ensemble du gâteau. Couper le beurre en petits morceaux et le répartir sur le gâteau. Au besoin, remettre un peu de guélon pour que le sucre soit totalement imbibé. Enfourner et cuire pendant 10 à 15 minutes. À la sortie du four, déposer le gâteau sur une grille et le laisser totalement refroidir.

Garniture salé
Sur le second gâteau, répartir le guélon. Ajouter les lardons en les enfonçant légèrement dans la pâte. Couper le beurre en petits morceaux et le répartir sur le gâteau. Saupoudrer de cumin et assaisonner de fleur de sel. Enfourner et cuire pendant 10 à 15 minutes. À la sortie du four, déposer le gâteau sur une grille et le laisser totalement refroidir.

Servir le gâteau du Vully salé à l’apéro et le gâteau du Vully pour le dessert. Les gâteaux sont meilleurs le jour de leur préparation, mais on peut les conserver pendant 3 jours. Déguster et savourer avec plaisir.

*Vous pouvez remplacer le saindoux par la même quantité de beurre, par de l’huile de coco, par du Crisco ou par une autre graisse de votre choix.
**Je crois qu’on pourrait garnir le gâteau avec d’autres éléments… à tester!
***Il est possible de pétrir la pâte à l’aide d’un robot pâtissier. Dans ce cas, 5 minutes de pétrissage suffiront.

Et vous, quel gâteau du Vully vous interpelle : le salé ou le sucré?

Ils ont changé la recette!

Quand je suis arrivée en Suisse, j’ai découvert la mousse au chocolat Toblérone à une pendaison de crémaillère… Le lendemain, j’ai cherché la recette sur Internet et je l’ai enregistrée dans mes dossiers. Effectivement, j’ai la recette depuis plusieurs années et je l’ai rarement réalisée. Pourtant il y a quelques temps, j’ai eu envie de préparer cette mousse très connue en Suisse.

Quelle est la particularité de cette mousse? Et bien, on utilise de l’eau bouillante pour faire fondre le chocolat! Oui, je sais : c’est un sacrilège, mais la méthode fonctionne quand même. En recherchant la recette sur le site de Toblérone, j’ai découvert qu’ils conseillent maintenant de faire fondre le chocolat au bain-marie… Pourtant, en cherchant bien, on trouve encore la recette originale! Bref, je vous propose donc la recette de mousse au chocolat Toblérone avec la technique d’origine.

Mousse au chocolat Toblérone
Mousse au chocolat Toblérone
Pour 4 à 6 personnes

150 g (5 onces) de chocolat Toblérone noir*
1 oeuf
1 cuillère à soupe d’eau
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de crème à fouetter
  ou entière

Dans un bol, fouetter l’oeuf avec le sucre jusqu’à ce qu’il palisse. Réserver.

Casser le chocolat en gros morceaux et le déposer dans un bol.

Remplir une casserole d’eau et porter à ébullition. Dès que l’eau bout, retirer la casserole du feu. Verser doucement l’eau sur le chocolat pour le recouvrir totalement. Quand l’on peut enfoncer facilement un pic en bois dans le chocolat, retirer soigneusement l’eau.

Mélanger le chocolat pour l’homogénéiser et incorporer la préparation d’oeuf.

Dans un dernier bol, fouetter la crème jusqu’à ce qu’elle forme des pics mous. Incorporer délicatement la crème fouettée à la préparation de chocolat. Si désiré, verser la mousse dans des verrines ou des ramequins**. Réfrigérer au moins 3 heures avant de servir. Déguster avec gourmandise.

*Je vous encourage à essayer cette recette avec du Toblérone noir, mais vous pouvez également faire un mélange de votre choix de Toblérone noir, au lait et blanc ou utilisez que du Toblérone au lait ou blanc. La mousse sera plus sucrée avec du Toblérone au lait ou blanc.
**Vous pouvez également placer le bol contenant la mousse au réfrigérateur. Au moment de servir, dresser la mousse à l’aide d’une cuillère en faisant ou non des quenelles.

