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De burger à boulette…

Ici, la température joue avec les chaleurs estivales et les journées ensoleillées. Bref, un temps idéal pour sortir le barbecue et faire des hamburgers! Malheureusement, cette équipement n’est pas présent chez moi, donc je préfère me passer de burger plutôt que les cuire à la poêle. Je trouve que le résultat est très dissemblable entre ces deux méthodes de cuisson.

Cependant, j’ai été interpellée par une recette de hamburger à deux reprises : chez Mélanie, La tête dans le chaudron, et chez Libellule, Libellule et ses spatules. La solution quand on ne veut pas faire de burger sans barbecue : faire des boulettes! Le résultat est vraiment satisfaisant : ces boulettes sont moelleuses et elles sont parfaites pour la boîte à lunch.

Boulettes de porc glacées
Boulettes de porc façon côtes levées sucrées
Pour 3 personnes

300 g de porc haché
2 cuillères à soupe ou 15 g de chapelure
2 cuillères à soupe ou 30 g de ketchup
½ cuillère à soupe de sauce soja*
½ cuillère à soupe de mirin*
1½ cuillère à thé de sucre*
1½ cuillère à thé de vin blanc ou de marsala*
1 cuillère à soupe de sirop d’érable (ou de miel)
½ cuillère à soupe de sauce worcestershire
½ cuillère à soupe d’oignon en poudre
¾ de cuillère à thé d’épices de Montréal
  ou d’épices pour bifteck
1½ cuillère à soupe d’huile végétale
Tabasco, au goût
Sel et poivre

Dans un bol, mélanger le ketchup, la sauce soja, le mirin, le sucre, le vin blanc (ou le marsala), le sirop d’érable (ou le miel), la sauce worcestershire, l’oignon en poudre, les épices de Montréal (ou d’épices pour bifteck) et quelques gouttes de tabasco. Saler et poivrer.

Dans un second bol, mélanger le porc haché et la chapelure. Ajouter la moitié de la sauce; conserver au moins 4 cuillères à soupe du mélange liquide. Façonner des boulettes de moins de 2,5 cm (1 pouce) de diamètre.

Dans une poêle, verser l’huile et la faire chauffer. Quand le corps gras est chaud, ajouter les boulettes et les faire colorer sur toutes les faces. Baisser le feu, badigeonner les boulettes de viande avec la sauce réservée et les brasser pour les enrober de sauce. Poursuivre la cuisson et badigeonner une autre fois les boulettes quand elles commencent à noircir. Badigeonner une dernière fois les boulettes, vérifier la cuisson des boulettes et servir. Il faut compter environ 15 minutes de cuisson selon la taille de vos boulettes.

*Il est possible de remplacer la sauce soja, le mirin, le sucre et le vin blanc (ou le marsala) par 1½ cuillère à soupe de sauce teriyaki. Comme j’ai rarement de sauce teriyaki à la maison, j’utilise ce mélange de substitution.

Et vous, est-ce que vous avez une technique pour faire de bon hamburger à l’intérieur?

Pour une fois, pas d’aigre-doux

Il y a longtemps que je n’avais pas fait de sauté asiatique et un soir, ça m’a fait envie. Au réfrigérateur, séjournait justement du poulet qui avait un destin indéterminé (il savait cependant qu’il finirait par être mangé). Plus tôt dans la journée, j’avais également aperçu des noix de cajou qui s’ennuyaient depuis un bon moment dans un tiroir… il faut dire que je les avais oubliées. J’ai cherché une recette qui pouvait marier ces deux ingrédients.

J’ai fouillé dans ma liste de recettes à tester (je peux vous dire qu’elle est longue!) et je suis tombée sur une recette de poulet aux arachides Thaï que j’avais pris sur le feu blog Le plaisir de la table. Je me suis retenue à deux mains pour ne pas ajouter du gingembre dans cette recette et pour la suivre presque à la lettre. Contrairement à mes autres sautés, celui-ci a un goût délicat et n’est pas aigre-doux. Bref, il est parfait pour les gens qui n’aime pas les plats sucré-salé, mais qui veulent s’aventurer dans la cuisine asiatique.

Sauté Thaï
Poulet aux noix de cajou à la Thaï
Pour 3 personnes

300 g de poitrines de poulet désossées
1 brocoli*
½ cuillère à thé de poudre d’oignon
½ cuillère à thé de sambal oelek**
¼ de tasse ou 60 g de sauce aux huîtres
2 cuillères à soupe de sauce soja
1 cuillère à thé de sucre
¼ de tasse ou 50 g de noix de cajou*** non salées
¼ de tasse ou 60 g d’eau
1 cuillère à thé de mirin**** (facultatif)
3 cuillères à soupe d’huile végétale
Sel

Remplir un chaudron d’eau et porter à ébullition pour blanchir le brocoli. Pendant ce temps, détailler le brocoli en petits bouquets de même taille, éplucher le tronc du brocoli et le couper en rondelles de même épaisseur. Quand l’eau bout, saler l’eau et ajouter les rondelles et les fleurons de brocoli. Cuire pendant 4 minutes. Égoutter le brocoli et rincer à l’eau froide pour arrêter la cuisson*****. Réserver.

