Mois : septembre 2023

Les colis de la frustration…

Ce n’est pas de chance, mais en moins de quatre mois, j’ai deux colis qui se sont égarés! C’est de la frustration pur et simple… Le pire, c’est lorsque le colis a un suivi et que celui-ci se perd jusqu’après la réception de la poste. Selon les cas, il n’y a pas de remboursement et cela est encore plus dérangeant. Heureusement pour moi, je n’ai pas eu cette insatisfaction supplémentaire… Il y a juste un délai d’un mois à attendre avant de demander le remboursement : tout d’un coup que la poste « étrangère » retrouve mon colis. Ces colis se sont perdu avant de traverser la frontière Suisse!

Dans l’esprit de ne pas perdre des choses, je vous propose une recette pour passer vos surplus de chocolat ou de bonbons chocolatés, soit des biscuits. J’ai pris cette recette sur le site de Mordu

Biscuits au mixte de chocolat
Biscuits au mixte de chocolat
Pour 20 biscuits*

1 cuillère à thé de bicarbonate de soude ou de sodium
¼ de tasse ou 26 g de cacao
1½ tasse ou 210 g de farine
1 pincée de sel
1 cuillère à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
¾ de tasse ou 165 g de beurre non salé, tempéré
½ tasse ou 100 g de cassonade ou de sucre roux
½ tasse ou 100 g de sucre
1 oeuf
1 cuillère à thé d’extrait de vanille
2 tasses ou 360 g de chocolat divers**

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un bol, mélanger, le bicarbonate de soude, le cacao, la farine, le sel et la poudre à pâte. Réserver.

Dans un autre bol, fouetter le beurre avec avec la cassonade, le sucre, l’oeuf et l’extrait de vanille jusqu’à ce que le mélange soit crémeux, soit pendant 6 à 8 minutes. Incorporer la préparation de farine. Ajouter les chocolat et mélanger.

Sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin, déposer l’équivalent de 2 cuillères à soupe de pâte par biscuits. Enfourner et cuire pendant 10 à 14 minutes. Laisser tiédir et retirer de la plaque de cuisson pour laisser totalement refroidir. Déguster avec gourmandise.

*Le nombre de biscuits dépendra de la taille que vous leur donnez.
**Chocolat noir, chocolat au lait, chocolat blanc, bonbons chocolatés, barres chocolatées… garnissez vos biscuits de tous les types de vous avez sous la main.

Au fait, j’ai rarement eu des soucis avec la poste suisse ou canadienne. Je trouve ces deux entités plutôt fiables.

La rencontre de trois arêtes…

C’est totalement banal de se prendre les pieds dans un angle de mur, d’un lit ou d’une table (quelle soit basse ou pas). Ne me dites pas que ça ne vous est jamais arrivé. De mon avis, les orteils sont les meilleurs éléments pour rencontrer ce genre d’obstacle. Cependant, j’ai découvert récemment qu’il y avait pire que la rencontre d’un angle : la rencontre de trois arêtes… soit un coin! Je ne sais toujours pas comment j’ai fait, mais j’ai heurté mon tibia sur le coin d’un lit… La rencontre des trois arêtes s’est parfaitement imprimée sur ma peau en forme de triangle! Comme quoi, il vaut mieux rencontrer un angle qu’un coin.

Dans un registre un peu moins absurde, je vous propose une petite bouchée de crevettes et d’ananas. J’ai pris cette idée sur le blog de Chef Nini.

Bouchées de crevette et d'ananas
Bouchées de crevette et d’ananas
Pour 12 bouchées

12 crevettes de taille moyenne
¼ d’ananas frais
3 cuillères à soupe de sucre
Piment d’espelette ou d’Alep au goût
Sel et poivre

Couper l’ananas en 12 morceaux. Piquer sur des cure-dents une crevette avec un morceau d’ananas.

Saupoudrer le sucre dans le fond d’une poêle. Chauffer jusqu’à ce que le sucre fonde et prenne une couleur dorée.

Déposer les crevettes et laisser cuire pendant 2 minutes, puis les retourner pour terminer la cuisson. Saupoudrer de piment d’Espelette, saler et poivrer. Servir et déguster avec plaisir.

Et vous, avez-vous déjà rencontré un coin?

Privilège de papa…

Avant notre séjour au Québec, nous pouvions coucher Petit-coeur et sortir de la chambre sans souci. Lorsque nous sommes revenu, les habitudes pour coucher Petit-coeur avait été grandement perturbées. Les semaines qui ont suivi ont été compliquées. Puis un jour, mon chéri a pu recommencer à coucher Petit-coeur sans devoir retourner dans la chambre à plusieurs reprises… Malheureusement pour moi, c’est un privilège de papa! Pour moi, c’est seulement une fois sur quatre que ça se passe bien… pour le moment.

Aujourd’hui, je vous propose une recette de tarte à la nectarine. Ce n’est pas un fruit que j’aurai pensé cuisiner, mais il y avait une recette qui me titillait depuis quelques temps : la tarte de Yotam Ottolenghi. J’ai pris cette recette sur le site de Audrey cuisine.

Tarte aux nectarines et à la lime
Tarte aux nectarines et à la lime
Pour 8 personnes

1 pâte feuilletée ou brisée
6 nectarines*
2 cuillères à soupe d’amandes
2 cuillères à soupe de pistaches non salées**
¼ de tasse ou 50 g de sucre
1 lime
½ cuillère à thé de fécule de maïs ou de maïzena

Laver et couper en quartiers les nectarines, puis les déposer dans un bol. Ajouter le sucre, le jus et le zeste de la lime. Couvrir et laisser reposer pendant 1 à 4 heures au réfrigérateur.

