Mot-clé : fleur de sel

Lumière de ville

Dans la commune où je vis, les lumières de la plupart des rues s’éteignent après une certaine heure. Malheureusement, le lampadaire sur notre rue ne s’éteint pas. Ce n’est pas grave, mais quand je reviens du village tard, je suis surprise par le noir de la nuit, car il n’y a pas d’éclairage publique contrairement à chez moi. Cependant, il y a quelques jours, la tête du lampadaire a été remplacée. Je ne vous dis pas la différence! J’ai remarqué que la lumière n’a plus cette teinte jaunâtre et surtout, l’intensité est plus faible et éclair moins l’intérieur de notre maison. Un petit changement qui n’est pas de notre fait, mais qui est bien agréable.

Je me suis inspirée d’une recette sur le blog Le tablier du dimanche dont le site semble ne plus être disponible.

Noix style « Bar nuts »
Noix style « Bar nuts »
Pour 2 pots de 500 ml

1 blanc d’oeuf
1 cuillère à soupe de beurre fondu
2 cuillères à soupe de sauce Worcestershire
1½ cuillère à thé de paprika
1½ cuillère à thé de poudre de chili
1cuillère à thé de piment de Cayenne ou moins
1½ cuillère à thé de poudre d’ail
1 cuillère à thé de fleur de sel
2 pincées de sel
1 tasse ou 200 g d’amandes*
2 tasses ou 400 g de noix de cajou

Préchauffer le four à 140°C (285°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un bol, fouetter le blanc d’oeuf jusqu’à la formation de piques fermes. Ajouter le beurre, la sauce Worcestershire, le paprika, la poudre de chili, le piment de Cayenne, la poudre d’ail et les sels. Mélanger pour bien répartir les ingrédients dans le blanc d’oeuf. Ajouter les noix de cajou et les amandes. Mélanger délicatement pour bien enrober toutes les noix du mélange assaisonné.

Verser les noix sur une plaque de cuisson et les étaler sur une seule couche. Enfourner et cuire pendant 40 minutes. À mi-cuisson, remuer les noix. Laisser totalement refroidir. Conserver les noix dans un pot muni d’un couvercle. Déguster avec plaisir.

*J’aime bien le mélange d’amandes et de noix de cajou, mais libre à vous d’utiliser d’autres noix de votre choix. Il faut seulement vous assurez que vous utilisez 3 tasses ou 600 g de noix.

Et vous, est-ce que les lumières de ville impactent votre intérieur?

Chocolats et oeufs en abondance

S’il y a un jour où il y a une abondance de chocolats et d’oeufs, c’est bien aujourd’hui. Chez nous, c’est surtout des oeufs en chocolat que l’on trouve. Bien que j’aime bien l’idée des oeufs peints, ce n’est pas une activité que je mets en place. Peut-être un jour, qui sait?

Pour rester dans le thème, je vous propose une recette qui utilise une grande quantité de chocolat et d’oeufs : un gâteau truffe choco-orange. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 22, numéro 1.

Gâteau truffe choco-orange
Gâteau truffe choco-orange
Pour 12 personnes

Croûte
1½ tasse ou 210 g de chapelure de biscuits oréo
2 cuillères à soupe ou 25 g de sucre
½ tasse ou 110 g de beurre non salé, fondu
1 pincée de fleur de sel

Gâteau
425 g (15 onces) de chocolat noir à environ 60 % de cacao
1 tasse ou 220 g de beurre non salé, coupé en cubes
1 orange, pour le zeste
6 oeufs
¼ de tasse ou 50 g de sucre

Croûte
Préchauffer le four à 180°C (350°F). Tapisser de papier parchemin le fond d’un moule à charnière d’environ 20 cm (8 pouces) de diamètre. Tapisser le pourtour du moule d’une bande de papier parchemin de 7,5 cm (3 pouces) de haut.

Dans un bol, mélanger la chapelure de biscuits, le sucre, le beurre fondu et le sel. Verser dans le moule à charnière et presser la croûte.

Enfourner et cuire pendant 12 minutes. À la sortie du four, laisser la croûte tiédir pendant 30 minutes.

Emballer le fond et les parois du moule d’une double épaisseur de papier d’aluminium.

Gâteau
Préchauffer le four à 220°C (425°F).

Hacher le chocolat et le déposer dans un grand bol d’un bain-marie. Ajouter le beurre et le zeste d’orange. Faire fondre le tout sur un bain-marie. Quand le mélange est homogène, retirer du bain-marie et réserver.