Dans une poêle, verser les noix de cajou. Poser la poêle sur le feu, sans ajouter de corps gras, et faire griller les noix en les remuant fréquemment. Retirer les noix de la poêle quand elles sont légèrement dorées, réserver.

Dans un bol, mélanger la sauce aux huîtres, la sauce soja, le sucre et le mirin. Réserver.

Couper le poulet en petites lanières. Dans une poêle verser 2 cuillères à soupe d’huile. Quand l’huile est bien chaude, ajouter le poulet et le cuire. Quand le poulet est cuit, le retirer de la poêle et réserver.

Au besoin, ajouter le restant d’huile dans la poêle et y faire revenir pendant 1 minute le sambal oelek. Ajouter le brocoli blanchi et le faire cuire pendant 2 à 3 minutes. Assaisonner avec la poudre d’oignon. Remettre le poulet dans la poêle et ajouter le mélange à base de sauce aux huîtres puis l’eau. Incorporer les noix de cajou quand la sauce est bien chaude et poursuivre la cuisson pendant 1 minute, juste pour réchauffer les noix. Servir sans attendre sur un lit de riz au jasmin ou basmati.

*Il est possible d’utiliser d’autres légumes : poivron, carotte, oignon, etc.
**Dans la recette originale, il utilise un petit piment rouge séché. Utiliser ce que vous avez sous la main ou ce que vous préférez.
***Selon votre envie, remplacer les noix de cajou par des arachides grillées et non salées. Dans ce cas, vous n’avez pas besoin de les faire griller à la poêle.
****Le mirin est un vin sucré fait à base de riz. On le retrouve dans la cuisine japonaise. Habituellement, le mirin ne contient pas d’alcool.
*****Il est possible de blanchir le brocoli en avance et de le conserver au frais jusqu’au moment de s’en servir. Vous pouvez omettre cette étape si vous aimez vos légumes croquants ou les cuire plus longtemps à la poêle.

Et vous, qu’est-ce que vous aimez dans les plats asiatiques?

Du poisson?

J’adore la complexité des repas asiatiques autant au niveau des saveurs que des textures. La problématique est souvent de départager la cuisine asiatique « authentique », celle qui correspond exactement à ce qu’on peut retrouver dans ces pays et les « adaptations » où les recettes originales sont modifiées pour s’adapter aux ingrédients disponibles ou pour correspondre aux goûts des gens du pays d’adoption. Certaines fois, il est difficile de classifier les recettes, mais je crois surtout qu’il est difficile de trouver des recettes « authentiques ». Cette fois, il n’y avait pas de doute, c’était une adaptation… avec de la truite! Je ne sais pas pour vous, mais quand j’ai vu poisson aigre-doux, j’ai eu de gros doute sur le mariage. Quand j’en ai discuté avec mon chéri, il a eu le même air hébété que moi.

N’ayant pas envie de prendre de risque et n’arrivant pas à imaginer de la truite à l’aigre-doux, j’ai remplacé le poisson par du poulet. J’ai également ajouté des légumes à ce sauté. La version que je vous propose est une déclinaison d’une recette tirée du Coop magazine.

Aigre-doux
Poulet aigre-doux
Pour 2 personnes

180 g de poitrines de poulet désossées
6 à 10 fleurons de brocoli
1 carotte
1 oignon*
2 cuillères à soupe d’huile végétale
2 tranches d’ananas en boîte ou frais
2½ cuillères à soupe de sucre
½ cuillère à soupe d’eau
1¼ tasse ou 310 g de jus d’orange
3 cuillères à soupe de ketchup
1 cuillère à thé de vinaigre de cidre**
1 cuillère à soupe de sauce soja
½ cuillère à soupe de gingembre frais, râpé
1 gousse d’ail
½ cuillère à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
1 cuillère à soupe d’eau
½ cuillère à thé de sambal oelek (facultatif)
Sel et poivre

Remplir un chaudron d’eau et porter à ébullition pour blanchir les légumes. Pendant ce temps, couper la carotte en rondelles et détailler le brocoli en petits bouquets de même taille. Quand l’eau bout, saler l’eau et ajouter la carotte, faire cuire 3 minutes. Retirer la carotte et la rincer sous l’eau froide pour arrêter la cuisson. Ajouter les fleurons de brocoli dans l’eau bouillante et cuire pendant 4 minutes. Égoutter le brocoli et rincer à l’eau froide pour arrêter la cuisson***. Réserver.