Et vous, est-ce que vous avez-déjà fait fondre du chocolat avec de l’eau chaude?

Qu’est-ce qu’un gâteau à la crème?

Un jour en accompagnant Mini-nous à l’école, avec les autres mamans, nous nous sommes mises à parler du marché d’une ville voisine. L’une a mentionné que l’un des plaisirs de son fils et elle était d’acheter un gâteau à la crème. Sur le moment, je n’ai pas réagi, mais en rentrant, je me demandais à quoi pouvait bien ressembler ce gâteau à la crème. J’imaginais une sorte de génoise garnie de crème fouettée, mais connaissant également le marché, je ne me souvenais pas d’avoir aperçu ce genre de gâteau. Le soir, j’ai questionné mon chéri et lui non plus ne connaissait pas ce gâteau. Quelques jours plus tard, j’ai rediscuté avec cette maman et j’ai compris que ce gâteau était une tarte! Oui, il ne faut pas oublier que les Suisses utilisent couramment le terme « gâteau » pour désigner une tarte. Le problème suivant fut de savoir quelle type de pâte composait cette tarte. Une m’a dit une pâte sablée et une autre maman m’a dit que c’était plutôt une pâte de type feuilletée… Quelques jours plus tard, je suis repassée au marché et je me suis arrêtée devant le kiosque du fameux gâteau à la crème. Je ne vous dis pas ma tête quand j’ai vue la pâte : ce n’était ni une pâte sablée ni une pâte feuilletée, mais bien une pâte levée!

Maintenant que j’avais une idée un peu plus précise du gâteau à la crème, il fallait que j’en cuisine un pour y goûter. Après quelques recherche, mon choix s’est arrêté sur la recette de Wanalee cuisine.Il faut tester, le goût de la garniture est incroyable alors qu’il n’y a que 3 ingrédients! En prime, la recette est plutôt simple, pourquoi attendre?

Gâteau à la crème
Gâteau à la crème (tarte à la crème suisse)
Pour 8 personnes

Pâte*
1 tasse moins 1½ cuillère à soupe ou 125 g de farine
1 cuillères à soupe ou 12 g de beurre non salé, fondu
⅓ de tasse moins ½ cuillère à soupe ou 75 g de lait tiède
1¾ de cuillère à thé ou 8 g de levure fraîche**
½ cuillère à thé de sucre
½ cuillère à thé de sel

Garniture
1½ cuillère à soupe de farine
4 cuillères à soupe ou 50 g de sucre
1¼ tasse moins 2 cuillères à thé ou 300 g de crème à 35 %,
  entière ou de double crème***

Pâte
Couvrir le fond d’une moule à tarte d’environ 20 à 23 cm (8 à 9 pouces) de diamètre de papier parchemin.

Dans un petit bol, délayer la levure dans le lait tiède. Ajouter le sucre et le beurre fondu.

Dans un autre bol, verser la farine et le sel. Verser le lait et mélanger pour obtenir une pâte. Pétrir jusqu’à ce que la pâte soit souple.

Abaisser la pâte et la déposer dans le moule à tarte. Laisser la pâte lever pendant 15 minutes****. Au besoin, façonner les bords.

Garniture
Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Dans un petit bol, mélanger la farine avec 2 cuillères à soupe de sucre. Saupoudrer ce mélange sur le fond de la pâte.

Verser ⅓ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 100 g de crème sur la pâte. Saupoudrer le restant de sucre sur la crème. Enfourner et cuire pendant 20 minutes.

Après les 20 minutes de cuisson, verser le restant de crème dans la tarte et poursuivre la cuisson pendant 10 à 15 minutes. Laisser totalement tiédir avant de déguster avec gourmandise.

