Nostalgie

Ma marraine a créé une délicieuse recette de pain qu’elle préparait à chaque fois que nous réunissons en famille. Pour les enfants, elle façonnait des petits pains individuels en forme de raisin et dans le temps des fêtes en forme de sapin. Cette recette est devenue un incontournable lors du temps des fêtes et c’est toujours un plaisir de déguster ces petits pains. Il faudrait que j’en prépare, car cette année encore, je n’aurais pas la chance d’en manger avec ma famille.

En attendant, j’ai vu une recette d’un pain géant en forme de sapin. Je me dis que c’est une belle idée pour le temps des fêtes. J’ai pris cette recette sur le blog Chic, Chic, Chocolat.

Pain sapin de Noël
Pain sapin de Noël
Pour 8 à 10 personnes

½ tasse moins 1 cuillère à thé ou 120 g d’eau
¾ de tasse moins ½ cuillère à soupe ou 180 g de lait
1 cuillère à soupe de sucre
4 tasses moins 1 cuillère à soupe ou 550 g de farine
1 cuillère à thé de sel
2 cuillères à thé de levure sèche
1 oeuf
2½ cuillères à soupe ou 30 g de beurre non salé

Dans une casserole, verser l’eau et le lait. Chauffer brièvement pour tiédir les liquides.

Dans un grand bol, mélanger la farine, le sucre, le sel et la levure. Ajouter les liquides tiédis et l’oeuf. Mélanger pour amalgamer la pâte. Déposer la pâte sur un plan de travail légèrement enfariné et pétrir la pâte pendant 2 minutes. Incorporer graduellement le beurre et pétrir de nouveau la pâte pendant 5 à 7 minutes. Placer la pâte dans un bol et couvrir. Laisser lever pendant 1 heure dans un endroit à l’abri des courants d’air.

Sur un plan de travail légèrement enfariné, verser la pâte et la diviser en 32 morceaux*. Façonner chaque morceau en boule.

Déposer les boules sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin en les disposant en forme de triangle pour créer le sapin. Si désiré, façonner une des boules en forme d’étoile et la placer au sommet du sapin. Disposer trois des boules à la base pour former le tronc du sapin. Placer la pâte à l’abri des courants d’air et laisser lever pendant 45 minutes.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Badigeonner la surface du pain avec un peu de lait. Enfourner et cuire pendant 15 à 18 minutes. À la sortie du four, si possible, déplacer le pain sur une grille et le laisser tiédir. Disposer le pain au milieu de la table et partager. Déguster avec plaisir.

*Mon sapin comporte moins de boules puisque j’ai réalisé qu’une demi-recette.

Et vous, est-ce que vous avez dans votre famille des façons inhabituelles de façonner le pain?

Encore des clémentines!

Encore un fois, j’ai tenté de confire des clémentines. J’ai essayé plusieurs méthodes et à chaque fois, je trouvais le résultat trop amer alors que j’obtenais facilement des oranges confites sans amertume. Bref, je ne pensais pas retenter l’expérience une nouvelle fois, mais j’ai eu envie de tester un bûche de Ricardo qui m’avait fait de l’oeil, il y a déjà plusieurs hivers. J’ai réussi à obtenir des bonnes clémentines confites, par contre, j’en ai un peu trop fait et je ne sais pas ce que je vais faire du surplus…

Je vous propose donc la bûche au chocolat blanc et aux clémentines confites issue du magazine Ricardo volume 15, numéro 1. Cette recette donne un gâteau léger en bouche et elle est assez simple. Si les clémentines confites vous font peur, n’hésitez pas à les remplacer par un fruit frais, cuit ou des fruits confits que vous aimez du commerces.

