Caramel… un jour?

S’il y a un produit que je n’aurais jamais cru acheter, c’est de l’extrait de caramel! La plupart des recettes demandent un caramel liquide ou qui se tartine, alors j’en prépare au besoin : j’ai toujours les ingrédients sous la main. En prime, je n’ai pas des grands amateurs de caramel à la maison. Alors, pourquoi cet achat? C’est simple : les recettes de Madame Labriski. Il m’est arrivée à quelques reprises de vouloir tester une recette de Madame Labriski qui contenait cet ingrédient inhabituel. Pourtant, quand j’ai voulu essayer une recette de son livre rouge, je n’en ai pas eu besoin!

Encore une fois, j’ai opté pour une recette de biscuits chocolatés… J’avoue, j’ai préparé ces biscuits pour être certaine que Mini-nous mange quelque chose lors de son excursion avec l’école! Pour la recette, elle est tirée du livre Bye-bye sucre raffiné, bonjour purée de dattes! de Madame Labriski.

Biscuits « Duchocolàlà »
Biscuits « Duchocolàlà »
Pour 18 biscuits

½ tasse ou 150 g de purée de dattes*
½ tasse ou 125 g de compote de pommes non sucrée
¼ de tasse ou 62 g de lait ou de boisson végétale
2 cuillères à thé d’extrait de vanille
2 cuillères à thé de poudre à pâte ou de levure chimique
1 cuillère à soupe de vinaigre
1 pincée de sel
½ tasse et ½ cuillère à soupe ou 75 g de farine
½ tasse ou 52 g de cacao
2 cuillères à soupe de graines de chia
⅔ de tasse ou 100 g de pépites de chocolat
¼ de tasse ou 35 g de grués de cacao

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Dans un bol, mélanger la purée de dattes, la compote de pommes, le lait, l’extrait de vanille, la poudre à pâte, le vinaigre et le sel. Incorporer la farine, le cacao, les graines de chia, les pépites de chocolat et les grués de cacao.

Sur une plaque de cuisson tapissée de papier parchemin, déposer environ 2 cuillères à soupe de pâte pour créer chaque biscuit. Enfourner et cuire environ 15 minutes. Laisser totalement refroidir avant de déguster avec gourmandise.

*Pour réaliser de la purée de dattes, il faut 1 tasse ou 167 g de dattes séchées et dénoyautées ainsi que ⅔ de tasse moins 2 cuillères à soupe ou 136 g d’eau. La première méthode, consiste à laisser les dattes tremper dans l’eau pendant 24 heures et de les mixer à l’aide d’un pied-mélangeur. L’autre méthode, consiste à porter à ébullition l’eau et les dattes, puis de laisser mijoter jusqu’à ce que les dattes soient molles et se défassent. Utilisez la technique que vous préférez. Le surplus de purée de dattes peut être congelé.

La prochaine fois, il faut que je réalise des biscuits avec de l’extrait de caramel!

Couleur vive…

Il y a quelques jours, j’ai profité des soldes pour m’acheter des habits. Dans ma garde-robe, il manque de couleurs : j’ai beaucoup d’habits noir ou noir et blanc (pas que blanc, car je déteste les tissus diaphanes). Bref, je me forçais à regarder les vêtements plus colorés. Dans un magasin, j’essais un haut d’une couleur voyante. Je crois que la vendeuse a remarqué mon hésitation : elle s’est précipitée dans les rayons pour aller chercher une veste qui se mariait très bien avec le haut. Sauf que j’étais morte de rire intérieurement : je ne porte pratiquement pas de manches longues, j’ai rapidement trop chaud avec ce genre d’habit. Finalement, j’ai acheté l’habit et je crois que je rirais toujours quand je repenserais à la vendeuse qui courait dans le magasin pour aller chercher la veste!

Pour aujourd’hui, je vous propose une recette tout simple de brochettes. Je crois que mon été aura été sous le signe des brochettes! Cette fois, la recette vient du magazine Trois fois par jour de mai 2019

Brochettes de poulet mariné aux trois agrumes
Brochettes de poulet mariné aux trois agrumes
Pour 4 personnes

400 g de poitrines de poulet désossées et sans la peau
1 orange
1 citron
2 limes
¼ de tasse ou 62 g de sauce soja
2 cuillères à soupe ou 25 g de cassonade ou de sucre roux
1 gousse d’ail
1 cuillère à thé de coriandre moulue ou de cumin moulu*

Prélever les zestes des agrumes et les déposer dans un bol. Presser les agrumes pour récupérer leurs jus et l’ajouter aux zestes. Ajouter la sauce soja. la cassonade et la coriandre moulue. Hacher finement l’ail et l’ajouter au mélange.

