Catégorie : Divers

Deux thermomètres…

Cet été, j’ai fait ma meilleure confiture de fraises : la texture et le goût sont incomparables. Heureuse du résultat, je me suis dit que j’allais cuire mes prochaines confitures à la même température pour m’assurer du résultat. Je mets ma confiture suivante à cuire et installe la sonde de mon thermomètre. Deux minutes plus tard, le thermomètre s’affole et n’arrête pas de sonner! J’examine la bête et il m’indique que la température est plus haute que ce que peut m’indiquer l’appareil. Je lave la sonde et je regarde la température qu’il m’indique pour l’air ambiant : 35°C… et si on bouge le fil, la température peut atteindre 48°C. J’en ai conclu qu’il avait trépassé. Heureusement, j’ai un autre thermomètre. Je le plonge dans la confiture… pour constater que ce thermomètre n’arrive pas à se stabiliser : la température oscille entre 96°C et 104°C. Bref, j’ai deux thermomètres fort pratique…

J’ai finalement cuit mes confitures en me fiant au test de l’assiette et à mon expérience : je crois que c’est l’année où j’ai le mieux réussi mes confitures! De plus, les saveurs de mes confitures sont bien équilibrées pour le plus grand plaisir de mes papilles… Je crois que je vais commencer à déjeuner régulièrement avec du pain et de la confiture. Aujourd’hui, je vous propose une confiture à la rhubarbe et aux abricots.

Rhubarbe et abricot
Confiture à la rhubarbe et aux abricots
Pour 1 pot de 300 ml et 3 pots de 170 ml

3¼ tasses ou 500 g d’abricots*
2¾ tasses ou 400 g de rhubarbe
2¾ tasses ou 550 g de sucre
1 citron
1 gousse de vanille

Découper la rhubarbe, sans l’éplucher, en tronçon de moins de 1 cm (½ pouce) et la déposer dans un chaudron. Couper les abricots en petits morceaux et les ajouter dans le chaudron avec le sucre. Mélanger, couvrir et laisser macérer pendant 1 à 3 heures. Cette étape permet à la rhubarbe de se ramollir et de se défaire plus aisément à la cuisson.

Presser le citron pour en extrait le jus et l’ajouter au mélange de rhubarbe et d’abricots. Ajouter la gousse de vanille fendue en deux ainsi que les grains de vanille grattés. Mettre le chaudron sur le feu, porter à ébullition puis baisser le feu et laisser mijoter en remuant régulièrement jusqu’à ce que la température atteigne 104°C (219°F), soit environ 45 minutes.

Pour vérifier la cuisson sans thermomètre : placer 2 ou 3 petites assiettes en verre ou en porcelaine au congélateur avant de commencer la cuisson, verser une cuillère à thé de confiture sur l’assiette bien froide et remettre au congélateur pendant 2 minutes. Après ce temps de repos, sortir l’assiette et l’incliner : si la confiture est épaisse et coule doucement, elle est prête.

Retirer la gousse de vanille et mettre dans des pots stérilisés**, si désiré, en laissant 0,5 cm (¼ de pouce) d’espace sous le goulot. Stériliser ensuite les pots pendant 15 minutes dans de l’eau bouillante. Déguster au moment désiré.

*Le poids indiqué est celui des fruits dénoyautés et coupés en petits morceaux.
**Pour la méthode de stérilisation, je vous propose de lire cet article ou celui-ci. Si vous ne voulez pas stériliser vos pots, les conserver au réfrigérateur et les déguster rapidement ou les congeler, mais je n’ai aucune idée de l’incidence de la congélation sur le goût et la texture de la confiture.

Et vous, est-ce que votre thermomètre est fiable?

Avant de parler d’un autre…

Récemment, j’ai découvert un nouveau granola aussi délicieux que celui à la cannelle, mais avant de vous le présenter il faudrait bien que je vous donne la recette de mon granola de référence.

Voici donc la délicieuse recette de granola à la cannelle de Mademoiselle B. du blog Fringues, popote, action!

