Mot-clé : fleur de sel

Moins systématique…

Depuis déjà un bon moment, je prends moins de photos de ce que je cuisine. Il faut dire que j’essaye moins de nouvelles recettes. Des fois, c’est simplement un oubli et d’autre fois, je veux goûter avant de prendre des photos. Le second cas arrive assez souvent pour les plats sucrés… J’avoue que j’ai eu plusieurs recettes qui ne m’ont pas totalement satisfaite, alors il n’y a pas de photo. Le problème, c’est qu’il y a de moins en moins de recettes que j’ai envie de partager avec vous. Il faut vraiment que je me remettre à cuisiner du sucré et surtout à faire moins de gaffes en cuisine…

Cette fois, je vous propose des verrines avec une crème de noix de coco et une mousse au chocolat sans oeuf surmontée d’un crumble au cacao. Je me suis inspirée de plusieurs sources : le livre d’Isabelle, Les gourmandises d’Isa; l’Encyclopédie du chocolat et cette recette de Patrice Demers.

Verrines de crème de noix coco et de mousse au chocolat
Verrines de crème de noix coco et de mousse au chocolat
Pour 6 personnes

Crème à la noix de coco
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de lait de coco
⅓ de tasse ou 30 g de noix de coco râpée (non sucrée)
1 jaune d’oeuf
1 cuillère à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
2 cuillères à soupe de sucre*
¼ de tasse ou 55 g de beurre non salé

Mousse au chocolat
165 g (6 onces) de chocolat à 60 % de cacao
¾ de cuillère à thé de gélatine en poudre
  ou 1 feuille de gélatine (2 g)
½ tasse ou 125 g de lait
1 tasse ou 250 g de crème à fouetter ou entière

Crumble
2½ cuillères à soupe ou 37 g de beurre non salé,
  à température ambiante
2½ cuillères à soupe ou 31 g de sucre
⅓ de tasse ou 40 g de farine
3¾ cuillères à thé de cacao
½ cuillère à thé de fleur de sel

Crème à la noix de coco
Dans un chaudron, verser le lait de coco et la noix de râpée. Déposer le chaudron sur le feu et chauffer jusqu’à ce que le liquide soit chaud sans porter la préparation à ébullition.

Dans un bol, fouetter le jaune d’oeuf avec le sucre et la fécule de maïs (ou la maïzena). Toujours en fouettant, verser doucement la préparation de lait de coco chaud. Remettre le tout dans le chaudron et cuire en mélangeant continuellement pendant 2 minutes ou jusqu’à ce que la préparation ait épaissi. Retirer le chaudron du feu, laisser tiédir 3 à 5 minutes, puis incorporer graduellement le beurre. Si possible, mixer le mélange à l’aide d’un pied mélangeur. Répartir la crème dans des verrines en les remplissant à moitié. Réserver au réfrigérateur pendant au moins 1 heure.

Mousse au chocolat
Hydrater la gélatine : si elle est en poudre, verser 2 cuillères à thé d’eau froide dans un petit bol puis saupoudrer la gélatine, mélanger et laisser gonfler; si elle est en feuille, la déposer dans un bol rempli d’eau froide et la laisser tremper pendant 5 minutes.

Hacher le chocolat noir et le déposer dans le bol d’un bain-marie. Faire fondre le chocolat. Quand le chocolat est totalement fondu le retirer du bain-marie.

Dans un chaudron, verser le lait et le porter à ébullition. Quand le lait est chaud, ajouter la gélatine et le verser en trois fois sur le chocolat fondu en mélangeant bien entre chaque ajout.

Dans un autre bol, verser la crème bien froide et la fouetter pour obtenir une texture souple et mousseuse (une crème fouettée un peu molle). Incorporer délicatement la crème fouettée à la préparation de chocolat qui a tiédi (le chocolat devrait être à environ 45°C ou 113°F). Verser la mousse au chocolat sur la crème à la noix de coco qui a refroidit. Entreposer de nouveau au réfrigérateur et laisser reposer pendant, idéalement, 6 heures.