Couper les poitrines de poulet en dés de taille similaire**. Déposer les cubes de volailles dans la marinade. Placer au réfrigérateur et laisser mariner pendant 2 à 12 heures.

Préchauffer le four à 190°C (375°F)***.

Rincer sous l’eau froide les piques à brochette en bois pour éviter qu’ils brûlent durant la cuisson. Enfiler les morceaux de poulet marinés sur les piques à brochettes. Déposer les brochettes sur une plaque de cuisson légèrement huilé et enfourner pendant 15 à 20 minutes. À mi-cuisson, retourner les brochettes. Sortir du four et servir sans attendre. Déguster avec plaisir.

*Vous pouvez ajouter de la coriandre fraîche à la recette si vous le désirez.
**Il est possible de faire mariner les poitrines de poulet entières plutôt que de réaliser des brochettes. Le temps de cuisson sera un peu plus long.
***Pendant l’été, n’hésitez pas à cuire les brochettes sur le barbecue.

Et vous, avez-vous une anecdote de magasinage?

Énième

Je sais, je sais, il existe de multiples façons de parfumer les biscuits : les zestes d’agrumes, les épices, les herbes fraîches ou séchées, les fruits, les farines (je dois tester une recette avec de la farine de sarrasin d’ailleurs), les noix, etc. Cependant, impossible de résister quand je découvre une nouvelle recette de biscuits moelleux au chocolat. L’unanimité de la famille est déjà acquise devant une telle gourmandise. De plus, quand je lis que les biscuits peuvent se conserver une dizaine de jours, comment résister? D’accord, est-ce possible que des biscuits durent aussi longtemps?

La dernière recette qui m’a fait craqué est celle d’Isabelle, Les gourmandises d’Isa.

Biscuits au beurre noisette, chocolat et fleur de sel
Biscuits au beurre noisette, chocolat et fleur de sel
Pour 36 biscuits

1 tasse ou 220 g de beurre non salé
2½ tasses ou 350 g de farine
1 tasse ou 200 g de cassonade ou de sucre roux
½ tasse ou 100 g de sucre
1 cuillère à thé de bicarbonate de soude ou de sodium
1 cuillère à thé de fleur de sel
2 oeufs
2 cuillères à thé d’extrait de vanille
170 (6 onces) de chocolat noir*
85 g (3 onces) de chocolat blanc
85 g (3 onces) de chocolat au lait
Fleur de sel pour saupoudrer

Dans une casserole, déposer le beurre et le faire fondre à feu moyen. Chauffer jusqu’à ce que le beurre change légèrement de couleur et dégage une odeur de noisette. Laisser refroidir le beurre noisette pendant 20 minutes.

Préchauffer le four à 180°C (350°F).

Hacher les chocolats et réserver.

Dans un grand bol, mélanger la farine, la cassonade, le sucre, le bicarbonate de soude et le sel. Incorporer les oeufs, l’extrait de vanille et le beurre noisette. Ajouter les chocolats et bien mélanger.

Prélever environ 1½ cuillère à soupe de pâte et façonner en boule. Répéter l’opération jusqu’à épuisement de la pâte. Déposer les boules de pâte sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin en prenant soin de bien les espacer. Saupoudrer chaque biscuit d’un peu de fleur de sel**. Enfourner et cuire pendant 10 à 12 minutes ou jusqu’à ce que les pourtours des biscuits soient légèrement dorés.

À la sortie du four, laisser les biscuits tiédir 5 minutes sur la plaque de cuisson avant de les déplacer, si possible, sur une grille à pâtisserie. Laisser totalement refroidir et les ranger dans une boîte qui ferme hermétiquement pour les conserver jusqu’à 10 jours. Déguster avec gourmandise.

*Vous pouvez utiliser un seul type de chocolat si vous le désirez.
**Personnellement, je préfère saupoudrer la fleur de sel avant la cuisson, mais libre à vous de saupoudrer le sel sur les biscuits dès qu’ils sortent du four.

