Catégorie : Divers

Ça a pris!

Cette année, mes périples avec la confiture ont été plutôt malheureux : confiture trop épaisse, pots qui ne veulent pas se stériliser, équilibre de goût raté, etc. J’ai laissé cela de côté et puis devant l’amoncellement de pommes dans la cuisine, je me suis relevé les manches et je me suis lancée dans la préparation de gelée. Ce n’est pas la première fois que je prépare de la gelée de pommes : c’est la troisième fois. La première fois, j’avais obtenu une très bonne gelée; la deuxième fois, elle était trop sucrée et un peu trop épaisse; et cette fois, elle est de nouveau excellente! Pour la réaliser, j’ai surtout utilisé des pommes « Diva », je vous en ai déjà parlé ici. Contrairement à l’année dernière, mes pommes n’étaient pas farineuses (elles ont probablement vieilli moins vite), alors j’en ai mangé plusieurs à la main et j’ai constaté qu’elles étaient autant acidulées que sucrées. Bref, je me suis dit qu’elles donneraient une très bonne gelée et je peux vous assurer que c’est le cas.

Je ne crois pas que la variété de pommes « Diva » se retrouve dans toutes les épiceries, elle n’est pas essentielle pour obtenir une bonne gelée de pommes. Cependant, je vous invite à utiliser un mélange de pommes où certaines sont plutôt acidulées et d’autres sucrées. Pour la recette, je me fie toujours à la même, soit celle de Ricardo tirée du livre La chimie des desserts.

Gelée de pommes nature ou parfumée
Gelée de pommes
Pour 4 pots de 250 ml

2,8 kg ou 6 lb de pommes mélangées*
6 tasses ou 1,5 kg d’eau
¼ de tasse ou 60 g de jus de citron
3¾ tasses ou 750 g de sucre**

Couper les pommes en cubes en conservant la pelure et les pépins. Déposer les fruits dans un grand chaudron. Ajouter l’eau et le jus de citron. Porter à ébullition puis réduire le feu et laisser mijoter doucement pendant 30 minutes ou jusqu’à ce que les pommes soient tendres.

Tapisser une passoire de plusieurs couches de coton à fromage (étamine) ou d’un grand mouchoir en tissu. Placer la passoire au-dessus d’un grand bol. Verser les pommes et le jus dans la passoire. Laisser égoutter pendant 2 heures, voire toute une nuit, sans presser ou écraser les pommes. Après l’égouttage, il devrait y avoir environ 1,25 litre (5 tasses) de jus.

Verser le jus*** dans une casserole avec le sucre et porter à ébullition. Réduire le feu et laisser mijoter jusqu’à ce qu’un thermomètre à bonbon indique 104°C (220°F)****. Mettre dans des pots stérilisés*****, si désiré, en laissant 0,5 cm (¼ de pouce) d’espace sous le goulot. Stériliser ensuite les pots pendant 15 minutes dans de l’eau bouillante. Déguster au moment désiré.

*Comptez environ 22 à 24 pommes de taille moyenne pour avoir 2,8 kg (ou 6 lb) de fruits.
**Pour chaque 1 tasse ou 250 ml de jus obtenu, il faut compter ¾ de tasse ou 150 g de sucre.
***À ce moment, il est possible de parfumer la gelée avec un bâton de cannelle, une gousse de vanille, une anis étoilée, etc.
****Pour vérifier la cuisson de la gelée sans thermomètre, placer plusieurs cuillères en métal au congélateur avant de cuire la gelée, plonger une cuillère froide dans la gelée et laisser tomber la gelée en inclinant la cuillère sur le côté. Quand la gelée est prête, la gelée tombe en nappe, formant un ruban sur presque toute la largeur de la cuillère.
*****Pour la méthode de stérilisation, je vous propose de lire cet article ou celui-ci. Si vous ne voulez pas stériliser vos pots, les conserver au réfrigérateur et les déguster rapidement ou les congeler, mais je n’ai aucune idée de l’incidence de la congélation sur le goût et la texture de la gelée.

Et vous, quels confitures ou gelées avez-vous réussies cette année?