Très bon granola
Granola à la cannelle
Pour 750 g ou 6 tasses de granola

½ tasse ou 70 g de flocons d’avoine
1½ tasse ou 165 g de flocons de sarrasin
½ tasse ou 80 g de flocons de 5 céréales*
½ tasse ou 70 g de pacanes ou noix de pécan
  concassées grossièrement
½ tasse ou 60 g de filament de noix de coco non sucré
1 cuillère à soupe de cannelle moulue
½ cuillère à thé de sel de mer ou de fleur de sel
¼ de cuillère à thé de muscade moulue
½ tasse ou 170 g de sirop d’érable**
½ tasse ou 120 g de dattes dénoyautées
2 cuillères à soupe d’huile de noix de coco***
2 cuillères à soupe d’eau
2 cuillères à thé d’extrait de vanille
Fruits secs ou pépites de chocolat, au goût (facultatif)

Préchauffer le four à 150° (300°F).

Dans un grand bol, mélanger les flocons d’avoine, les flocons de sarrasin, les flocons de 5 céréales, les pacanes (ou les noix de pécan), la noix de coco, la cannelle, le sel de mer (ou la fleur de sel) et la muscade. Réserver.

Dans un robot muni d’une lame en « s » ou à l’aide d’un mélangeur plongeant, réduire en purée lisse les dattes avec le sirop d’érable, l’huile de noix de coco, l’eau et l’extrait de vanille.

Verser la purée sur les flocons de céréales et mélanger. Étaler la préparation sur deux plaques de cuisson recouvertes de papier parchemin et enfourner pendant 25 minutes. Pendant la cuisson, mélanger doucement à deux reprises le granola. Laisser totalement refroidir sur la plaque de cuisson.

Incorporer des fruits secs ou des pépites de chocolat si désiré. Conserver le granola dans des pots en verre ou une boîte métallique. Déguster avec gourmandise.

*J’ai remplacé le sarrasin blanc entier par des flocons aux 5 céréales, car je n’ai pas trouvé ce type de sarrasin.
**Il est possible de remplacer le sirop d’érable par du miel, mais le goût est vraiment meilleur avec du sirop d’érable.
***Il est possible de remplacer l’huile de noix de coco par de l’huile végétale ou du beurre fondu.

Et vous, pour quel granola craquez-vous?

L’évolution de mes déjeuners

Depuis un certain temps, j’ai pris l’habitude de déjeuner avec du yogourt. J’alterne quand même un peu mes repas du matin, mais il y a une certaine routine qui s’est établie. Avant de déguster mon yogourt, j’ajoutais des graines de courges et des germes de blé. C’est une habitude que j’ai pris en séjournant dans les hôtels, sauf que le choix est plus vaste et que j’incorporais également des fruits. À la maison, je ne me compliquais pas la vie, je faisais simple et rapide. Depuis plusieurs mois, j’ai vu de nombreuses recettes de granola et au final, je n’ai jamais pris le temps d’en essayer une. C’est Mademoiselle B. qui a changé la donne avec le granola qu’elle m’a envoyé. Maintenant, plus question de mettre autre chose que du granola maison dans mes yogourts!

Un jour, je vous proposerais le délicieux granola à la cannelle de Mademoiselle B., mais comme j’ai fini mon pot avant de prendre une photo, il faudra attendre ma prochaine fournée. Aujourd’hui, je vous présente donc la deuxième recette de granola que j’ai réalisé : un granola au chocolat. J’ai pris cette recette sur le site Le Pétrin de Sandra.