Crumble
Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un bol, mélanger le sucre, la farine, le cacao et la fleur de sel. Ajouter le beurre et brasser jusqu’à ce la pâte forme des morceaux plus ou moins gros. Sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin, défaire la pâte en morceaux plus ou moins gros et enfourner pendant 8 minutes. Pendant la cuisson, remuer le crumble pour que la cuisson soit plus uniforme. Laisser tempérer et ranger dans une boîte qui ferme hermétiquement.

Au moment de servir, ajouter un peu de crumble sur la mousse au chocolat puis déguster avec gourmandise.

*Pour cette recette, vous pouvez utiliser du sucre blanc, du sucre de canne, de la cassonade ou un autre sucre de votre choix.

Bonne soirée!

Une proposition pour les fraises

Voilà, j’arrive avec une nouvelle recette avec des fraises. Il faut le dire qu’en préparant ce dessert j’ai eu des doutes… disons que tous les ingrédients n’étaient pas de première jeunesse et j’avais peur qu’il en ait un qui soit rance. Au final, pas du tout et le résultat m’a drôlement surprise : c’est vraiment gourmand! Pour l’instant, je n’ai pas vraiment d’autre recette en vue, mais si je regarde un peu dans ma liste de recettes à essayer, je devrais trouver d’autres idées.

La recette que je vous propose ressemble à une tarte aux fraises sur un sablé. C’est plutôt rare que je mette des fraises fraîches sur une tarte, car elle se conserve moins bien. Cependant, l’idée est intéressante surtout quand les fraises sont bien sucrées et bien gouteuses. J’ai pris cette recette dans le livre Best of Christophe Adam de Christophe Adam.

Sablé breton, fraises et caramel au beurre salé
Sablé breton, fraises et caramel au beurre salé
Pour 9 personnes

Crème au caramel
½ tasse moins ½ cuillère à soupe ou 90 g de sucre
¼ de tasse ou 56 g de beurre non salé, tempéré
1 pincée de fleur de sel
½ tasse moins 2 cuillères à thé ou 115 g de crème 35 %
  ou entière
½ cuillère à thé ou 1 g de gélatine en poudre*
¾ de tasse moins 1 cuillère à soupe ou 175 g de
  mascarpone

Sablé breton
½ tasse moins 2 cuillères à thé ou 100 g de beurre
  non salé, tempéré
½ tasse ou 100 g de sucre
3 jaunes d’oeufs (environ 50 g)
⅔ de tasse ou 80 g de farine
½ tasse moins 1 cuillère à soupe ou 60 g de farine
  de sarrasin ou de blé noir**
2 cuillères à thé ou 8 g de poudre à pâte
  ou de levure chimique
¼ de cuillère à thé ou 1 g de fleur de sel
1 orange pour le zeste***

Montage
⅓ de tasse ou 50 g de pistaches non salé, réduit en poudre
Fraises fraîches en quantité suffisante (environ 30)
20 pistaches non salé entières (facultatif)
Quelques feuilles de menthe (facultatif)
Zeste d’une demi-orange (facultatif)

Crème au caramel
Dans un chaudron, verser le sucre et faire cuire jusqu’à ce que le sucre prenne une jolie couleur dorée. Il est possible de brasser le sucre avec une cuillère vu que c’est un caramel à sec : il ne devrait pas se cristalliser. Quand le caramel a la couleur désirée (plus un caramel est foncé, plus il est amer), retirer le chaudron du feu. Ajouter le beurre et la fleur de sel. Réserver.

Dans un second chaudron, verser la crème et saupoudrer la gélatine. Laisser reposer pendant 5 minutes le temps que la gélatine gonfle. Chauffer la crème. Quand la crème est à ébullition la verser sur le caramel. Bien mélanger et laisser le caramel reposer à température ambiante pendant 30 minutes.

Dans un bol, déposer le mascarpone. Ajouter une partie du caramel. Mélanger énergiquement jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Incorporer le restant de caramel. Placer la crème caramel au réfrigérateur pendant au moins 1 heure.

Sablé breton
Préchauffer le four à 180°C (350°F). Chemiser de papier parchemin un moule**** carré de 20 cm (8 pouces) de côté.