Il faut en rire…

Il y a des moments où j’enchaîne les mini-désastres sucrés. J’ai fait deux confitures où j’ai mal équilibré les fruits : on goûte l’un des fruits, mais pas l’autre; je n’ai pas assez sucré une tarte tatin (oui, c’est possible) qui avait au final un goût acide; j’ai raté une pâte à tarte et j’ai une peine folle à stériliser mes pots de confitures. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je n’en réussis même pas un sur deux. C’est sans doute ça qui m’enrage le plus. Depuis 2 ans, je peine à stériliser mes pots et je ne vous dis pas le nombre de méthodes que j’ai essayé. Alors que d’autres nettoient juste les pots, rincent brièvement le couvercle avant les fermer, les laissent à température ambiante et « pop », le tout se stérilise comme par magie.

Heureusement, j’ai trouvé une recette réconfortante où la majorité de mes pots se sont stérilisés (et j’espère que ma dernière fournée fera de même). Il s’agit d’une recette d’abricots au sirop que j’ai trouvé chez Mélanie, La tête dans le chaudron.

Abricot simplement
Abricots au sirop
Pour 3 pots de 500 ml

1 kg (2 lb) d’abricots, environ 18 fruits
1 citron
4 tasses ou 1000 g d’eau

Sirop
1¾ tasse ou 350 g de sucre
5½ tasses ou 1375 g d’eau

Dans un grand bol, mélanger les 4 tasses d’eau (1000 g) et le jus du citron.

Laver soigneusement les abricots et les couper en deux. Retirer les noyaux et plonger les demi-abricots dans l’eau citronnée.

Dans un grand chaudron, déposer les pots et les recouvrir d’eau. Porter à ébullition et stériliser les pots pendant 10 minutes.

Pendant ce temps, préparer le sirop. Dans un chaudron, verser les 5½ tasses (ou 1375 g) d’eau et le sucre. Porter à ébullition.

Sortir un pot à la fois, vider l’eau et l’emplir sans attendre de demi-abricots égouttés en laissant 2,5 cm (1 pouce) d’espace sous le goulot. Remplir les pots avec le sirop bouillant en laissant 1 cm (½ pouce) d’espace sous le goulot. À l’aide d’une petite spatule ou une baguette en plastique, brasser les fruits pour éliminer les bulles d’air. Au besoin, rectifier le niveau du sirop.

Essuyer précautionneusement le goulot du pot avec un linge propre et humide. Fermer le pot avec un couvercle* (ou avec couvercle et une bague, pour les pots Mason). Répéter l’opération jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’abricots.

Stériliser les pots**. Pour des pots de 250 ml à 500 ml, compter 25 minutes dès que l’eau bout. Pour des pots de 1 litre, compter 30 minutes dès que l’eau bout.

Déguster pendant les journées grisâtres de l’automne ou de l’hiver.

*Avant d’apposer les couvercles, il faut activer le scellant avec de l’eau chaude. Il existe divers méthodes, certains les rincent sous l’eau chaude tout simplement et d’autres les plongent dans de l’eau chaude, 80-100°C (176-212°F), pendant 2 à 10 minutes. J’ai de la difficulté avec la stérilisation, mais dans ce cas, j’ai plongé mes couvercles dans l’eau pendant 2 minutes.
**Pour la méthode de stérilisation, je vous propose de lire cet article ou celui-ci.

Et vous, comment stérilisez-vous vos pots de confitures? Comment activez-vous le scellant des couvercles?

À la conquête du tofu…

Face au tofu, on ne sait jamais à quelle réaction on va avoir droit : il y en a qui aiment, d’autres qui détestent et certains qui disent « pas trop souvent ». Il y a également la ritournelle : « La prochaine fois, essaye une autre recette. ». Bref, il y a toujours une incertitude quand on cuisine du tofu. J’ai mis à quelques reprises le tofu au menu, mais aucun de ces plats n’est devenu un classique à la maison. La dernière fois que j’ai préparé du tofu, pour être certaine que ce plat soit apprécié, je l’ai accompagné de fausse viande… Ce n’était peut-être pas la meilleure idée. Nous avons enfin compris ce qui nous gênait avec le tofu : la texture! Le tofu contrairement à la fausse viande ou à la viande manque de texture (à notre goût) : il offre très peu de résistance sous la dent et demande peu de mastication. Sachant cela, je pourrais mieux choisir les recettes et je ne perds pas espoir de voir le tofu s’inviter plus souvent à notre table.