Granola au chocolat
Granola tout chocolat
Pour 500 g ou 1 litre de granola

2 tasses ou 250 de flocons d’avoine à l’ancienne*
¾ de tasse ou 25 g de céréales Rice Krispies
5 cuillères à soupe ou 50 g de canneberges séchées
2 cuillères à soupe ou 25 g de raisins secs
2½ cuillères à soupe ou 25 g d’amandes,
  grossièrement hachées
1½ cuillère à soupe ou 10 g de cacao
1 pincée de sel
¼ de tasse ou 50 g de cassonade ou de sucre complet
2 cuillères à thé ou 8 g de sucre vanillé (facultatif)
3½ cuillères à soupe ou 50 g d’eau
4 cuillères à thé ou 15 g d’huile de coco ou de beurre**
3 cuillères à soupe ou 60 g de sirop d’érable ou de miel
80 g (3 onces) de chocolat noir ou au lait

Faire tremper les canneberges et les raisins dans de l’eau chaude (ou du thé) pendant 20 minutes***. Égoutter et réserver.

Hacher finement la moitié du chocolat, soit 40 g (1,5 once). Concasser plus grossièrement le restant de chocolat.

Préchauffer le four à 180°C (350°F). Chemiser de papier parchemin une plaque de cuisson.

Dans un grand bol, mélanger les flocons d’avoine, les céréales Rice Krispies, les canneberges réhydratées, les raisins réhydratés, les amandes, le cacao et le sel. Le cacao doit enrober tous les autres ingrédients.

Dans une chaudron, verser la cassonade (ou le sucre complet), le sucre vanillé, l’eau et l’huile de coco (ou le beurre). Porter à ébullition en brassant régulièrement. Quand le sucre est dissous et dès les premiers signent d’ébullition, retirer le chaudron du feu. Ajouter le sirop d’érable (ou le miel) et le chocolat haché finement (40 g ou 1,5 once). Mélanger jusqu’à ce que le chocolat soit totalement fondu.

Verser la préparation liquide sur les ingrédients secs et mélanger en veillant à ce que tous les ingrédients secs soient enrobés de la préparation liquide. Répartir le granola sur la plaque de cuisson et enfourner pendant 20 à 25 minutes. Mélanger le granola à deux ou trois reprises pendant la cuisson pour une cuisson plus uniforme. Laisser totalement refroidir sur la plaque de cuisson.

Incorporer les morceaux de chocolat et conserver le granola dans des pots en verre ou une boîte métallique. Déguster avec du yogourt, du lait, de la crème glacée, etc.

*Il est possible de remplacer les flocons d’avoine à l’ancienne par des flocons d’avoine à cuisson rapide (ou coupés) ou des flocons d’autres céréales. Si vous utilisez des flocons d’avoine à cuisson rapide, il faudra 2¼ tasses pour obtenir 250 g.
**Vous pouvez également utiliser une huile végétale à la place de l’huile de coco.
***Il est possible d’omettre cette étape. Dans ce cas, ajouter les fruits secs après la cuisson si vous désirez qu’ils restent tendres.

Et vous, comment agrémentez-vous vos yogourts?

Comparaison des prix…

Ce matin, je me suis amusée à compter le prix de notre souper d’hier. Ne craignez rien, je ne deviens pas séraphine (avare)… Ok, pour certaines choses, j’ai un côté économe mais pas sur la nourriture. Et puis, qui peut dire qu’il n’est pas soucieux du bon usage de ses sous dans au moins un aspect de sa vie? Cette lubie m’est venue en regardant le dernier Ricardo où le prix par portion est indiqué pour chaque recette. Je me demandais qu’elle était la différence de prix pour un même repas des deux côtés de l’Atlantique. J’ai été surprise : la différence me semblait minime en regardant la différence en argent, mais quand j’ai converti en pourcentage, j’ai constaté une augmentation de 50%. Bien qu’il s’agisse d’un repas végétarien, on sent déjà bien la différence de coût entre le Québec et la Suisse. Il faudra que je réitère l’expérience avec un plat contenant de la viande : s’il y a bien quelque chose d’onéreux à l’épicerie en Suisse, c’est la viande!