Dans un petit bol, fouetter le beurre jusqu’à ce que sa texture soit crémeuse. Réserver.

Dans un bol, fouetter les jaunes d’oeufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Toujours en fouettant le mélange, incorporer graduellement le beurre. Tamiser les farines et la poudre à pâte (ou la levure chimique) au dessus du mélange de jaunes d’oeufs et de beurre. Ajouter la fleur de sel et le zeste de l’orange. Mélanger délicatement, à l’aide d’une spatule, jusqu’à ce que la pâte soit homogène. Verser la pâte dans le moule. Étaler la pâte pour qu’elle couvre la surface du moule. Enfourner et cuire 30 minutes ou jusqu’à ce que le sablé soit bien doré. Laisser le sablé refroidir avant de le démouler.

Montage
Verser la crème au caramel sur le sablé breton. Lisser la crème pour qu’elle couvre toute la surface du sablé. Appliquer une couche généreuse de poudre de pistache sur toute la bordure du sablé.

Laver, équeuter et couper les fraises. Disposer les fraises selon l’envie sur la crème au caramel. Ajouter au goût les pistaches entières, les feuilles de menthe et le zeste d’orange. Déguster immédiatement ou réfrigérer jusqu’au moment de servir. Déguster avec gourmandise.

*Vous pouvez remplacer la gélatine en poudre par de la gélatine en feuille. Dans ce cas, utilisez 1 g ou ½ feuille de gélatine. Plonger la feuille de gélatine dans un bol rempli d’eau froide pendant 5 minutes. Essorer la gélatine et faites-la fondre dans la crème chaude.
**Si vous n’avez pas de farine de sarrasin, remplacez-la par une autre farine (ou un mélange de farines) de votre choix : petit épeautre, kamut, blé entier ou ordinaire, etc.
***J’ai oublié d’acheter des oranges pour le zeste. J’ai remplacé le zeste dans la pâte à sablé breton par les grains d’une gousse de vanille.
****Vous pouvez également utiliser un cadre à pâtisserie déposer sur une plaque recouverte de papier parchemin ou un moule à tarte de 23 cm (9 pouces) de diamètre.

Et vous, est-ce que vous avez plutôt l’habitude d’une tarte avec les fraises qui sont cuites ou qui sont crues?

Accumulation de pain…

Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas. Parfois, la fin de semaine, nous manquons de pain et nous devons passer à la boulangerie ou en faire et d’autre fois, le pain s’accumule en un petit monticule. Il y a quelques temps mon chéri et mini-nous dévoraient le pain qu’ils accompagnaient avec du chocolat. Deux semaines de suite, ils m’ont fait le coup : le pain disparaissait à grande vitesse. La semaine qui a suivi, j’ai acheté un peu plus de pain, pensant qu’ils allaient encore me l’engloutir au même rythme… Et bien non, cette fois-là, ils y ont à peine touché! Au final, j’ai eu droit à un amoncellement de pain sec.

J’avais vraiment plus de pain sec que de coutume, alors un pouding au pain s’est imposé. J’ai opté pour une recette de Patrice Demers qui a été présentée à l’émission Les desserts de Patrice. Quel bon choix! J’ai eu l’impression de déguster des petites brioches que ma mère fait occasionnellement… mais elles m’ont pris beaucoup moins de temps à les préparer!

Pouding au pain renversé au caramel et aux pacanes
Pouding au pain renversé au caramel et aux pacanes
Pour 6 personnes

Caramel aux pacanes
½ tasse ou 100 g de cassonade ou de sucre roux
¼ de tasse ou 55 g de beurre non salé
2 cuillères à soupe ou 30 g d’eau
½ cuillère à thé de fleur de sel
½ tasse ou 75 g de pacanes ou de noix de pécan

Pouding au pain
1 oeuf
2½ cuillères à soupe ou 33 g de sucre
½ cuillère à thé d’extrait de vanille ou les graines
  d’une demi-gousse de vanille
¼ de cuillère à thé de cannelle moulue
½ tasse ou 125 g de lait
½ tasse ou 125 g de crème à 35 % ou de crème entière
4 tasses ou 240 g de pain brioché ou au lait, coupé
  en cubes

Caramel aux pacanes*
Beurrer un plat de cuisson** allant au four d’environ 20 cm (8 pouces) de diamètre.