Il y a cependant une recette que je tiens à vous proposer, il s’agit d’un sauté qui est parfait pour s’initier au tofu : comme preuve, je peux le remettre à mon menu sans soucis. De plus, cette recette a circulé sur plusieurs blogs québécois (il y a presque 1 an, déjà?!). J’ai vu cette recette pour la première fois sur le site de Kim, Les aventures culinaires de Kiki, mais elle m’a aussi fait envie ici, , par-ici, par-là et j’en oublie!

Tofu et orange
Sauté végétarien à l’orange et aux cajous
Pour 4 personnes

1 tasse ou 250 g de jus d’orange, le jus de 4 à 5 oranges
1 cuillère à soupe de sauce tamari
2 cuillères à soupe de sauce soja
1 cuillère à soupe de fécule de maïs ou de maïzena
3 cuillères à soupe d’huile végétale
200 g de tofu ferme
200 g d’émincée de fausse viande*
1 oignon
2 carottes
⅓ de tasse ou 67 g de noix de cajou
Coriandre fraîche (facultatif)

Éponger le tofu et le découper en bâtonnets d’environ 5 cm (2 pouces) de longueur, 1,5 cm (⁵⁄₈ pouce) de largeur et 1 cm (³⁄₈ pouce) d’épaisseur.

Dans un bol, mélanger le jus d’orange, la sauce tamari, la sauce soja et la fécule de maïs (ou la maïzena). Ajouter le tofu et laisser mariner pendant 1 heure à température ambiante.

Pendant ce temps, éplucher et tailler les carottes en julienne (petits bâtonnets). Émincer l’oignon en demi-rondelles. Réserver.

Faire chauffer une poêle à sec (sans matière grasse) et ajouter les noix de cajou. Faire griller** les noix de cajou en les remuant régulièrement. Quand les noix sont dorées, les retirer de la poêle et réserver.

Égoutter le tofu et réserver la marinade qui servira de sauce. Dans un wok, faire chauffer l’huile à feu moyen. Déposer les languettes de tofu et les faire griller pendant 2 à 3 minutes. Retirer de la poêle et réserver.

Sauté végétarien à l'orange et aux cajous

Dans le même wok, faire revenir l’oignon pendant 2 minutes. Ajouter les carottes et la fausse viande, puis poursuivre la cuisson 3 à 4 minutes. Augmenter la température du feu. Verser la marinade réservée et bien mélanger pour enrober les légumes et la fausse viande de sauce. Ajouter le tofu et poursuivre la cuisson 1 minute pour le réchauffer.

Ajouter les noix de cajou et saupoudre de coriandre fraîche, si désiré. Servir sur un lit de nouilles asiatiques ou sur un riz.

*Vous pourriez n’utiliser que du tofu ou que de la fausse viande. À vous de voir.
**J’ai pris l’habitude de griller les noix, cela apporte un petit croquant. Vous pouvez également omettre cette étape.

Et vous, est-ce que le tofu est le bienvenue à votre table?

L’autre idée…

Lorsque je cherchais une idée de recette végétarienne, je cherchais également une recette qui mettait en valeur l’oeuf pour un autre concours d’Isa. L’idée m’est presque venue tout de suite pour l’oeuf (ce qui n’a pas vraiment été le cas pour la recette végétarienne) : j’avais envie d’une tartelette garnie d’un oeuf.


Pour cette recette, j’ai décidé d’essayer une croûte à tarte santé que j’ai vu plusieurs fois chez Pich à la fraise. Cette recette de pâte à tarte est fabuleuse : la pâte est très facile à réaliser et elle se travaille très bien. Pour compléter mes tartelettes, je l’ai garni d’une tombée d’oignon, mais des courgettes, des poireaux ou des tomates séchées se mariaient également bien avec l’oeuf. Voici donc ma recette de tartelettes salées à l’oeuf.