Bûche au chocolat blanc et aux clémentines confites
Bûche au chocolat blanc et aux clémentines confites
Pour 8 personnes

Chantilly au chocolat blanc
143 g (5 onces) de chocolat blanc
1 tasse ou 250 g de crème à fouetter ou entière

Clémentines confites*
3 clémentines
2½ tasse ou 625 g d’eau
2 tasses ou 400 g de sucre

Gâteau
½ tasse ou 70 g de farine
½ cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
2 pincées de sel
1 pincée de muscade moulue
1 pincée de cannelle moulue (facultatif)
3 oeufs
6 cuillères à soupe ou 75 g de sucre
30 g (1 once) de chocolat blanc

Chantilly au chocolat blanc
Hacher finement le chocolat blanc et le déposer dans un bol.

Verser la crème dans une casserole et porter à ébullition. Quand la crème commence à bouillir, retirer du feu et verser sur le chocolat. Patienter 2 minutes, puis mélanger jusqu’à ce que la préparation soit homogène. Couvrir d’une pellicule plastique et réfrigérer pendant au moins 8 heures.

Clémentines confites
Déposer les clémentines dans une casserole et couvrir d’eau froide. Porter à ébullition. Quand l’eau bout, égoutter les clémentines et répéter l’opération trois autres fois. Cette étape permet d’atténuer l’amertume des agrumes.

Dans la même casserole, verser le sucre et l’eau, puis porter à ébullition. Ajouter les clémentines et laisser mijoter doucement pendant 1h30. Laisser tiédir et réfrigérer pendant au moins 8 heures.

Gâteau
Préchauffer le four à 180°C (350°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin. Au besoin, beurrer les parois du moule.

Dans un bol, mélanger la farine, la poudre à pâte, le sel, la muscade et la cannelle. Réserver.

Dans un autre bol, fouetter les oeufs et le sucre au batteur électrique jusqu’à ce que le mélange triple de volume. Incorporer délicatement la préparation de farine. Verser sur la plaque de cuisson la pâte de manière uniforme en veillant à former un rectangle. Enfourner et cuire pendant 15 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre.

Sur le plan de travail, préparer une feuille de papier parchemin plus grande que la plaque de cuisson. Â la sortie du four, démouler le gâteau sur la feuille de papier parchemin. Retirer délicatement le papier parchemin qui a servi à la cuisson. En partant du côté le plus étroit, rouler le gâteau avec la feuille de papier parchemin. Si possible, déposer le gâteau roulé sur une grille à pâtisserie. Laisser totalement refroidir le gâteau.

Montage
Égoutter les clémentines. Couper les extrémités et, si possible, couper en rondelles. Conserver les plus belles rondelles pour la décoration et tailler en petits dés le reste des clémentines.

Verser la chantilly au chocolat blanc dans un bol et fouetter jusqu’à ce qu’elle forme des pics fermes.

Dérouler délicatement le gâteau et répartir environ deux tiers de la chantilly sur toute la surface du gâteau. Parsemer de dés de clémentine. Rouler de nouveau le gâteau. Couper les extrémités pour les égaliser. Déposer la bûche dans un plat de service. Couvrir la bûche avec le restant de chantilly.

Râper finement le chocolat blanc au-dessus de la bûche. Décorer la bûche avec les rondelles de clémentines. Réfrigérer pendant au moins 1 heure** avant de servir. Déguster avec gourmandise.

*Si vous n’avez pas envie de réaliser les clémentines confites, vous pouvez les remplacer par des fruits frais (bleuets, myrtilles, framboises, cerises, etc.), des fruits confits ou par des fruits cuits de votre choix.
**Vous pouvez congeler la bûche à cette étape. Il suffira de la laisser décongeler à température ambiante pendant 2 heures avant de servir.

Et vous, avez-vous déjà réalisé des desserts avec des clémentines?

Rien testé…

Cette semaine, j’ai sélectionné mes gourmandises pour mes paniers gourmands, j’ai fait la liste de course et j’ai planifié la préparation des différents éléments. C’est à ce moment que j’ai réalisé à quel point le temps des fêtes approchait à grands pas. Le mois de décembre semble vouloir filer à grande vitesse et pour le moment, je n’ai testé aucune recette salée pour le temps des fêtes.