Dans un chaudron, déposer la cassonade, le beurre et l’eau. Porter à ébullition et laisser bouillir à feu fort pendant 2 minutes en remuant à quelques reprises pour que la coloration soit uniforme. Retirer du feu et ajouter la fleur de sel. Verser le caramel dans un plat de cuisson beurré. Saupoudrer les pacanes (ou les noix de pécan) et réserver.

Pouding au pain
Dans un bol, fouetter l’oeuf avec le sucre, les graines de vanille et la cannelle. Ajouter le lait et la crème. Incorporer les cubes de pain et bien mélanger. Réserver au réfrigérateur pendant au minimum 1 heure.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Verser la préparation de pain dans le moule contenant le caramel et les pacanes. Enfourner et cuire pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que le dessus du pouding soit doré.

À la sortie du four, renverser sans attendre le pouding dans une assiette de présentation. Déguster avec gourmandise… et éventuellement avec un peu de crème glacée!

*Préparez le caramel pendant que le pain repose dans le mélange d’oeuf et de lait au réfrigérateur.
**Vous pourriez utiliser des ramequins ou d’autres moules individuels. Dans ce cas, la cuisson prendrait environ 15 minutes.

Et chez vous, est-ce que la consommation de pain fluctue d’une semaine à l’autre?

La chasse au lapin… et au chocolat!

Mes seules préoccupations pour Pâques étaient d’envoyer un colis chocolaté à ma famille et d’aller chez mon chocolatier préféré pour acheter un lapin ainsi que de découvrir sa collection. Ces choses étant faites, je n’ai pas pensé outre mesure à Pâques. De plus, nous avons été invité pour un repas du dimanche… J’avoue que je n’aurais pas pensé à lancer des invitations pour la fête du chocolat, mais je compte bien demander à l’hôtesse s’il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour l’aider. Bref, ce n’est pas chez moi que vous allez découvrir des recettes pascales.

Pour rester dans la thématique du chocolat, je vous propose une recette de gâteau bien chocolaté. J’ai découvert cette recette de Pierre Hermé chez Les délices d’Hélène.

Petits gâteaux au chocolat et aux pépites de chocolat à la fleur de sel
Petits gâteaux au chocolat et aux pépites
de chocolat à la fleur de sel

Pour 20 mini-gâteaux*

Cubes de chocolat à la fleur de sel**
80 g (3 onces) de chocolat noir entre 65 % et 70 % de cacao
¼ de cuillère à thé ou 1 g de fleur de sel

Gâteau au chocolat
⅔ de tasse ou 80 g de farine
3 cuillères à soupe ou 20 g de cacao
¾ de cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
2 oeufs
7 cuillères à soupe ou 95 g de beurre non salé, tempéré
½ tasse ou 95 g de sucre

Cubes de chocolat à la fleur de sel
Tapisser d’une pellicule plastique un petit plat d’environ 6 cm par 11 cm (2⅜ pouces par 4⅜ pouces) ou un plat qui offre environ la même surface.

Hacher le chocolat noir et le déposer dans le bol d’un bain-marie. Faire fondre le chocolat. Quand le chocolat est totalement fondu le retirer du bain-marie et le laisser tiédir. Lorsque le chocolat n’est plus chaud au toucher, ajouter la fleur de sel et mélanger délicatement. Verser le chocolat dans le plat préparé plus tôt. Réfrigérer pendant 30 minutes.

Gâteau au chocolat
Chemiser de caissettes en papier un moule à mini-muffin***.

Dans un bol, mélanger la farine, le cacao et la poudre à pâte.

Dans un second bol, mélanger le beurre avec le sucre et les oeufs. Fouetter le mélange pendant 10 minutes. Réserver.

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Sortir le chocolat du réfrigérateur. Retirer la pellicule plastique du chocolat et le découper en cubes de 1 cm (⅜ de pouce) de côté.