Couper les rondelles d’ananas en petits morceaux. Émincer l’oignon en demi-rondelle et avec la lame d’un couteau, écraser la gousse d’ail ou la hacher finement, au choix. Réserver.

Couper en languettes ou en petits morceaux les poitrines de poulet et réserver.

Dans un bol, mélanger le jus d’orange, le ketchup, le vinaigre, la sauce soja, le gingembre râpé et la gousse d’ail. Dans un autre bol, mélanger la fécule de maïs (maïzena) et l’eau (1 cuillère à soupe). Réserver.

Dans une poêle, verser ½ cuillère à soupe d’huile et faire revenir à feu doux l’oignon jusqu’à ce qu’il soit translucide et qu’il commence à caraméliser. Retirer de la poêle et réserver dans une assiette.

Pendant la cuisson de l’oignon, dans un chaudron verser le sucre et l’eau (½ cuillère à soupe). Faire cuire jusqu’à ce que le sucre prenne une jolie couleur dorée. Quand le caramel à la couleur désirée (plus un caramel est foncé, plus il est amer), verser le jus d’orange. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la sauce soit homogène et lisse. Ajouter le mélange de ketchup et prolonger la cuisson de 5 minutes. Réserver.

Dans la poêle qui a servi à cuire l’oignon, ajouter un peu d’huile et faire revenir le poulet. Saler et poivrer la viande. Quand la viande est cuite, ajouter, au besoin, de l’huile, les morceaux d’ananas, la carotte et les fleurons de brocoli et les faire sauter pendant 2 à 3 minutes. Ajouter le sambal oelek et l’oignon. Bien mélanger. Verser la sauce réservée dans le chaudron et porter le tout à ébullition. Quand la sauce est chaude, ajouter le mélange d’eau et de fécule de maïs. Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la sauce ait épaissi et servir sur un lit de riz basmati ou au jasmin.

*Il est possible d’omettre l’oignon et de remplacer la carotte ou le brocoli par d’autres légumes.
**Si vous n’avez pas de vinaigre de cidre, remplacez-le par un vinaigre de vin blanc, de riz, d’abricot, etc. Éviter si possible le vinaigre blanc qui est moins aromatique.
***Il est possible de blanchir vos légumes en avance et de les conserver au frais jusqu’au moment de s’en servir.

Et vous, que pensez-vous du mariage truite aigre-doux?

Note : Pour le Muffin Monday, je vous donnerai les résultats dès que possible! Je ne vous ai pas oubliés. J’attends les votes d’un des membres du jury qui a des soucis avec son accès Internet. Merci de votre patience et de votre compréhension.

S’il faisait froid…

Les variations de température en hiver, on connait au Québec. Chaque année pendant cette période, on côtoie des journées plus douces à moins dix degrés et des journées beaucoup plus froide à moins trente degrés… et il ne faut pas négliger le facteur vent qui peut tout changer! Mais en général en cette période, il fait froid, s’il ne fait pas « frette » (Oui, il y a une nuance entre froid et « frette »!). Bref, le matin, on ne se pose pas de question, il faut bien s’habiller et le manteau d’hiver est de rigueur. Mais en Suisse, le temps ne sait pas se tenir… La température est aussi variable, mais elle oscille entre les températures positives et négatives! Il y a des journées printanières à quinze degrés et il y en a d’autres plus fraîches avec le vent du Nord à moins cinq. Le problème, c’est que je dois jongler avec mes manteaux : je prends mon manteau d’hiver le matin et quelques heures plus tard, le temps se réchauffe et je me mets à cuire! Cependant, s’il y a le vent du Nord, mon manteau d’hiver est parfait. Bref, les hivers devraient être froid ou chaud, mais pas les deux en même temps!

Cependant, que le temps soit chaud ou froid, un bon petit sauté fait toujours plaisir. J’ai pris cette recette sur le blog d’Isabelle, Les gourmandises d’Isa. J’ai un peu modifié la recette en remplaçant les légumes et en ajoutant quelques épices.

Mariage de poulet, d'orange et de cajou
Languettes de poulet à l’orange et aux noix de cajou
Pour 3 personnes

300 g de poitrines de poulet désossées
1 cuillère à soupe de fécule de maïs (maïzena)
3 cuillères à soupe de sauce soja
Le jus d’une orange ou ⅓ de tasse ou 90 g de jus
  d’orange du commerce
2 cuillères à soupe d’eau
2 cuillères à thé d’huile de sésame
2 cuillères à soupe d’huile végétale, au choix
½ tasse ou 75 g de noix de cajou
⅔ de tasse ou 160 g de bouillon de poulet
2 carottes*
1 petit brocoli
¼ de poivron orange, jaune ou rouge
½ cuillère à thé de sambal oelek (facultatif)
½ cuillère à thé de gingembre en poudre
Sel et poivre

Remplir un chaudron d’eau et porter à ébullition pour blanchir le brocoli. Pendant ce temps, détailler le brocoli en petits bouquets de même taille, éplucher le tronc du brocoli et le couper en rondelles de même épaisseur. Quand l’eau bout, saler l’eau et ajouter les rondelles et les fleurons de brocoli dans l’eau bouillante et cuire pendant 4 minutes. Égoutter le brocoli et le rincer à l’eau froide pour arrêter la cuisson**.