La recette que je vous propose aujourd’hui est un tofu Général Tao. Et oui, le tofu vient de s’intégrer à ma cuisine et je risque d’en refaire. Mon chéri n’y voit pas d’inconvénient, tant qu’il n’a pas de portion supplémentaire pour un lunch. Cette recette est tirée du magazine Ricardo volume 11, numéro 2. Au Québec, la portion revient à environ 2,16$ (1,99 CHF) en suivant la recette de Ricardo. En Suisse, j’estime la portion à 2,92 CHF (3,18$) en utilisant les ingrédients les moins chers. Mon coût est de 3,32 CHF (3,61$) la portion : j’ai apporté quelques modifications à la recette et j’ai utilisé les produits que j’avais qui ne sont pas nécessairement du premier prix. Bref, que vous soyez au Québec ou en Suisse, il s’agit dans les deux cas d’un repas complet à moins de 5$ ou 5 CHF par personne, ce qui est raisonnable.

Tofu à l'asiatique
Tofu Général Tao
Pour 2 personnes

Sauce
¼ de tasse ou 60 g de bouillon de poulet ou de légumes
¼ de tasse ou 50 g de cassonade ou de sucre roux
2 cuillères à soupe ou 30 g de sauce soja
2 cuillères à soupe ou 30 g de vinaigre de riz*
2 cuillères à soupe ou 30 g de ketchup
1 cuillère à thé de fécule de maïs ou de maïzena
1 cuillère à thé de sambal oelek

Sauté
200 g de tofu ferme
2 cuillères à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
¼ de tasse ou 52 g d’huile végétale
2 cuillères à thé de gingembre frais râpé
1 gousse d’ail, hachée finement
1 carotte
10 petits fleurons de brocoli**
Sel

Sauce
Dans un bol, mélanger le bouillon de poulet (ou de légumes), la cassonade (ou le sucre roux), la sauce soja, le vinaigre de riz, le ketchup, la fécule de maïs (ou la maïzena), et le sambal oelek. Réserver.

Sauté
Éponger le tofu puis l’enrober d’un essuie-tout ou d’un papier ménage et le couvrir d’une assiette et d’un poids pour retirer le plus d’eau possible.

Pendant ce temps, remplir un chaudron d’eau et porter à ébullition pour blanchir les légumes. Couper les carottes en rondelles et détailler le brocoli en petits bouquets de même taille. Quand l’eau bout, saler l’eau et ajouter les carottes, faire cuire 3 minutes. Retirer les carottes et les rincer sous l’eau froide pour arrêter la cuisson. Ajouter les fleurons de brocoli dans l’eau bouillante et cuire pendant 4 minutes. Égoutter le brocoli et rincer à l’eau froide pour arrêter la cuisson***. Réserver.

Retirer le tofu de l’essuie-tout et le couper en petits cubes ou en rectangles pas trop épais. Déposer le tofu dans un bol, ajouter la fécule de maïs (ou la maïzena) et bien l’enrober.

Dans un wok ou une grande poêle, faire chauffer l’huile. Quand le corps gras est bien chaud, frire le tofu de tous les côtés pour qu’il soit doré et croustillant. Retirer le tofu du wok (ou de la poêle) et le réserver sur une assiette recouverte de papier absorbant.

Dans le même wok (ou poêle), faire revenir les carottes et les brocolis pendant 3 à 4 minutes. Ajouter le gingembre et l’ail, poursuivre la cuisson pendant 1 minute. Ajouter la sauce et porter à ébullition. Ajouter le tofu et poursuivre la cuisson pour l’enrober de sauce et le réchauffer. Servir sans attendre avec du riz blanc, parfumé ou basmati.

*Si vous ne trouvez pas de vinaigre de riz, il est possible de le remplacer par du vinaigre de cidre ou du vinaigre de vin blanc.
**Il est aussi possible d’utiliser la tige du brocoli. Il suffit de l’éplucher et de la couper en rondelles.
***Vous pouvez blanchir vos légumes en avance et les conserver au frais jusqu’au moment de les utiliser.

Et vous, est-ce que vous calculez le coût de vos repas?