Oeuf dans une tartelette
Tartelettes salées à l’oeuf et à l’oignon
Pour 2 personnes

Pâte à tarte
10 cuillères à soupe ou 75 g de farine complète
¼ de tasse ou 20 g de flocons d’avoine*
1 pincée de sel
½ cuillère à soupe de graines de sésame blond
½ cuillère à soupe de graines de nigelle**
1½ cuillère à soupe d’huile d’olive
5 cuillères à soupe d’eau froide

Garniture
2 oignons
2 cuillères à soupe de crème à cuisson ou de demi-crème
2 oeufs***
¼ de cuillère à thé d’origan séché
1 cuillère à soupe d’huile végétale
Sel et poivre

Pâte à tarte
Dans un bol, mélanger la farine, les flocons d’avoine, le sel, les graines de sésame et les graines de nigelle. Ajouter l’huile d’olive et 3½ cuillères à soupe d’eau. Mélanger et, au besoin, ajouter graduellement le restant d’eau jusqu’à ce que la préparation forme une boule. Si la pâte est trop collante, ajouter de la farine; si elle est sèche, ajouter un peu d’eau froide. Envelopper la pâte dans une pellicule plastique et la laisser reposer à température ambiante pendant 30 minutes.

Garniture
Couper les oignons en demi-rondelles.

Dans une poêle, verser l’huile végétale et la faire chauffer. Ajouter les oignons et les faire revenir jusqu’à ce qu’ils soient tendres, environ 10 à 15 minutes. Saler, poivrer et assaisonner avec l’origan. Verser la crème, bien mélanger et retirer du feu. Réserver.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Abaisser la pâte sur 3 mm (¹⁄₈ de pouce) d’épaisseur. Foncer la pâte à tarte dans deux cercles de pâtisserie de 8 cm (2¼ pouces) ou plus de diamètre et de 3 cm (1¼ pouce) de haut. Pour faire des tartelettes sans moule, abaisser la pâte et découper 2 cercles de pâte d’environ 12 cm (4¾ pouces) de diamètre.

Garnir les tartelettes avec la préparation d’oignon : ne remplir qu’à demi les tartelettes si elles sont dans des cercles à pâtisserie ou bien répartir la garniture pour couvrir le cercle de pâte en laissant un espace tout le tour si elles sont réalisées sans moule. Enfourner et cuire 10 minutes.

Augmenter la température du four à 200°C (400°F). Sortir les tartelettes et casser un oeuf sur chaque tartelette. Enfourner et cuire 10 minutes ou jusqu’à ce que les oeufs soient cuits. Servir avec une salade et déguster.

*Il est possible de mixer les flocons d’avoine dans un robot culinaire pour obtenir une poudre fine et les rendre moins apparent dans la pâte à tarte.
**Vous pouvez remplacer les graines de nigelle par du pavot, des graines de sésame noir, etc. Choisissez en fonction de votre inspiration du moment.
***Si possible, sortez les oeufs 1 heure avant de les cuire. Cela permet de tempérer les oeufs et d’accélérer leur cuisson au four.

Et vous, comment aimez-vous vos oeufs?

Végétarien et végétalien

Récemment, j’ai constaté que des gens confondaient « végétarien » et « végétalien ». Ces deux cultures alimentaires sont très proches, mais il y a quand même quelques nuances qui les différencient. Les définitions que je vous donne sont basées sur ma perception, si vous avec des éléments à ajouter ou modifier, je serais ravie de les connaître.