Heureusement, j’ai une recette de famille que je n’avais jamais osé publier ici. La raison est simple, selon que vous êtes au Québec ou en Suisse (ou en Europe), il y a un ingrédient qui change. Au Québec, il faut utiliser de la sauce soya VH et en Suisse, de l’arôma Maggi. Les quantités pour ces produits sont également légèrement différentes : l’arôma Maggi est plus salée que la sauce soya VH! Respectez ce point et vous aurez un repas festif des plus simples à préparer, mais également des plus succulents. Je vous propose donc le roastbeef de ma mère qui est un grand succès à chaque fois.

Roastbeef de ma mère
Roastbeef de ma mère
Pour 8 personnes

1 kg de surlonge, de rumsteak ou de filet de boeuf*
2 cuillères à soupe de farine
1 cuillère à soupe de sucre
1 cuillère à thé de moutarde sèche
2 oignons
¼ de tasse ou 55 g de beurre salé
¼ de tasse de sauce soya VH** ou 45 g d’arôma Maggi
1¼ tasse ou 310 g d’eau

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un petit bol, mélanger la farine, le sucre et la moutarde sèche.

Éplucher et trancher les oignons en rondelles.

Dans une casserole allant au four, chauffer environ 1 cuillère à soupe de beurre salé. Quand le corps gras est bien chaud, griller la viande de tous les côtés. Quand la viande est bien saisi sur toutes ces faces, retirer la casserole du feu et ajouter les rondelles d’oignon.

Saupoudrer la viande du mélange de farine et déposer le beurre restant sur le dessus de la viande.

Enfourner et cuire pendant environ 75 minutes*** ou jusqu’à ce qu’un thermomètre à viande indique 56-58°C (132-136°F).

Quand il reste environ 30 minutes de cuisson, ajouter l’eau et la sauce soya (ou l’arôma Maggi).

À la sortie du four, retirer immédiatement la viande de la casserole et la couvrir. Laisser reposer pendant 5 à 10 minutes. Trancher finement et servir avec une purée de pommes de terre et des légumes de votre choix. Compléter l’assiette avec la sauce et les oignons. Déguster avec plaisir.

*Vous pouvez opter pour d’autre pièce de boeuf, mais il faut que la viande soit tendre. N’hésitez pas à demander conseil à votre boucher.
**Il ne faut surtout pas prendre une sauce soya de qualité : le résultat ne sera pas le même! Il faut une « fausse sauce soya » fait de caramel et d’arômes comme la sauce soya VH au Québec. En Europe, l’arôma Maggi donne un résultat similaire, par contre, il faut en mettre moins (3 cuillères à soupe).
***Il est possible de réaliser la même recette en modifiant seulement la quantité de viande. Dans ce cas, il faut compter 75 minutes de cuisson par kilo de viande ou 35 minutes de cuisson par livre de viande.

Et vous, avez-vous eu le temps de tester des recettes pour le temps des fêtes?

Profitez de la journée

Aujourd’hui, c’est un jour férié et en prime, nous avons eu droit à une journée riche en précipitation et en neige. Une journée des plus appropriées pour rester tranquille. J’avoue que j’en ai bien profité et que ma liste de tâches du jour n’a pas beaucoup avancé. Est-ce grave? Non, il y avait peu de choses de noté. De plus, il me reste encore une partie de la soirée pour réduire la liste, soit les tâches attendront demain.

Aujourd’hui, je vous propose une recette de petits gâteaux au chocolat qui a la particularité de contenir de l’eau bouillante. La recette donne des petits gâteaux bien moelleux et qui se conservent très bien. Vous pourriez aussi réaliser un plus gros gâteau et le garnir selon votre envie pour le temps des fêtes. J’ai glacer les petits gâteaux avec une ganache au chocolat au lait pour répondre à une demande de Mini-nous. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 8, numéro 3.