Dans un grand bol, fouetter les oeufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et triple de volume. Incorporer délicatement la préparation de chocolat fondu. Verser ce mélange sur la croûte et couvrir d’un papier d’aluminium.

Déposer le gâteau dans un grand plat de cuisson allant au four. Verser dans le plat de l’eau chaude jusqu’au tiers du moule.

Enfourner et cuire pendant 20 minutes. À la sortie du four, retirer le gâteau du bain-marie ainsi que les papier d’aluminium. Laisser tiédir le gâteau pendant 30 minutes, si possible sur une grille. Couvrir le gâteau et le réfrigérer pendant 8 heures ou toute une nuit.

Démouler le gâteau et le déposer sur une assiette de service. Si désiré, saupoudrer de cacao, garnir de crème fouettée et de copeaux de chocolat. Servir et déguster avec gourmandise.

Joyeuses Pâques

Trop chaud ou trop froid?

J’ai toujours eu de la facilité à travailler avec la levure, mais depuis quelques temps, mes résultats sont aléatoires. Le truc dont je suis certaine, c’est que ce n’est pas la faute de ma levure : elle ne traine pas assez longtemps dans mes armoires pour avoir le temps de périmer. Pourtant pour une recette, que je connais bien, exécutée à une semaine d’intervalle, j’ai obtenu deux résultats diamétralement opposés. D’un côté, un très bon pain et de l’autre un pain qui a peu levé et qui était beaucoup plus dense. En y réfléchissant, je me suis rendu compte qu’il y avait plusieurs erreurs possibles. Est-ce que mon liquide était trop chaud ou bien trop froid? Est-ce qu’il manque d’humidité pour faire lever la pâte? Est-ce que la pièce est trop fraîche pour y laisser lever la pâte? Est-ce que la levure a été en contacte avec le sel? Est-ce que la pâte a été trop travaillée? Bref actuellement, je me considère comme une tueuse de levure.

En attendant de retrouver la main avec la levure, je vous propose une recette de focaccia rapide. J’ai pris cette recette sur le blog de Valérie, C’est ma fournée!.

Focaccia rapide
Focaccia rapide*
Pour 3 à 4 personnes

Focaccia
1¾ tasse et ½ cuillère à thé ou 250 g de farine
1 cuillère à thé ou 2 g de levure sèche (5 g de levure fraîche)
½ cuillère à thé ou 4 g de sel
1¾ cuillère à thé ou 7 g d’huile d’olive
⅔ de tasse moins 1 cuillère à soupe ou 150 g d’eau

Émulsion
1 cuillère à soupe ou 15 g d’eau
3½ cuillères à thé ou 15 g d’huile d’olive
½ cuillère à thé de sel

Fleur de sel, romarin, olives, tomates séchées etc. (facultatif)

Focaccia
Si possible, préchauffer le four à 40°C (104°F) pour y faire lever la pâte**.

Dans le bol d’un robot pâtissier muni d’un crochet, verser l’eau et ajouter la levure, puis la délayer. Ajouter la farine, le sel et l’huile d’olive. Pétrir à vitesse lente pendant 10 minutes ou jusqu’à ce que la pâte soit bien souple. Si désiré, incorporer des olives, des tomates séchées ou autre à ce moment, puis pétrir pour bien les répartir dans la pâte. La pâte ne devrait pas être collante. Former une boule avec la pâte et la huiler légèrement. Déposer la pâte dans un bol, couvrir et laisser reposer dans le four pendant 10 minutes.

Après ce temps de repos, déposer la pâte sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin. Laisser lever la pâte au four pendant 10 minutes.

À l’aide d’un rouleau à pâtisserie, étaler délicatement la pâte. Remettre au four et laisser lever pendant 20 minutes.

Émulsion
Dans un petit verre, fouetter l’eau, l’huile d’olive et le sel jusqu’à ce que la préparation ait la consistance d’une vinaigrette.

Reprendre la pâte et avec les doigts former des trous en appuyant fortement. Verser l’émulsion en la répartissant bien dans les différents trous. Si désiré, saupoudrer de fleur de sel, de romarin ou autre. Laisser de nouveau lever pendant 20 minutes.

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Enfourner la focaccia et cuire pendant 20 minutes ou jusqu’à ce qu’elle soit dorée. Servir et déguster avec plaisir.

*Vous pouvez doubler la recette.
**Ceci aide a obtenir une meilleure lever surtout en hiver.