Éplucher et couper les carottes en julienne***, en petit bâtonnets. Découper le poivron en languettes. Découper le poulet en petites lanières. Réserver.

Dans un bol, mélanger la fécule de maïs (ou la maïzena), la sauce soja, le jus d’orange, l’eau et l’huile de sésame. Réserver.

Dans une poêle ou un wok, faire chauffer 1 cuillère à soupe d’huile végétale. Quand l’huile est bien chaude, ajouter le poulet et le faire revenir jusqu’à ce qu’il soit cuit. Retirer de la poêle et réserver.

Dans la même poêle, ajouter l’huile restante et faire revenir le brocoli, le poivron pendant 2 à 3 minutes. Ajouter les carottes en julienne, le sambal oelek et le gingembre en poudre, poursuivre la cuisson 1 minute de plus. Verser le bouillon de poulet et porter à ébullition. Baisser le feu et laisser mijoter pendant 3 minutes. Incorporer le mélange de fécule de maïs et cuire jusqu’à ce que le mélange épaississe un peu. Ajouter les noix de cajou pour les réchauffer et poursuivre la cuisson jusqu’à ce que la sauce soit à la consistance désirée. Saler et poivrer au besoin. Servir accompagné d’un riz blanc.

*Il est possible de remplacer les carottes, le brocoli et le poivron par d’autres légumes : du bok choy, des oignons, des champignons, etc.
**Il est possible de blanchir vos légumes en avance et de les conserver au frais jusqu’au moment de les utiliser.
***J’ai coupé mes carottes en julienne pour accélérer la cuisson et pour avoir une autre texture. Il est cependant possible de trancher les carottes en rondelles et de les blanchir pendant 3 minutes.

Et pour vous, comment est l’hiver?

La cuisson…

Il y a des recettes où l’on maîtrise parfaitement (ou presque) la cuisson des viandes et il y en a d’autres… où ce n’est pas très brillant. Pour le roastbeef, le poulet, le lapin, le canard et le porc, je m’en sors plutôt bien, mais pour les steaks et les brochettes de boeuf, c’est une autre histoire. Pour faire court, ces pièces de viandes finissent habituellement trop cuites. Cependant, pour réussir à tout coup une cuisson, il n’y a qu’une solution : essayer et réessayer.

Cette fois, j’ai opté pour des brochettes de boeuf. N’oubliez pas que pour les brochettes, une cuisson maîtrisée dépend de votre four et de la taille de vos cubes de viande. Il est aussi possible de cuire ces brochettes à la poêle ou sur le barbecue. J’ai trouvé cette recette sur le blog de Jasmine cuisine.

Une cuisson rosée ou bien cuite?
Brochettes de boeuf Thaï à l’orange
Pour 3 personnes

300 g de cubes de boeuf à brochette*
1 orange**
¼ de tasse ou 60 g de sauce soja
¼ de tasse ou 60 g de vinaigre de riz
1 cuillère à soupe de miel
1 cuillère à soupe d’huile de sésame
1 cuillère à thé de gingembre moulu
1 cuillère à thé de coriandre moulue
2 gousses d’ail
3 cuillères à thé de sauce chili ou de ketchup

Zester et prélever le jus de l’orange. Éplucher et couper en lamelles les gousses d’ail.

Dans un bol, mélanger le jus d’orange, le zeste, la sauce soya, le vinaigre de riz, le miel, l’huile de sésame, le gingembre, la coriandre, l’ail et la sauce chili (ou le ketchup). Ajouter les cubes de boeuf à la marinade. Couvrir d’une pellicule plastique et laisser macérer pendant au moins 4 heures au réfrigérateur.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Rincer sous l’eau froide les piques à brochette en bois pour éviter qu’ils brûlent durant la cuisson. Enfiler les morceaux de boeuf marinés sur les piques à brochette. Déposer les brochettes sur une plaque de cuisson légèrement huilée. Enfourner et cuire pendant 15 minutes.

*Pour faire des brochettes de boeuf, vous pouvez choisir entre plusieurs pièces de viandes : steak, intérieur de ronde, bavette, contre-filet (faux-filet), surlonge, etc. À vous de choisir.
**Si vous n’avez pas d’orange sous la main, utiliser ⅓ de tasse ou 90 g de jus d’orange.

Et vous, y a-t-il une pièce de viande qui vous cause des soucis?