*Si vous aimez les tartes avec une garniture moins épaisse, doubler la quantité de pâte et utiliser un moule à tarte d’environ 30 cm (12 pouces) de diamètre.
**Il est possible d’utiliser de la levure sèche. Dans ce cas, il faut 1½ cuillère à thé de levure sèche.
***Moi, j’ai utilisé de la double crème à la quelle j’ai ajouté de la crème entière pour obtenir les 300 g de crème. Le contenant de double crème contient que 250 g…
****Pour une pâte un peu plus aérienne, je crois qu’on pourrait laisser lever la pâte un peu plus longtemps. À essayer.

Et vous, connaissiez-vous le gâteau à la crème?

Mon vieux coup de coeur

Quelques mois après que je sois arrivée en Suisse, nous avions été invités pour une pendaison de crémaillère chez une amie de mon chéri. Pour l’occasion, elle avait préparé du roastbeef. Je n’avais jamais mangé de roastbeef froid ni entendu parlé de ma vie. Pour moi, le roastbeef se mangeait chaud, comme le font les anglais, et je n’avais jamais dégusté d’autre roastbeef aussi bon que celui de ma mère (et de ma marraine, elles utilisent la même recette). Le roastbeef froid a été une révélation pour moi, j’ai adoré! Devant cette découverte et ce coup de coeur, je n’ai pas hésité une seule seconde pour demander la recette. Cette amie a eu la gentillesse de me transmettre la recette de sa maman et je lui en suis toujours aussi reconnaissante. Depuis, je la fais régulièrement et en particulier le 1er août. Pourtant, je n’ai jamais partagé cette recette avec vous alors que c’est un succès à chaque fois.

*Roastbeef froid de Madame Constantin
Roastbeef froid de Madame Constantin
Pour 8 personnes

1 kg d’aiguillette de boeuf*
3 cuillères à soupe ou 40 g de beurre salé
Moutarde en poudre** (facultatif)
Sel et poivre

Préchauffer le four à 80°C (175°F).

Dans une poêle ou une casserole allant au four, faire fondre le beurre. Quand le corps gras est bien chaud, saisir la viande sur toutes les faces pour former une croûte et bien emprisonner les sucs durant le reste de la cuisson. Pendant la cuisson du premier côté, utiliser une cuillère pour prélever le beurre et le verser sur les autres faces de la viande. Quand la viande est bien saisie de tous les côtés, retirer le tout du feu. Sortir la viande de la poêle et la déposer dans une assiette. Assaisonner généreusement de moutarde, de sel et de poivre sur toutes les faces. Remettre la viande dans la poêle et enfourner pendant 2 h 30. Il est possible de vérifier la cuisson avec un thermomètre, la température doit être à 55 °C (131°F) au coeur de la viande.

Retirer la viande de la poêle, la déposer dans un plat et couvrir de papier d’aluminium. Réfrigérer sans attendre. Laisser reposer au moins 12 heures au frais. Trancher finement la viande*** et servir avec une sauce de votre choix : tartare, barbecue ou autres. Déguster avec plaisir!

*Ce ne sont pas tous les bouchers qui utilisent le terme aiguillette de boeuf, alors n’hésitez pas à demander les suggestions de votre boucher pour préparer un roastbeef. Il faut une pièce de boeuf tendre, mais pas besoin de choisir du filet de boeuf : par exemple, la viande pour le steak convient très bien ainsi que l’intérieur de ronde également. Il est possible d’augmenter ou de diminuer la quantité de viande, il suffit d’ajuster le temps de cuisson.
**C’est une épice que j’ai ajouté instinctivement : ma mère en utilise dans sa recette de roastbeef. Il est possible d’utiliser d’autres assaisonnements pour aller chercher d’autres saveurs et varier à chaque fois les plaisirs.
***Je la sers simplement, mais rien ne vous empêche d’ajouter la viande dans une salade, d’en garnir un sandwich, etc.