Et vous, avec quoi avez-vous de la difficulté en cuisine?

Promenade sous la pluie…

J’ai rencontré une dame de mon voisinage à l’épicerie. Le temps étant à la pluie, elle m’a raconté que son petit-fils adorait sortir sous la pluie pour aller compter les escargots. De retour à la maison, je me suis rendu compte que Petit-coeur avait envie de se promener. Malgré la pluie, je me suis dit : « Pourquoi pas? ». J’ai sorti un parapluie pour chacun de nous et nous sommes allés faire un petit tour du quartier. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que les flaques étaient plus profondes que je ne l’aurai cru et que les bottes de Petit-coeur était loin d’être imperméable. C’est donc les pieds trempés que Petit-coeur est rentré à la maison… et les bottes étaient loin d’être sèche le lendemain matin!

Pour regarder la pluie tombée, je vous propose des noix assaisonnées à grignoter. J’ai opté pour une saveur ranch en me basant sur cette recette de Ricardo issue du magazine volume 16, numéro 1.

Noix saveur ranch
Noix saveur ranch
Pour 2 pots de 500 ml

1 blanc d’oeuf
3 cuillères à soupe de persil séché
1½ cuillère à soupe d’origan séché
1½ cuillère à thé de sel de céleri
1 cuillère à thé de fleur de sel
¾ de cuillère à thé de poudre d’oignon
½ cuillère à thé de poudre d’ail
½ cuillère à thé de poivre moulu
2 pincées de piment de Cayenne ou d’autre piment moulu
2 pincées de sel
1 tasse ou 200 g d’amandes*
2 tasses ou 400 g de noix de cajou

Préchauffer le four à 140°C (285°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.

Dans un bol, fouetter le blanc d’oeuf jusqu’à la formation de piques fermes. Ajouter le persil, l’origan, le sel de céleri, la fleur de sel, la poudre d’oignon, la poudre d’ail, le poivre, le piment de Cayenne et le sel. Mélanger pour bien répartir les ingrédients dans le blanc d’oeuf. Ajouter les noix de cajou et les amandes. Mélanger délicatement pour bien enrober toutes les noix du mélange assaisonné.

Verser les noix sur une plaque de cuisson et les étaler sur une seule couche. Enfourner et cuire pendant 40 minutes. À mi-cuisson, remuer les noix. Laisser totalement refroidir. Conserver les noix dans un pot muni d’un couvercle. Déguster avec plaisir.

*J’aime bien le mélange d’amandes et de noix de cajou, mais libre à vous d’utiliser d’autres noix de votre choix. Il faut seulement vous assurez que vous utilisez 3 tasses ou 600 g de noix.

Et vous préférez-vous regarder la pluie tombée ou vous promener sous la pluie?

La Maison Décotterd

Depuis plusieurs années, je connais le nom du chef Stéphane Décotterd. J’en ai entendu parler pour la première fois peu de temps après qu’il ait repris le Pont de Brent à la suite de Gérard Rabaey. Cette adresse m’a toujours intriguée, mais nous n’avions jamais eu l’occasion d’y aller. Cette occasion s’est présentée quand Mini-nous a été invité chez son oncle et sa tante. Il ne restait plus à demander à mes beaux-parents s’ils pouvaient garder Petit-coeur et ce fut le cas. Avec mon chéri, nous avons donc envisagé d’aller dans un restaurant plutôt gastronomique. Nous avons regardé plusieurs cartes et c’est celle du Bistro de la Maison Décotterd qui nous a le plus interpelée. C’est simple : tout nous faisait envie sur la carte! J’étais ravie d’aller découvrir cet endroit et nous n’avons pas été déçus : le lieu est magnifique et la cuisine… y a-t-il vraiment besoin d’en parler? Une très belle expérience et nous comptons bien y retourner pour découvrir le Restaurant Stéphane Décotterd, la partie gastronomique de la Maison Décotterd. Je ne crois pas que je vais patienter des années avant d’y remettre les pieds… surtout qu’il y a également des cours de cuisine!