À l’aide d’une spatule, incorporer délicatement la préparation de farine au mélange de beurre et d’oeuf. Ajouter ensuite, toujours délicatement, les cubes de chocolat. Répartir la pâte dans le moule à muffin. Enfourner et réduire la température du four à 180°C (350°F). Cuire environ 15 à 18 minutes**** ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre d’un gâteau en ressorte propre. Retirer les petits gâteaux du moule et les laisser refroidir. Déguster avec gourmandises.

*Le nombre de gâteaux dépendra de la taille de votre moule.
**Si vous n’avez pas envie de réaliser les cubes de chocolat à la fleur de sel, remplacez-les par 80 g (3 onces) de chocolat hacher grossièrement.
***Vous pouvez utiliser un moule à muffin de taille régulière ou des petits moules rectangulaire. Au besoin, beurrer et enfariner les moules.
****Le temps de cuisson peut être plus long selon la taille de votre moule à gâteau.

Et vous, avez-vous des choses à préparer pour Pâques?

Et craque…

Il y a quelques temps, je me suis souvenue d’un biscuit salé que j’avais dégusté au cégep. Il s’agissait de biscuits salés marocains contenant du fromage. Malheureusement, je n’ai jamais pu avoir la recette et ce n’est que récemment, en pensant à mes paniers gourmands, que ce biscuit est revenu me hanter. En quelques minutes sur la toile, j’appris que ces biscuits étaient probablement des fekkas. Trouver une recette fût plutôt facile et je me suis rapidement lancée dans cette préparation. Le résultat… un désastre! Rien avoir avec mes souvenirs, ni le goût ni la texture. Bref, j’ai réalisé un joli ratage qui s’est vu alimenter la poubelle.

Déçue de cet échec cuisant, je me suis rabattue sur une autre recette de craquelin… Évidemment, une recette de Ricardo tirée de son magazine volume 10, numéro 8. Ce craquelin géant m’a bien plu et le plus incroyable, c’est que vous avez probablement toujours tous les ingrédients de la recette sous la main! À servir seul, avec une trempette ou d’une garniture selon votre imagination.

Craquelin géant
Craquelin géant
Pour 6 à 8 personnes

1 tasse ou 120 g de farine
1 cuillère à thé de sucre
2 cuillères à soupe ou 28 g de beurre froid
¼ de tasse ou 60 g de babeurre ou de lait fermenté*, froid
1 oeuf
1 cuillère à soupe ou 15 g de lait
Fleur de sel**
Poivre fraîchement moulu

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Dans un bol, mélanger la farine et le sucre. Ajouter le beurre coupé en petits cubes et l’incorporer à l’aide d’un coupe-pâte ou de deux couteaux afin d’obtenir une texture granuleuse***. Verser le babeurre (ou le lait fermenté) et mélanger pour obtenir une pâte qui se tient.

Enfariner très légèrement le plan de travail, pétrir la pâte pendant 1 minute ou jusqu’à ce qu’elle soit bien lisse. Abaisser le plus finement possible la pâte pour qu’elle couvre une surface d’environ 43 cm par 30 cm (17 pouces par 12 pouces). Déposer sur une plaque de cuisson recouvert de papier parchemin.

Dans un bol, fouetter l’oeuf avec l’eau. Badigeonner la surface de la pâte avec la préparation d’oeuf. Saupoudrer le craquelin de fleur de sel et de poivre. Enfourner au centre du four et cuire pendant 15 minutes ou jusqu’à ce que le craquelin soit doré et cassant. Laisser refroidir. Servir tel quel ou le concasser en morceaux.

*Remplacer le babeurre par la même quantité de lait additionné de quelques gouttes de jus de citron (environ ¼ de cuillère à thé).
**Il est aussi possible d’utiliser du sel de mer ou du sel fin. Vous pouvez également varier l’assaisonnement de votre craquelin : paprika, curry, cumin, piment en poudre, etc.
***Il est possible de réaliser cette étape à l’aide d’un robot culinaire muni d’une lame en « s ».

Et vous, est-ce que vous connaissez une délicieuse recette de fekkas?