Petits gâteaux au chocolat avec de l'eau bouillante
Petits gâteaux au chocolat avec de l’eau bouillante
Pour 15 à 20 petits gâteaux

Petits gâteaux
1 tasse ou 200 g de cassonade ou de sucre roux
1 tasse ou 140 g de farine
¼ de tasse ou 26 g de cacao
½ cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
½ cuillère à thé de bicarbonate de soude ou de sodium
¼ de cuillère à thé de sel
27 g (1 once) de chocolat noir ou mi-sucré
¼ de tasse ou 52 g d’huile de colza ou de canola
1 oeuf
¼ de tasse et 2 cuillères à soupe ou 93 g de lait
½ tasse ou 125 g d’eau bouillante

Ganache au chocolat au lait
280 g (10 onces) de chocolat au lait*
½ tasse ou 125 g de crème à fouetter ou entière
1 cuillère à soupe de beurre non salé

Petits gâteaux
Préchauffer le four à 180°C (350°F). Chemiser un ou deux moules** à muffin de caissettes en papier.

Dans un bol, mélanger la cassonade, la farine, le cacao, la poudre à pâte, le bicarbonate de soude et le sel. Réserver.

Hacher le chocolat et le faire fondre au bain-marie ou au four à micro-ondes.

Verser le chocolat dans un bol et ajouter l’huile. Fouetter à l’aide d’un batteur électrique. Incorporer l’oeuf et fouetter jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Ajouter en alternance le lait et la préparation de farine. Incorporer graduellement l’eau bouillante. Mélanger jusqu’à ce que la pâte soit homogène.

Répartir la pâte dans les moules, enfourner et cuire pendant 18 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre. Laisser tiédir.

Ganache au chocolat au lait
Hacher finement le chocolat au lait et le déposer dans un bol.

Verser la crème dans une casserole et porter à ébullition. Dès que la crème bout, retirer du feu et verser sur le chocolat. Laisser reposer pendant 1 à 2 minutes, puis mélanger jusqu’à ce que la préparation soit homogène. Incorporer petit à petit le beurre. Couvrir avec une pellicule plastique directement appliquée sur la ganache. Réfrigérer pendant 1 heure ou jusqu’à ce que la ganache soit assez ferme pour être tartinée.

Garnir les petits gâteaux de ganache selon l’envie. Les petits gâteaux se conservent à température ambiante pendant 4 jours. Déguster avec gourmandise.

*Vous pouvez réaliser une ganache avec du chocolat noir, dans ce cas, il faut 140 g (4 onces) de chocolat noir. Pour une ganache au chocolat blanc, il faut 320 g de chocolat blanc (14 onces).
**Vous pouvez cuire le gâteau dans un moule rond de 23 cm (9 pouces) de diamètre. La cuisson devrait prendre en 50 et 75 minutes.

Et vous, avez-vous eu une journée tranquille?

Très valaisan, mais…

Il y a peut-être un peu plus d’un an, j’ai demandé à ma belle-mère la recette de pateron. C’est la recette de sa mère, soit celle de la grand-mère de mon chéri. La grand-mère de mon chéri était réputée pour ces paterons : c’est un des plats favoris de ses enfants et petits-enfants! Ces paterons disparaissaient en un clin d’oeil! N’en ayant pas mangé depuis longtemps, j’ai voulu essayer et par la même occasion, faire plaisir à mon chéri. Nous nous sommes régalés et je suis très heureuse d’arriver à faire cette recette des plus emblématiques de la famille.