Aujourd’hui, je vous propose une recette d’entremet à la vanille, caramel et chocolat au lait. Pour les entremets, je combine de plus en plus des éléments que j’ai déjà testés. La nouveauté ici est le crémeux au caramel : j’ai trouvé cette idée sur le site de J’en reprendrai bien un bout…

Entremet au vanille, caramel et chocolat au lait
Entremet au vanille, caramel et chocolat au lait
Pour 8 personnes

Crémeux au caramel
1¼ de cuillère à thé de gélatine en poudre ou 1½ feuille
  de gélatine (3 g)
4 jaunes d’oeufs (environ 65 g)
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 205 g de crème à 35 %
  ou entière
½ tasse et 2 cuillères à soupe ou 125 g de sucre
3 cuillères à soupe ou 45 g d’eau
3½ cuillères à thé ou 23 g de sirop de maïs ou de glucose
3 cuillères à soupe ou 45 g de crème à 35 % ou entière
½ cuillère à thé ou 1,5 g de fleur de sel

Namelaka
175 g (6 onces) de chocolat au lait
⅓ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 100 g de lait
¾ de cuillère à thé ou 5 g de sirop de glucose ou de sirop
  de maïs
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de crème 35 %
  ou entière
½ de cuillère à thé de gélatine en poudre
  ou ½ feuille de gélatine (1 g)

Gâteau madeleine
3½ cuillères à soupe ou 45 g de beurre non salé
1 cuillère à thé ou 7 g de miel
1 oeuf
3 cuillères à soupe ou 35 g de sucre
⅓ de tasse ou 45 g de farine
½ de cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure
  chimique
1 pincée de fleurs de sel
1 cuillère à thé d’extrait de vanille

Mousse à la vanille*
¾ de cuillère à thé de gélatine en poudre ou 1 feuille
  de gélatine (2 g)
1 jaune d’oeuf
3½ cuillères à thé ou 15 g de sucre
¼ de tasse moins 2 cuillères à thé ou 50 g de lait
1 tasse moins 1½ cuillère à soupe ou 225 g de crème
  à fouetter ou entière
1 gousse de vanille

Glaçage
265 g (9¼ onces) de chocolat blanc à 35 % de cacao
1½ cuillère à thé de gélatine en poudre ou 2 feuilles
  de gélatine (4 g)
⅔ de tasse et 2 cuillères à thé ou 175 g de crème à 35 %
  ou entière
8 cuillères à thé ou 40 g d’eau
1½ cuillère à soupe ou 30 g de sirop de maïs ou de glucose
2 cuillères à soupe ou 25 g d’huile de colza ou de canola
Colorant alimentaire en poudre ou en gel

Crémeux au caramel
Chemiser le fond d’un moule à charnière d’environ 18 cm (7 pouces) de diamètre de papier parchemin. Tapisser les côtés de papier parchemin ou de rhodoïd.

Hydrater la gélatine : si elle est en poudre, verser 1 cuillère à soupe d’eau froide dans un petit bol puis saupoudrer la gélatine, mélanger et laisser gonfler; si elle est en feuille, la déposer dans un bol rempli d’eau froide et la laisser tremper pendant 5 minutes.

Dans un bol, fouetter les jaunes d’oeufs avec ¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 205 g de crème. Réserver.

Verser les 3 cuillères à soupe ou 45 g de crème dans une petite casserole et faire chauffer. quand le liquide est bien chaud, retirer du feu et réserver.

Dans une autre casserole, verser le sucre, l’eau et le sirop de maïs. Chauffer à feu doux, sans brasser, jusqu’à ce que le mélange soit blond foncé. Arrêter la cuisson en versant graduellement la crème chaude. Ajouter la préparation de crème et de jaunes d’oeufs. Cuire en brassant continuellement jusqu’à ce que le mélange atteigne 85°C (185°F) ou jusqu’à ce qu’il nappe le dos d’une cuillère. Retirer du feu et ajouter la fleur de sel ainsi que la gélatine (bien l’essorer si elle est en feuille). Si désiré, mixer à l’aide d’un pied-mélangeur pour uniformiser la préparation. Verser dans le moule et laisser prendre pendant au moins 2 heures.

Namelaka
Chemiser le fond et la parois de papier parchemin un moule à charnière d’environ 18 cm (7 pouces) de diamètre.

Dans un bol, faire gonfler la gélatine en poudre dans 1 cuillère à soupe d’eau froide ou faire tremper les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide.

Hacher le chocolat au lait et le déposer dans le bol d’un bain-marie. Faire fondre le chocolat au bain-marie. Retirer le chocolat du bain-marie quand il est totalement lisse.

Dans une casserole, porter le lait et le sirop de maïs à ébullition. Dès que les liquides bouillent, ajouter la gélatine (bien l’essorer si la gélatine est en feuilles) et mélanger pour la dissoudre. Verser les liquides en trois fois sur le chocolat en mélangeant bien entre chaque ajout. Incorporer la crème froide. Si possible, mixer le mélange à l’aide d’un pied-mélangeur. Verser le mélange sur le crémeux au caramel et réserver au congélateur pendant au moins 6 heures.