Au jus…

À la maison, nous ne buvons pas beaucoup de jus. Le jus d’orange reste quand même un classique du matin pour mes deux amours. Après, nous aimons bien le jus de pommes que nous emportons volontiers pour nos piques-niques. Ça résume assez bien notre consommation de jus de fruit. Alors quand nous recevons des bouteilles de jus, nous les apprécions, mais parfois nous avons également de la peine à les boire. Ce fut le cas avec une bouteille de jus d’abricot.

J’aurais pu réaliser des sucettes glacées, mais cette idée ne m’a même pas effleuré l’esprit. C’est par hasard que je suis tombée sur une recette de marinade employant ce produit. J’ai trouvé cette recette sur le blog Torchons et Serviettes.

Brochettes de poulet au jus d'abricot et au romarin
Brochettes de poulet au jus d’abricot et au romarin
Pour 3 personnes

300 g de poitrines de poulet
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de jus d’abricot
1 branche de romarin frais
1 gousse d’ail
¼ à ½ cuillère à thé de curry, au goût
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
1½ cuillère à soupe de miel
Sel et poivre

Dans une bol, mélanger le jus d’abricot, le curry, l’huile d’olive et le miel. Hacher finement l’ail et effeuiller le romarin. Ajouter l’ail et les aiguilles de romarin au liquide. Poivrer.

Couper en cubes de taille similaire les poitrines de poulet. Déposer les dés de poulet dans la marinade, couvrir et laisser macérer au réfrigérateur pendant au moins 4 heures.

Préchauffer le four à 190°C (375°F)*.

Rincer sous l’eau froide les piques à brochette en bois pour éviter qu’ils ne brûlent durant la cuisson. Enfiler les morceaux de poulet marinés sur les piques à brochettes. Déposer les brochette sur une plaque de cuisson légèrement huilé, saler légèrement et enfourner pendant 18 à 25 minutes. À mi-cuisson, retourner les brochettes. Sortir du four et servir sans attendre. Déguster avec plaisir.

*Vous pouvez également cuire les brochettes dans une poêle, sur le barbecue ou une plancha.

Et vous, est-ce que les jus occupent une grande place dans votre réfrigérateur?

Blanc et blanc

Je me rends compte que je n’ai pas beaucoup d’idée pour parfumer les panna cotta : la vanille, c’est tellement simple, en plus d’être facile à agrémenter selon l’envie (même si je garnis rarement, voire jamais mes panna cotta). Après, j’ai peu exploré ce dessert, car il est vite devenu l’un des desserts préférés de ma belle-mère et qu’elle le faisait assez régulièrement. Même avec mes nouvelles expérimentations, je me rends compte que je ne m’éloigne pas trop de la panna cotta classique : j’ai opté pour des goûts délicats et des crèmes blanches. Il faut croire que j’aime le blanc et que je trouve ça plus appétissant que d’autres couleurs.

Pour la seconde recette de panna cotta, je vous propose une recette façon strataciella. J’ai trouvé cette idée sur le blog de Pich à la fraise.

Panna cotta stracciatella
Panna cotta stracciatella
Pour 5 à 6 personnes

2 cuillères à thé de gélatine en poudre ou 2 feuilles
  de gélatine (4 g)
50 g (1¾ once) de chocolat noir
⅔ de tasse ou 170 g de lait
1⅓ tasse ou 330 g de crème 35 % ou entière
90 g (3 onces) de chocolat blanc
¾ de tasse et 1 cuillère à soupe ou 200 g de double crème
  ou de crème fraîche

Dans un bol, faire gonfler la gélatine en poudre dans 4 cuillères à thé d’eau froide ou faire tremper la feuille de gélatine dans un bol d’eau froide.

Hacher très finement le chocolat noir et le répartir équitablement dans des ramequins, des verrines ou des pots. Hacher le chocolat blanc et le déposer dans un bol.

Dans une casserole, porter le lait et la crème à ébullition. Quand les liquides bouillent, retirer du feu et ajouter la gélatine (bien l’essorer, si elle est en feuilles). Verser les liquides sur le chocolat blanc. Patienter 1 minute avant de mélanger. Incorporer la double crème.

Laisser tiédir le mélange pendant 5 à 10 minutes. Verser dans les ramequins (ou autres) contenant le chocolat noir. Brasser très brièvement et placer au réfrigérateur pendant un minimum de 6 heures. Servir et déguster avec gourmandise!

Et vous, avez-vous quels parfums avez-vous essayés avec la panna cotta?