Un jour avec des amies, nous échangions sur des idées de repas. J’ai mentionné les paterons : on a facilement tous les ingrédients à la maison pour en préparer. L’une ne connaissait pas : elle n’a pas grandit en Valais. Une autre m’a dit que ce n’était pas évident à faire et que la fois qu’elle avait goûté, elle n’avait pas aimé. J’étais un peu surprise, car elle n’est pas très difficile. En parlant, j’ai compris pourquoi : la recette qu’elle connaissait contient du sang de porc! Je peux comprendre que ça change l’aspect et le goût. En discutant, j’ai compris que le pateron pouvait bien varier d’une vallée valaisanne à l’autre.

Je vous propose donc la recette de pateron de Marthe. La recette est simple, mais la cuisson demande un peu de temps. Je réalise toujours les quatre sortes de paterons : nature, au sucre, aux pommes et au fromage. Cependant, libre à vous de réaliser ceux que vous préférez en majorité ou en totalité.

Pateron de Marthe
Pateron de Marthe
Pour 2 à 3 personnes*

3 oeufs
⅔ de tasse moins 1 cuillère à soupe ou 150 g d’eau
1 tasse et 1 cuillère à soupe ou 150 g de farine
½ cuillère à thé de sel
2 pommes Canada, Boskoop ou Cortland**
Sucre en quantité suffisante
Fromage râpé au goût***
Huile végétale en quantité suffisante

Verser la farine et le sel dans un bol. Former un puit au milieu des ingrédients secs et ajouter les oeufs ainsi que la moitié de l’eau. À l’aide d’un fouet, mélanger les oeufs en incorporant graduellement la farine. Lorsque la pâte est trop épaisse, ajouter le restant d’eau. Cette méthode permet d’éviter les grumeaux dans la pâte. La pâte devrait ressembler à une pâte à crêpe épaisse. Couvrir d’un linge propre et laisser reposer pendant 1 heure.

Préchauffer le four à 70°C (160°F). Tapisser une plaque de cuisson de papier absorbant.

Éplucher les pommes et retirer le coeur. Couper en rondelles d’environ 7 mm (¼ de pouce). Réserver.

Dans une poêle, verser de l’huile pour couvrir le fond. Chauffer et quand le corps gras est chaud, tremper les tranches de pommes dans la pâte et les déposer dans l’huile chaude. Cuire jusqu’à ce que la pâte soit dorée, tourner et poursuivre la cuisson. Quand les rondelles sont cuites des deux côtés, les retirer de la poêle et les déposer sur la plaque de cuisson préparée. Réserver dans le four chaud. Répéter l’opération avec l’ensemble des rondelles de pommes.

Au besoin, ajouter de l’huile dans la poêle. Former des ronds en versant environ 2 cuillères à soupes de pâte dans l’huile. Cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés et les bords doivent « friser ». Ajuster le feu au besoin. Retourner les paterons pour finir la cuisson. Déposer les paterons sur la plaque de cuisson avec les paterons aux pommes. Laisser certains natures et saupoudrer d’autre de sucre. Réserver dans le four.

Lorsqu’il reste environ ½ tasse ou 1 dl de pâte, ajouter du fromage râpé et mélanger. Il doit y avoir environ autant de fromage que de pâte.

Au besoin, ajouter de l’huile dans la poêle. Avec la pâte contenant du fromage, former des ronds en versant environ 2 cuillères à soupes de pâte dans l’huile. Cuire jusqu’à ce qu’il soit doré et les bords doivent « friser ». Placer sur la plaque et réserver au chaud jusqu’à ce que tous les paterons soient cuits.

Servir avec une salade verte et des pommes de terre cuites à l’eau. Déguster avec plaisir. Conserver le surplus de paterons à température ambiante et déguster froid le lendemain.

*Vous pouvez doubler ou tripler la recette.
**Choisissez une pomme qui garde sa forme à la cuisson.
***Personnellement, j’utilise du cheddar râpé, mais ce n’est pas vraiment typique. Utilisez un fromage que vous aimez qui fond à la cuisson : fromage à raclette, mélange de fromage, gruyère, etc.

Et vous, connaissez-vous les paterons?