Gâteau madeleine
Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Chemiser le fond d’un moule à charnière d’environ 18 cm (7 pouces) de diamètre de papier parchemin.

Dans une petite casserole, faire fondre le beurre avec le miel. Quand le beurre est totalement fondu, retirer du feu et laisser tiédir. Ajouter la fleur de sel et réserver.

Dans un bol, mélanger la farine et la poudre à pâte.

Dans un autre bol, casser l’oeuf. Ajouter l’extrait de vanille et le sucre. Fouetter le tout jusqu’à ce que le mélange palisse. Incorporer la farine, puis le beurre fondu. Verser la pâte dans le moule préparé. Enfourner et cuire pendant 15 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre. Laisser totalement refroidir puis démouler.

Mousse à la vanille
Hydrater la gélatine : si elle est en poudre, verser 4 cuillères à thé d’eau froide dans un petit bol puis saupoudrer la gélatine, mélanger et laisser gonfler; si elle est en feuille, la déposer dans un bol rempli d’eau froide et la laisser tremper pendant 5 minutes.

Dans un bol, fouetter les jaunes d’oeufs avec le sucre.

Dans une casserole, chauffer le lait, ¼ tasse et 1 cuillère à soupe ou 75 g de crème avec la gousse de vanille fendue en deux jusqu’à ce que le tout frémisse. Verser le liquide chaud sur les jaunes d’oeufs en fouettant. Remettre le mélange dans la casserole et cuire à feu doux jusqu’à ce que la préparation épaississe ou jusqu’à 82°C (180°F). Retirer du feu et incorporer la gélatine. Verser la préparation dans un bol et laisser tiédir. La préparation doit être plus basse que 35°C (95°F) avant de poursuivre. Retirer la gousse de vanille.

Dans un bol, fouetter la crème restante jusqu’à ce qu’elle soit mousseuse et qu’elle se tienne. Incorporer graduellement la crème fouettée à la préparation à base de lait. Réserver au frais le temps de commencer le montage.

Montage
Chemiser le fond et la parois de rhodoïd (ou de pellicule plastique) un moule à charnière d’environ 20 cm (8 pouces) de diamètre.

Déposer le gâteau dans le moule et verser un tiers de la mousse à la vanille. Déposer le disque de crémeux au caramel et de namelaka. Couvrir avec le restant de mousse à la vanille. Égaliser la surface. Placer au congélateur pendant au moins 12 heures. Après cette étape, il est possible de conserver l’entremet pendant un mois, voire plus, au congélateur.

Glaçage
Dans les 12 heures précédent la dégustation, préparer le glaçage de l’entremet. Faire tremper les feuilles de gélatine dans de l’eau froide ou faire gonfler la gélatine en poudre dans 2 cuillères à soupe d’eau froide pendant 5 minutes.

Hacher le chocolat blanc et le déposer dans le bol d’un bain-marie. Faire fondre le chocolat au bain-marie. Retirer le chocolat du bain-marie quand il est totalement lisse.

Dans une casserole, porter à ébullition la crème, l’eau et le sirop de maïs. Dès que les liquides bouillent, les retirer du feu et ajouter la gélatine (bien l’essorer si elle est en feuilles). Verser les liquides en trois fois sur le chocolat blanc en mélangeant bien entre chaque ajout. Incorporer l’huile et, si désiré, le colorant alimentaire. Bien mélanger, si possible avec un pied-mélangeur, en évitant d’incorporer de l’air. Laisser le glaçage tiédir jusqu’à 37°C (98°F).

Recouvrir une plaque de cuisson de papier parchemin et y déposer une grille à pâtisserie.

Sortir l’entremet du congélateur. Démouler l’entremet et retirer la bande de rhodoïd. Déposer l’entremet sur une grille au-dessus d’une plaque de cuisson. Verser doucement le glaçage en veillant à ce qu’il recouvre toute la surface du gâteau. Laisser le glaçage s’égoutter pendant quelques minutes, puis déplacer l’entremet sur une assiette de présentation. Réserver au réfrigérateur. Sortir l’entremet à température ambiante 30 minutes avant de la déguster. Déguster avec gourmandise.

*Il est possible de doubler la quantité de mousse à la vanille pour obtenir un entremet plus volumineux.

Et vous, quel est l’endroit que vous tardez à découvrir?