Douce, pas amère…

En parcourant les fruits et légumes à l’épicerie, je suis tombée sur un joli étalage de clémentines. Évidemment, je n’ai pas résisté à la tentation d’en prendre quelques unes. Le soir, j’en ai déshabillé une et j’ai découvert à quel point elles étaient délicieuses. Le lendemain, je salivais encore sur ces fruits savoureux et je savais que j’allais en racheter rapidement pour en faire de la marmelade. Il faut dire qu’il y a un moment que je n’ai pas mangé de marmelade : en Suisse, on trouve surtout, pour ne pas dire uniquement, de la marmelade d’orange amère! Je n’aime pas, mais absolument pas la marmelade d’orange amère. Je n’ai jamais trouvé de marmelade douce : un fois, j’ai bien acheté un pot où il y avait que la mention « marmelade » et j’ai déchanté rapidement quand l’amertume s’est répandue dans ma bouche. À l’occasion, je me suis rabattue sur la marmelade de citron (qui n’est pas amère elle), mais ce n’est tout de pas la même chose.

Après avoir regardé quelques recettes où les photos ne correspondaient pas à ce que je cherchais, je me suis retournée vers mes valeurs sûres : les recettes de Ricardo. C’est dans le livre La Chimie des desserts que j’ai trouvé une recette qui correspondait à ce que je voulais… Je me demande encore pourquoi je n’ai pas regardé dans ce livre en premier. Cette marmelade est délicieuse, je ne me souvenais pas à quel point c’était bon. Je compte bien en refaire et ne plus me priver de marmelade. À mon avis, c’est une belle idée de cadeau, surtout si vos paniers gourmands ne sont pas déjà complets.

Marmelade douce
Marmelade de clémentines et d’oranges
Pour 3 pots de 150 ml

8 clémentines*
1 orange sans pépin
1 tasse ou 250 g de jus d’orange** fraîchement pressé
2¾ ou 550 g de sucre
½ citron

Peler les clémentines et l’orange à vif pour récupérer les suprêmes, la chair. Découper la chair en cubes d’environ 1,5 cm (½ pouce) de côté et les réserver dans un grand chaudron.

Émincer finement les écorces d’agrumes. Déposer les écorces dans un autre chaudron, couvrir d’eau froide et porter à ébullition. Quand l’eau bout, égoutter les écorces et répéter l’opération deux autres fois.

Ajouter les écorces blanchies, le jus d’orange et le sucre dans le chaudron contenant la chair des agrumes. Mélanger et porter à ébullition. Laisser mijoter environ 1 heure à feu moyen en brassant régulièrement la préparation jusqu’à ce que la température atteigne 105°C (220°F).

Pour vérifier la cuisson sans thermomètre : placer 2 ou 3 petites assiettes en verre ou en porcelaine au congélateur avant de commencer la cuisson, verser une cuillère à thé de marmelade sur l’assiette bien froide et remettre au congélateur pendant 2 minutes. Après ce temps de repos, sortir l’assiette et l’incliner : si la marmelade est épaisse et coule doucement, elle est prête.

Ajouter le jus du demi-citron et poursuivre la cuisson 1 minute.

Mettre la marmelade dans des pots stérilisés***, si désiré, en laissant 0,5 cm (¼ de pouce) d’espace sous le goulot. Stériliser ensuite les pots pendant 10 minutes dans de l’eau bouillante. Éteindre le feu et laisser les pots dans l’eau chaude encore 5 minutes avant de les retirer. Offrir ou déguster au moment désiré.

*Choisissez de préférence des clémentines qui ont la peau lisse plutôt que granuleuse. La peau est généralement plus mince et la partie blanche (le ziste), qui est amère, est moins importante.
**Il faut 3 ou 4 oranges pour récolter cette quantité de jus. Il est aussi possible de récupérer le jus obtenu en pelant les agrumes à vif.
***Pour la méthode de stérilisation, je vous propose de lire cet article ou celui-ci. Si vous ne voulez pas stériliser vos pots, les conserver au réfrigérateur et les déguster rapidement ou les congeler, mais je n’ai aucune idée de l’incidence de la congélation sur le goût et la texture de la marmelade.

Et vous, est-ce que vous avez une marmelade que vous préférez?