Commençons par les « végétariens », cette façon de s’alimenter est sans doute la plus connue. Le végétarisme est une alimentation concentré principalement sur la consommation des végétaux (il en est de même pour le végétalisme). Les végétariens excluent de leur consommation la viande. Cependant, ce régime permet la consommation de produits provenant des animaux tant qu’ils ne sont pas abattus : le lait, les oeufs, le fromage, etc. Il y a quand même certains végétariens, bien qu’ayant exclus la viande, consomme régulièrement du poisson et des fruits de mer (on les appelle parfois les pescétarismes ou les pesco-végétarismes). J’avoue, c’est le truc qui m’a toujours laissée perplexe, mais tout est une question de définition. Selon le Petit Robert, la viande désigne la chair des mammifères et des oiseaux que l’être humain emploie pour se nourrir. Les poissons et les fruits de mer ne sont ni des mammifères ni des oiseaux, donc selon la définition, ce n’est pas de la viande et c’est pourquoi certains végétariens en consomment. Cependant, si vous devez recevoir un végétarien, demandez lui s’il mange du poisson et des fruits de mer ou optez simplement pour un plat à base d’oeuf ou de pâte sans viande ni poisson.


Maintenant pour ce qui est des végétaliens, ils ont une alimentation où tous les produits issus du règne animal sont exclus : autrement dit pas de viande, pas de poisson, pas de lait (sauf les laits végétaux), pas d’oeuf, pas de fromage, pas de beurre et alouette! Les légumineuses, les noix (les fruits à coque), le tofu et ses dérivés sont souvent bien présents dans cette alimentation. En s’intéressant à cette cuisine, on découvre des façons de faire qui sont très créative : par exemple, le « raw food » qui est aussi appelé « crudivorisme ».

Tout ça pour vous dire que je me suis creusée la tête pour trouver une recette végétarienne (qui est également végétalienne) à proposer à Isa pour son concours. C’est une recette de pois chiches grillés vu à l’émission L’Épicerie qui a été l’élément déclencheur : j’en ai fait une salade! Voici donc ma recette de salade de riz et de pois chiches.

Pois chiches grillés en salade
Salade de riz et de pois chiches
Pour 4 personnes*

1 tasse de riz ou 200 g de riz
2 moyennes carottes
4 tranches d’ananas en boîte
1 boîte de 540 ml ou de 400 g de pois chiches
1 cuillère à soupe d’huile d’olive
1 cuillère à thé de curry doux ou fort**
Vinaigrette maison ou du commerce***, au goût
Sel et poivre

Déposer le riz dans un chaudron, couvrir d’eau froide et saler. Porter à ébullition et cuire 1 minute de moins que les indications du fabriquant (habituellement, compter 14 minutes après le début de l’ébullition). Rincer abondamment le riz avec de l’eau froide et l’égoutter. Réserver.

Éplucher les carottes et les découper en dès ou en petits bâtonnets. Couper les tranches d’ananas en dès. Ajouter les carottes et l’ananas au riz. Mélanger, couvrir d’une pellicule plastique et réserver au réfrigérateur, si possible au moins 30 minutes.

Préchauffer le four à 230°C (450°F).

Rincer abondamment les pois chiches et les égoutter. Déposer les pois chiches dans un bol, ajouter l’huile d’olive et le curry. Mélanger les pois chiches pour bien les enrober d’huile et des épices. Verser le tout sur une plaque de cuisson recouverte d’un papier parchemin. Saler et poivrer. Enfourner et cuire pendant 30 à 40 minutes en les remuant à quelques reprises surtout vers la fin de la cuisson pour éviter qu’ils brûlent. Laisser tiédir quelques minutes.

Ajouter la vinaigrette dans la préparation de riz et bien mélanger. Servir en portion individuelle ou dans un grand saladier et déposer les pois chiches sur le dessus. Il ne reste qu’à déguster la salade.

*Je considère que cette recette donne 4 portions, mais en accompagnement.
**Il est possible d’utiliser d’autres épices : paprika, coriandre moulue, épices cajuns, etc. Choisissez selon vos goûts et vos envies.
***Je n’aime pas la vinaigrette, donc j’ai mis du jus d’ananas avant de réfrigérer la préparation de riz. C’est sans doute pourquoi j’ai l’impression qu’il manque quelque chose pour considérer cette salade comme un plat principal. Vous pourriez aussi ajouter des feuilles de coriandre ou de persil plat (si vous aimez), je crois que ça complèterait bien cette salade.

Et vous, est-ce qu’il vous arrive de faire des repas végétariens ou végétaliens?