Préchauffer le four à 200°C (400°F).

Sur un plan de travail légèrement enfariné, abaisser la pâte feuilletée et la foncer dans un moule à tarte de 23 cm (9 pouces) ou plus de diamètre.

Hacher les amandes et les pistaches et les répartir sur la pâte. Égoutter les quartiers de nectarine et garnir la croûte à tarte. Enfourner et cuire pendant 20 minutes.

Pendant ce temps, verser le jus de macération dans une casserole et ajouter la fécule de maïs. Porter à ébullition pour faire épaissir légèrement le mélange. Verser ce sirop sur la tarte et poursuivre la cuisson pendant 20 à 25 minutes. Laisser refroidir. Servir et déguster avec gourmandise.

*Vous pouvez réaliser la même recette en remplaçant les nectarines par des pêches.
**Il est possible d’utiliser que des amandes.

Ne cherchez pas le romarin que l’on voit habituellement dans cette recette, je l’ai omis… Mon plant est mort, encore une fois.

Il y a des hérissons…

Une de nos voisines a un jeune chiot depuis quelques semaines. La présence de ce canidé l’amène à faire des promenades très tôt et très tard. En la croisant, elle m’a affirmé avoir vu des hérissons se promener sur notre terrain. Je ne m’en doutais pas. Il faut dire qu’il y a beaucoup de limaces dans le jardin, alors cette nouvelle m’a fait grandement plaisir. Je me demande où ils se cachent pendant la journée. Sur notre terrain, je ne pense pas que nous ayons un endroit qui leur conviennent. Avec un peu de chance, je les verrai un soir.

Pour rester dans la thématique du jardin, je vous propose une recette avec des carottes, soit une salade de carottes râpées. J’ai pris cette recette sur le site de Je cuisine.

Salade de carottes râpées
Salade de carottes râpées
Pour 4 à 6 personnes

5 carottes
⅓ de tasse ou 70 g d’huile d’olive
3 cuillères à soupe de jus de citron
3 cuillères à soupe de miel
3 cuillères à soupe de jus d’orange
3 cuillères à soupe de persil haché (facultatif)
Sel et poivre au goût

Éplucher et râper les carottes. Réserver.

Dans un bol, fouetter l’huile d’olive avec le jus de citron, le miel, le jus d’orange et le persil haché. Saler et poivrer.

Ajouter les carottes* et brasser. Couvrir et réfrigérer pendant 30 minutes. Servir et déguster avec plaisir.

*Si vous le désirez, vous pouvez ajouter ½ tasse ou 90 g de raisins secs.

Et vous, avez-vous déjà vu des hérissons près de chez vous ?

Le surmoi

Est-ce que vous connaissez le surmoi? C’est un concept en psychologie issu des théories de Freud. Brièvement, on peut traduire le surmoi comme notre instance morale. D’une personne à l’autre, elle varie et à plus ou moins d’importance. Imaginez que vous faites une bêtise, c’est votre petite voix intérieure qui vous engueule! Chez moi, elle crie sacrément fort et j’ai toujours du mal à ne pas m’en vouloir ainsi qu’à me demander pourquoi je n’ai pas agi autrement… Bref dans ces moments, un fort sentiment de culpabilité s’installe. J’ai beau savoir que ce n’est rien de grave, qu’il y a pire, mais c’est toujours difficile de se pardonner et de passer à autre chose.

En attendant que le temps fasse effet, je vous propose une recette de tartelettes à la crème pâtissière. J’ai redécouvert pendant le 1er août à quel point c’est bon une crème pâtissière dans une tarte. Libre à vous de la garnir de fruit qui vous font envie. J’ai pris cette recette dans le magazine Ricardo volume 10, numéro 5.

Tartelettes à la crème pâtissière
Tartelettes à la crème pâtissière
Pour 1 tarte de 23 cm (9 po) ou 50 mini-tartelettes

50 fonds de mini-tartelettes du commerce ou une croûte
  à tarte cuite à blanc
1 gousse de vanille
¾ de tasse ou 150 g de sucre
2 cuillères à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
4 cuillères à thé de farine
1 oeuf
4 jaunes d’oeufs
1 tasse ou 250 g de lait
1 tasse ou 250 g de crème
¼ de tasse ou 55 g de beurre non salé, froid et coupé en dés
Fruits pour garnir au choix

Couper la gousse de vanille en deux et à l’aide du couteau gratter les graines. Réserver.

Dans une casserole hors du feu, mélanger le sucre avec la fécule de maïs et la farine. Ajouter l’oeuf, les jaunes d’oeufs et un quart du lait, bien mélanger. Incorporer le reste de lait et de crème. Ajouter la gousse de vanille et les grains.

À feu moyen, porter à ébullition en brassant constamment. Quand la préparation bout, poursuivre la cuisson à feu doux pendant 1 minute.

Retirer la casserole du feu et incorporer progressivement le beurre. Enlever la gousse de vanille. Verser la crème pâtissière dans les croûtes à tartelette. Couvrir d’une pellicule plastique et réfrigérer pendant au moins 6 heures ou jusqu’à ce que la crème soit ferme.

Au moment de servir, garnir de fruits frais. Déguster avec gourmandise.

Et vous, comment est votre surmoi?